Mai-juin. Quand bien même ces mois figurent sur le calendrier où figurent tous les autres mois de l’année, ces mois sont les plus redoutés et pour cause. Ils rappellent à toutes, les fortes pluies qui ont d’ailleurs démarré. Chaque année, la Côte d’Ivoire enregistre des inondations, des habitations partent en débris avec très son vent, des cas de pertes en vie humaines. C’est donc avec une grande peur que les populations appréhendent ces pluies qui sèment très souvent la désolation en leur sein. Ces populations vulnérables sont donc inquiètes à cause de ces pluies qui ont déjà démarré avec les mêmes grands vents connus détiens. Dans les quartiers précaires, les bidonvilles et surtout partout où il existe des logements à risques, chacun prend donc des dispositions pour contourner les dangers qui s’annoncent. Le silence troublant des autorités.
Chaque année, c’est donc avec désolation que les populations voient cette grande saison des pluies s’achever. Le bilan toujours lourd donne donc lieu à un grand élan de solidarité qui met en scène maintes autorités du pays. L’on assiste alors à des aides qui fusent de partout, sans que cela règle le problème des logements précaires. Les populations continuent donc à habiter ces maisons prêtes à s’écrouler et chaque année, la même catastrophe se produit. C’est donc le lieu d’attirer l’attention des autorités tant locales que nationales, afin que des dispositions énergiques soient prises pour éviter le pire. Trop de gens sont mal logés, dans ces quartiers précaires qui ne cessent de s’agrandir. Il y a nécessité de reloger ces populations à des endroits qui leur assurent une vie avec le moins de risque. Elles ne peuvent pas se reloger, elles-mêmes, à cause de la pauvreté qui sévit. Les populations sont plus préoccupées par la lutte pour la survie, elles considèrent donc cette question comme étant secondaire, quand bien même le sujet est important. Ces dispositions s’inscriront dans le cadre de la lutte contre la pauvreté, si chère, à tout pays désirant évoluer aisément vers les OMD de 2015.
Charles Kipré
Légende : Les autorités doivent aider les populations vulnérables à se reloger, à cause des fortes pluies qui s’annoncent
Chaque année, c’est donc avec désolation que les populations voient cette grande saison des pluies s’achever. Le bilan toujours lourd donne donc lieu à un grand élan de solidarité qui met en scène maintes autorités du pays. L’on assiste alors à des aides qui fusent de partout, sans que cela règle le problème des logements précaires. Les populations continuent donc à habiter ces maisons prêtes à s’écrouler et chaque année, la même catastrophe se produit. C’est donc le lieu d’attirer l’attention des autorités tant locales que nationales, afin que des dispositions énergiques soient prises pour éviter le pire. Trop de gens sont mal logés, dans ces quartiers précaires qui ne cessent de s’agrandir. Il y a nécessité de reloger ces populations à des endroits qui leur assurent une vie avec le moins de risque. Elles ne peuvent pas se reloger, elles-mêmes, à cause de la pauvreté qui sévit. Les populations sont plus préoccupées par la lutte pour la survie, elles considèrent donc cette question comme étant secondaire, quand bien même le sujet est important. Ces dispositions s’inscriront dans le cadre de la lutte contre la pauvreté, si chère, à tout pays désirant évoluer aisément vers les OMD de 2015.
Charles Kipré
Légende : Les autorités doivent aider les populations vulnérables à se reloger, à cause des fortes pluies qui s’annoncent