Les Marocains ont une culture du tourisme et de l’artisanat. Beaucoup vivent de cette activité et aisément. Pour rendre le pays les attractif, l’Etat y investit. Contrairement à certains pays subsahariens qui, pour des raisons diverses, ne mettent pas en valeur ce secteur vital.
Etre un pays développé, cela ne dépend pas forcément des quantités de ressources tirées du sous-sol ou des mannes financières obtenues à partir des récoltes ou des cultures. Tout dépend du choix des politiques macroéconomiques et des orientations des choix stratégiques. L’Israël en a donné la preuve, en transformant son désert en paradis, par la force du travail. Il en va de même pour d’autres pays. Les autorités du Royaume Shérifien n’échappent pas à la règle. Pas assez de ressources, mais ce pays a su s’imposer, en devenant une destination fréquentable, qui attire plus de visiteurs par an. En tant que pays-touristique, le Royaume du Maroc suscite envie à tout venant des autres pays d’Afrique de l’Ouest et du centre, de passage ou en séjour dans le cadre d’une mission.
Le Maroc, un pays
où le tourisme occupe
une place de choix
Le Maroc est un des pays maghrébins à pratiquer le brassage culturel intense. Où chrétiens, musulmans et juifs se côtoient et vivent en parfaite harmonie. Ce qui constitue un atout de stabilité pour ce pays orienté vers le progrès et le développement. Avec 500 mille naissances par an, la population marocaine paraît très jeune. L’on en dénombre près de 25 millions. La principale ressource économique du pays est basée sur le phosphate, représentant 75% de la réserve mondiale. A côté du phosphate, il y a l’activité de la pêche, l’agriculture puis le Tourisme, devenu le principal moteur de l’économie. Car, constituant un indicateur de la bonne santé de l’économie. Pour ce qui est du tourisme, le Maroc s’appuie sur sa façade maritime longue de plusieurs centaines de kilomètres, ainsi que le secteur de l’hôtellerie et de la restauration. Outre ces atouts, les Marocains jouissent des voix d’accès terrestres, toutes bitumées. A ce jour, il existe au Maroc plus de 1900 de kilomètres d’autoroutes bitumées. Ce qui permet une mobilité dans le pays, facilitant ainsi les trajets aux visiteurs. Il existe de même une voie ferrée qui sert de liaison entre les villes. Elle est la plus utilisée, en plus des cars de transport. Un circuit de tramway est même en construction. Fin 2009, le tourisme marocain a atteint 8,3 millions de visiteurs, pour une progression de 6,5%. Cette progression est le fruit de la volonté politique nationale. Avec le lancement en 2001, d’une stratégie touristique ambitieuse. Depuis le lancement de vision, le secteur touristique a pris son envol, contribuant ainsi à la création de la richesse nationale. Malgré cette croissance, les autorités marocaines n’entendent pas baisser les bras. Elles poursuivront les investissements pour le bonheur de ce secteur qui apporte de la valeur ajouté à l’économie. C’est un secteur en croissance.
Qu’en est-il de la
situation du tourisme
en Côte d’Ivoire
Malgré les bonnes intensions des autorités ivoiriennes, le tourisme en Côte d’Ivoire demeure dans l’informel. Avant la crise de 2002, ce secteur enregistrait plus de 400.000 touristes par an. Mais, à la suite de la crise, ce chiffre a considérablement baissé, atteignant ainsi 200.000 touristes par an. A ce jour, ce chiffre évoluerait pour se situer autour de 250.000. Des chiffres largement en-deçà des attentes, vu la position de la Côte d’Ivoire, en tant que pays phare de la sous-région ouest africaine. Plusieurs raisons expliqueraient cette situation. L’on avance des problèmes de réception et de capacité d’accueil de plusieurs centaines de touristes à la fois. A ce jour, explique une source du ministère du tourisme et de l’artisanat, seul l’Hôtel Ivoire a cette capacité d’accueil. Mais qu’elle tienne, cette idée ne saurait expliquer le manque d’affluence des touristes en Côte d’Ivoire.
