Aucun corps de métier n`a voulu se faire raconter la célébration de la fête du travail le samedi 1er mai dernier d`autant plus que cette fête est la seule occasion pour les employés faire des doléances auprès de leur hiérarchie. Si parmi ces travailleurs certains se lèvent pour réclamer l`augmentation de leurs salaires, d’autres par contre plaident modestement pour que les emplois soient préservés. C`est le cas du Syndicat National des Agents des Structures de Gestion de la Filière Café-Cacao (SYNASGFICC qui, par la voix de Kipré Daisy, la secrétaire générale, a souhaité que l’emploi de ses 500 agents soient préservé. Pour la syndicaliste cette condition permettra aux travailleurs de sortir des griffes de la pauvreté.``C`est la seule doléance que nous soumettons à l`Etat de cote d`ivoire et au comité de réformes``;a-t-elle souhaité.
Société Publié le lundi 3 mai 2010 | Nuit & Jour