Le ministre des infrastructures économiques, Dagobert Banzio était le samedi 22 mai 2010 à Jacqueville pour s’informer sur l’avancement des travaux du pont, dont la première pierre a été posée en Juillet 2009.
Prévu pour deux ans, le pont de Jacqueville pourrait ne pas être rendu dans le délai annoncé. Le samedi dernier, le ministre des infrastructures économiques s’est rendu compte de quelques difficultés auxquelles sont confrontés, les maîtres d’ouvrage du chantier. Si l’installation dudit chantier a été effectuée à 100% au vue de l’ouvrage, de la préparation d’un quai provisoire pour dévier le bac, la création d’un second quai qui servira à acheminer le matériel de construction du pont, il reste cependant à démarrer les travaux proprement dits du pont. « Nous sommes à ce jour à 20% de l’exécution des travaux », a révélé Mr Chamir, chargé de mission de contrôle pour le compte du maître d’ouvrage. Qui n’a pas hésité à présenter au ministre des infrastructures économiques, le tableau de leurs besoins. L’entreprise Arabe contractor, chargée de réaliser l’ouvrage, est aujourd’hui confrontée à la lenteur de délaissement de fonds par les bailleurs de fonds. « Les financement doivent venir à temps. Tout le personnel et le matériel sont déjà sur place. Il faut faire vite pour avancer », a exhorté M. Chamir. En réponse, le ministre Dagobert Banzio, a fait savoir que toutes les phases de l’ouvrage sont très importantes, que ‘’toutes les parties doivent être prêtes à démarrer les travaux et sans arrêt dès leur exécution effective’’. « Ce genre d’ouvrage nécessite une organisation particulière afin de les suivre en accélérant les procédures », a-t-il précisé. Avant de féliciter les bailleurs de fonds qui selon lui, tiennent à respecter leurs engagements. Le coût de cet ouvrage est de 18 milliards de Fcfa dont les partenaires sont la BOAD, la BADEA, le fond OPEP.
Huberson Digbeu
Prévu pour deux ans, le pont de Jacqueville pourrait ne pas être rendu dans le délai annoncé. Le samedi dernier, le ministre des infrastructures économiques s’est rendu compte de quelques difficultés auxquelles sont confrontés, les maîtres d’ouvrage du chantier. Si l’installation dudit chantier a été effectuée à 100% au vue de l’ouvrage, de la préparation d’un quai provisoire pour dévier le bac, la création d’un second quai qui servira à acheminer le matériel de construction du pont, il reste cependant à démarrer les travaux proprement dits du pont. « Nous sommes à ce jour à 20% de l’exécution des travaux », a révélé Mr Chamir, chargé de mission de contrôle pour le compte du maître d’ouvrage. Qui n’a pas hésité à présenter au ministre des infrastructures économiques, le tableau de leurs besoins. L’entreprise Arabe contractor, chargée de réaliser l’ouvrage, est aujourd’hui confrontée à la lenteur de délaissement de fonds par les bailleurs de fonds. « Les financement doivent venir à temps. Tout le personnel et le matériel sont déjà sur place. Il faut faire vite pour avancer », a exhorté M. Chamir. En réponse, le ministre Dagobert Banzio, a fait savoir que toutes les phases de l’ouvrage sont très importantes, que ‘’toutes les parties doivent être prêtes à démarrer les travaux et sans arrêt dès leur exécution effective’’. « Ce genre d’ouvrage nécessite une organisation particulière afin de les suivre en accélérant les procédures », a-t-il précisé. Avant de féliciter les bailleurs de fonds qui selon lui, tiennent à respecter leurs engagements. Le coût de cet ouvrage est de 18 milliards de Fcfa dont les partenaires sont la BOAD, la BADEA, le fond OPEP.
Huberson Digbeu