Permettre à la Côte d’Ivoire de maximiser ses gains au niveau ses activités d’exploration et de production de pétrole et de gaz. C’est la motivation à la base du séminaire de renforcement des capacités tenu récemment à Abidjan. Pendant trois semaines, une vingtaine de personnes de divers ministères et administrations impliqués dans l’exploitation pétrolière, se sont enfermés, pour mieux appréhender les contrats pétroliers que signe la Côte d’Ivoire.
Ils se sont surtout familiarisés, entre autres, avec les techniques de négociation et de suivi de ces contrats. Mieux, ils ont bien perçu la nécessité d’adopter le système d’attribution de marché, par appel d’offres, contrairement à l’ancienne méthode de passation de contrat au gré à gré. En plus, ils ont été instruits sur une meilleure gestion des opérations, des flux et de l’environnement.
Toutes choses qui doivent concourir à rendre la Côte d’Ivoire, non seulement attractive vis-à-vis des investisseurs potentiels et de la concurrence régionale et mondiale, mais aussi, à lui donner les armes nécessaires pour bien négocier les accords qu’il passe avec les partenaires étrangers.
Le séminaire a été organisé par le Don de gouvernance et de développement institutionnel (Dgdi), dirigé par Mme Madeleine Yao. Le Dgdi est un projet appuyé financièrement par la Banque mondiale. Il a pour mission de soutenir la Côte d’Ivoire dans ses réformes sur la gestion des ressources publiques, de renforcer la capacité du pays à tirer davantage profit du secteur pétrolier, tout en gérant les impacts sociaux et environnementaux des opérations pétrolières.
A. K.
Ils se sont surtout familiarisés, entre autres, avec les techniques de négociation et de suivi de ces contrats. Mieux, ils ont bien perçu la nécessité d’adopter le système d’attribution de marché, par appel d’offres, contrairement à l’ancienne méthode de passation de contrat au gré à gré. En plus, ils ont été instruits sur une meilleure gestion des opérations, des flux et de l’environnement.
Toutes choses qui doivent concourir à rendre la Côte d’Ivoire, non seulement attractive vis-à-vis des investisseurs potentiels et de la concurrence régionale et mondiale, mais aussi, à lui donner les armes nécessaires pour bien négocier les accords qu’il passe avec les partenaires étrangers.
Le séminaire a été organisé par le Don de gouvernance et de développement institutionnel (Dgdi), dirigé par Mme Madeleine Yao. Le Dgdi est un projet appuyé financièrement par la Banque mondiale. Il a pour mission de soutenir la Côte d’Ivoire dans ses réformes sur la gestion des ressources publiques, de renforcer la capacité du pays à tirer davantage profit du secteur pétrolier, tout en gérant les impacts sociaux et environnementaux des opérations pétrolières.
A. K.
