Le ministre des Nouvelles technologies de l’information et de la communication (Ntic), Jacques Houga Bi Gohorey, veut mettre les pendules à l’heure en ce qui concerne la formation des hauts cadres des postes et télécommunications. Il en a donné le signe. En se rendant le mercredi 19 mai, pour sa première visite des structures sous tutelle, à l’ex-Institut supérieur africain des postes et télécommunications (Isapt). En effet, désormais l’institution panafricaine devient l’École supérieure africaine des technologies de l’information et de la communication (Esatic).
Le nom porte en lui-même les raisons du changement. Et le ministre Houga Bi Gohorey l’a signifié au terme de sa visite : « Je compte faire de la formation des ressources humaines une priorité, pour être en phase avec le développement du secteur ». Le ministère estime que plusieurs formations en télécommunications sont données dans bien des écoles de la place. Seulement, le contenu du programme reste à désirer.
Partant, les jeunes formés ne sont pas suffisamment et efficacement outillés pour répondre aux exigences de la discipline. Il s’agit de corriger tout cela, en faisant de l’Esatic, un établissement d’excellence, à la disposition de l’Afrique.
L’institution de formation renaît en réalité de ses cendres, 12 bonnes années après. C’est fin 1998, en effet, qu’elle avait fermé ses portes. C’est sûr, ces nombreuses années d’inactivité ont laissé des traces. Ce qui explique qu’une réhabilitation est nécessaire. Les travaux sont même en cours. Le ministre des Ntic a donné l’assurance qu’ils seront achevés avant septembre prochain. Car, c’est le mois de réouverture de l’école, qui compte un bâtiment administratif, des locaux pour les cours, une cité dortoir de 400 places et un restaurant.
Adama Koné
Auteur de cet article: Adama Koné
Le nom porte en lui-même les raisons du changement. Et le ministre Houga Bi Gohorey l’a signifié au terme de sa visite : « Je compte faire de la formation des ressources humaines une priorité, pour être en phase avec le développement du secteur ». Le ministère estime que plusieurs formations en télécommunications sont données dans bien des écoles de la place. Seulement, le contenu du programme reste à désirer.
Partant, les jeunes formés ne sont pas suffisamment et efficacement outillés pour répondre aux exigences de la discipline. Il s’agit de corriger tout cela, en faisant de l’Esatic, un établissement d’excellence, à la disposition de l’Afrique.
L’institution de formation renaît en réalité de ses cendres, 12 bonnes années après. C’est fin 1998, en effet, qu’elle avait fermé ses portes. C’est sûr, ces nombreuses années d’inactivité ont laissé des traces. Ce qui explique qu’une réhabilitation est nécessaire. Les travaux sont même en cours. Le ministre des Ntic a donné l’assurance qu’ils seront achevés avant septembre prochain. Car, c’est le mois de réouverture de l’école, qui compte un bâtiment administratif, des locaux pour les cours, une cité dortoir de 400 places et un restaurant.
Adama Koné
Auteur de cet article: Adama Koné