M. N’Guessan Sylvain, chargé de communication à la mairie de Grand-Bassam, a le sommeil troublé. Il n’est pas prêt d’oublier le mauvais quart d’heure qu’il a passé avec des malfrats dans la nuit du jeudi 6 mai. Trois gangsters puissamment armés ont pénétré chez lui et ont fait main basse sur des objets de valeurs. Le préjudice s’élève à plus de 500.000 Fcfa.
Jeudi 6 mai, il est 22 heures pendant qu’il était à son domicile au quartier Congo, M. N’Guessan Sylvain reçoit la visite inopinée de 3 individus. Sylvain n’a pas le temps de réaliser ce qui se passe que les scélérats déclinent leur vraie identité et très rapidement tiennent en respect toute la maisonnée. Armés de pistolets automatiques et de couteaux, l’un d’eux portait une cagoule, ils ratissent le salon. Et emportent des portables et un ordinateur portable. M. Konan Gérôme, cadre dans une entreprise à Abidjan, et ami de la famille, venu rendre visite, n’a pas été épargné par les fouilles corporelles de ces hommes sans foi ni loi. Non satisfaits de leur butin, ils font irruption dans la chambre à coucher. Là, les voyous mettent la maison sens dessus dessous. Et ajoutent à leur butin des numéraires et des bijoux. Après leur forfait, les bandits se fondent dans la nature. Sur leur chemin, ils braquent un motocycliste et un boutiquier d’origine mauritanienne. Soulignons que cette bande qui sévit, depuis quelque temps dans l’ancienne capitale ivoirienne, s’est signalée, le 15 mars dernier au maquis Calao du quartier Château. Les éléments du commissaire Adou, informés, ne tardent pas à investir les lieux. La police va sans doute traquer ces voyous qui troublent le sommeil des honnêtes citoyens à Grand-Bassam.
Emmanuelle Kanga à Grand-Bassam
Jeudi 6 mai, il est 22 heures pendant qu’il était à son domicile au quartier Congo, M. N’Guessan Sylvain reçoit la visite inopinée de 3 individus. Sylvain n’a pas le temps de réaliser ce qui se passe que les scélérats déclinent leur vraie identité et très rapidement tiennent en respect toute la maisonnée. Armés de pistolets automatiques et de couteaux, l’un d’eux portait une cagoule, ils ratissent le salon. Et emportent des portables et un ordinateur portable. M. Konan Gérôme, cadre dans une entreprise à Abidjan, et ami de la famille, venu rendre visite, n’a pas été épargné par les fouilles corporelles de ces hommes sans foi ni loi. Non satisfaits de leur butin, ils font irruption dans la chambre à coucher. Là, les voyous mettent la maison sens dessus dessous. Et ajoutent à leur butin des numéraires et des bijoux. Après leur forfait, les bandits se fondent dans la nature. Sur leur chemin, ils braquent un motocycliste et un boutiquier d’origine mauritanienne. Soulignons que cette bande qui sévit, depuis quelque temps dans l’ancienne capitale ivoirienne, s’est signalée, le 15 mars dernier au maquis Calao du quartier Château. Les éléments du commissaire Adou, informés, ne tardent pas à investir les lieux. La police va sans doute traquer ces voyous qui troublent le sommeil des honnêtes citoyens à Grand-Bassam.
Emmanuelle Kanga à Grand-Bassam
