Une réunion d’information et d’échanges portant sur la couverture sociale du corps préfectoral s’est tenue l’après-midi du jeudi 29 avril à l’hôtel du district au Plateau. Initiative de la Direction générale de l’administration du territoire (Dgat), la rencontre présidée par le ministre de l’Intérieur, M. Désiré Assignini Tagro, a permis aux participants de discuter des conditions de mise en place du Fonds de prévoyance de l’administration du territoire de Côte d’Ivoire (Fpat-ci). Un projet pour la pleine réalisation de laquelle, l’autorité de tutelle, tout en marquant son accord, a fait des propositions qui sonnent comme de fermes recommandations.
«L’idée de la création de la structure sociale du corps préfectoral est louable et je félicite vivement les initiateurs. Il est difficile de concevoir que les préfets, secrétaires généraux de préfecture et sous-préfets qui incarnent l’Etat et qui jouissent du prestige sur le terrain ne soient pas en interne, couverts socialement. Je voudrais cependant que la structure qui va naître soit gérée de façon rigoureuse et que les fonds qui seront collectés puissent offrir des prestations de qualité ». Le ministre Tagro, comme toujours, a tenu un discours de rigueur à ses collaborateurs et les a aussi invités à faire le point sur les activités de la défunte Mutuelle du corps préfectoral de Côte d’Ivoire (Mucorpci) ainsi que toutes les opérations immobilières initiées par le passé.
Maître d’œuvre du projet, le Dg de l’administration du territoire, M. Séhi Gaspard, est intervenu en premier pour situer le contexte de la rencontre. Selon lui, le Fpat-ci en gestation vient en réponse aux préoccupations d’ordre social des membres du corps préfectoral. Lesquelles préoccupations, fait-il savoir, «ont été laissées en suspens par la Mucorpci qui connaît des difficultés de fonctionnement». Parlant des prestations qui seront offertes, le Dgat, Séhi Gaspard, administrateur civil de formation, lui-même, dit que la nouvelle structure, tout en prenant en compte les spécificités du corps des adhérents, entend agir comme d’autres structures de référence. Il s’agit du Fonds de prévoyance militaire et de celui de la Police nationale. Le Fpat-ci permettra à ses membres de bénéficier de l’entraide, la solidarité, la couverture médicale et autres…
Les participants qui ont approuvé le projet dans toutes ses dimensions, entendent se retrouver selon le chronogramme de mise en place de ce Fonds dont l’ouverture officielle est prévue avant le mois d’octobre prochain.
Landry Kohon
«L’idée de la création de la structure sociale du corps préfectoral est louable et je félicite vivement les initiateurs. Il est difficile de concevoir que les préfets, secrétaires généraux de préfecture et sous-préfets qui incarnent l’Etat et qui jouissent du prestige sur le terrain ne soient pas en interne, couverts socialement. Je voudrais cependant que la structure qui va naître soit gérée de façon rigoureuse et que les fonds qui seront collectés puissent offrir des prestations de qualité ». Le ministre Tagro, comme toujours, a tenu un discours de rigueur à ses collaborateurs et les a aussi invités à faire le point sur les activités de la défunte Mutuelle du corps préfectoral de Côte d’Ivoire (Mucorpci) ainsi que toutes les opérations immobilières initiées par le passé.
Maître d’œuvre du projet, le Dg de l’administration du territoire, M. Séhi Gaspard, est intervenu en premier pour situer le contexte de la rencontre. Selon lui, le Fpat-ci en gestation vient en réponse aux préoccupations d’ordre social des membres du corps préfectoral. Lesquelles préoccupations, fait-il savoir, «ont été laissées en suspens par la Mucorpci qui connaît des difficultés de fonctionnement». Parlant des prestations qui seront offertes, le Dgat, Séhi Gaspard, administrateur civil de formation, lui-même, dit que la nouvelle structure, tout en prenant en compte les spécificités du corps des adhérents, entend agir comme d’autres structures de référence. Il s’agit du Fonds de prévoyance militaire et de celui de la Police nationale. Le Fpat-ci permettra à ses membres de bénéficier de l’entraide, la solidarité, la couverture médicale et autres…
Les participants qui ont approuvé le projet dans toutes ses dimensions, entendent se retrouver selon le chronogramme de mise en place de ce Fonds dont l’ouverture officielle est prévue avant le mois d’octobre prochain.
Landry Kohon