Honoré Kouassi
Etre un pays développé, cela ne dépend pas forcément des quantités de ressources tirées du sous-sol ou des mannes financières obtenues à partir des récoltes ou des cultures. Tout dépend du choix des politiques macroéconomiques et des orientations des choix stratégiques. L’Israël en a donné la preuve, en transformant son désert en paradis, par la force du travail. Il en va de même pour d’autres pays. Les autorités du Royaume Shérifien n’échappent pas à la règle. Pas assez de ressources, mais ce pays a su s’imposer, en devenant une destination fréquentable, qui attire plus de visiteurs par an. En tant que pays-touristique, le Royaume du Maroc suscite envie à tout venant des autres pays d’Afrique de l’Ouest et du centre, de passage ou en séjour dans le cadre d’une mission.
Le Maroc, un pays
où le tourisme occupe
une place de choix
Le Maroc est un des pays maghrébins à pratiquer le brassage culturel intense. Où chrétiens, musulmans et juifs se côtoient et vivent en parfaite harmonie. Ce qui constitue un atout de stabilité pour ce pays orienté vers le progrès et le développement. Avec 500 mille naissances par an, la population marocaine paraît très jeune. L’on en dénombre près de 25 millions. La principale ressource économique du pays est basée sur le phosphate, représentant 75% de la réserve mondiale. A côté du phosphate, il y a l’activité de la pêche, l’agriculture puis le Tourisme, devenu le principal moteur de l’économie. Car, constituant un indicateur de la bonne santé de l’économie. Pour ce qui est du tourisme, le Maroc s’appuie sur sa façade maritime longue de plusieurs centaines de kilomètres, ainsi que le secteur de l’hôtellerie et de la restauration. Outre ces atouts, les Marocains jouissent des voix d’accès terrestres, toutes bitumées. A ce jour, il existe au Maroc plus de 1900 de kilomètres d’autoroutes bitumées. Ce qui permet une mobilité dans le pays, facilitant ainsi les trajets aux visiteurs. Il existe de même une voie ferrée qui sert de liaison entre les villes. Elle est la plus utilisée, en plus des cars de transport. Un circuit de tramway est même en construction. Fin 2009, le tourisme marocain a atteint 8,3 millions de visiteurs, pour une progression de 6,5%. Cette progression est le fruit de la volonté politique nationale. Avec le lancement en 2001, d’une stratégie touristique ambitieuse. Depuis le lancement de vision, le secteur touristique a pris son envol, contribuant ainsi à la création de la richesse nationale. Malgré cette croissance, les autorités marocaines n’entendent pas baisser les bras. Elles poursuivront les investissements pour le bonheur de ce secteur qui apporte de la valeur ajouté à l’économie. C’est un secteur en croissance.
Qu’en est-il de la
situation du tourisme
en Côte d’Ivoire
Malgré les bonnes intensions des autorités ivoiriennes, le tourisme en Côte d’Ivoire demeure dans l’informel. Avant la crise de 2002, ce secteur enregistrait plus de 400.000 touristes par an. Mais, à la suite de la crise, ce chiffre a considérablement baissé, atteignant ainsi 200.000 touristes par an. A ce jour, ce chiffre évoluerait pour se situer autour de 250.000. Des chiffres largement en-deçà des attentes, vu la position de la Côte d’Ivoire, en tant que pays phare de la sous-région ouest africaine. Plusieurs raisons expliqueraient cette situation. L’on avance des problèmes de réception et de capacité d’accueil de plusieurs centaines de touristes à la fois. A ce jour, explique une source du ministère du tourisme et de l’artisanat, seul l’Hôtel Ivoire a cette capacité d’accueil. Mais qu’elle tienne, cette idée ne saurait expliquer le manque d’affluence des touristes en Côte d’Ivoire.
Honoré Kouassi