L’Université de Bouaké-la-Neuve délocalisée à Abidjan a célébré la fête des mères qui intervient chaque dernier dimanche du mois de mai. Le lundi 31 mai 2010, la présidence sise à la 7ème Tranche à Cocody les 2 Plateaux, a vue une forte mobilisation des mères de cette Institution dans toute sa composante.
A cette occasion, le président de l’Université de Bouaké-la-Neuve, le Professeur Lazare POAME a adressé ses remerciements aux enseignantes-chercheurs, les chefs d’écoles, secrétaires, collaboratrices, techniciennes de surface. Il a noté que ‘’cette célébration était l’occasion de reconnaitre le mérite, la valeur intrinsèque d’un être par qui le monde est. Un monde pour lequel nous pouvons espérer en sauvegarder les valeurs en respectant la mère.
Lorsqu’une société entre en déliquescence, la meilleure façon d’en sortir s’est d’honorer les mères. Lorsqu’une Université comme la notre, pour ce que nous avons connu, veut se remettre en mouvement, nous avons un choix digne d’honorer les mères, parce que nous savons qu’avec la détermination de ces mères ici présentes, l’Université de Bouaké que nous baptisons désormais, Bouaké-la-Neuve franchira des étapes importantes dans sa marche vers la reconnaissance internationale de ses talents, de ses compétences, de ses performances. Si nous célébrons les femmes, c’est parce que nous voulons bâtir quelque chose de grand, et qui veut bâtir quelque chose de grand, doit s’accrocher à l’être auquel le grand Être ne peut rien refuser.’’. Par la suite, le président de l’Université de Bouaké-la-Neuve a présenté un pagne de cette institution frappé de son nouveau logo. Dans une ambiance de fête, chaque mère a reçu un présent. Le vice-président le Professeur Kodo Michel, le directeur de l’Unité Régionale de l’Enseignement Supérieur (URES) de Korhogo, le Professeur Zigui Koléa Paulin et le secrétaire général le Professeur Kouassi Germain, de cette Institution étaient présents.
Pour exprimer leur reconnaissance, le porte-parole des mères, Mme Kpohi née Esther a rendu un vibrant hommage aux autorités universitaires qui ont décidé de célébrer la mère.
‘’C’est avec un honneur rehaussé que je prends la parole au nom de toutes les femmes enseignantes et personnel administratif et technique de l’Université de Bouaké-la-neuve pour souhaiter à tous la fraternelle AKWABA.
Nous sommes réunis ici, cet après-midi, pour célébrer un heureux évènement qui est à sa toute première édition depuis la création de l’Université de Bouaké. Il s’agit bien, Mesdames et Messieurs de la célébration de la fête des mères.
Comme son nom l’indique, cette fête est célébrée dans le monde entier pour honorer et magnifier la femme. Celle-là même qui donne vie, celle-là même qui est la conseillère de l’humanité en général et de l’homme au sein de la famille, au sein du foyer et au sein de l’administration en particulier.
Educatrice, actrice et génératrice de revenu, la femme constitue un maillon essentiel au développement socio-économique d’un pays.
Autrefois, ses tâches étaient exclusivement destinées aux travaux ménagers. Chaque jour, son premier coup de balais et son premier tour au marigot, correspondaient au dernier chant du coq.
Aujourd’hui, aux réunions du sommet des chefs d’Etats africains, se trouve bien une femme, Madame Helen Johnson Sirleaf.
La femme est comme un arbre qui, planté au milieu d’un jardin, arrosé et entretenu, produit de belles fleurs et des fruits en son temps.
La grâce d’une épouse ou d’une mère fait la joie de son mari et sa science est pour lui une force. Celui qui acquiert une femme, a le principe de la fortune, une aide semblable à lui, une colombe d’appui. Un homme qui n’a pas de nid s’arrête là où la nuit le surprend. Tel le soleil levant sur les montagnes, le charme d’une femme sage et intelligente dans une maison bien tenue.
POAME homme de parole
M’adressant à vous Monsieur le Président, nous, les mamans de l’Université de Bouaké-la-neuve, les Winners et les FC POAME, reconnaissons en vous un homme de parole, un homme d’honneur et de probité, un homme de dignité et de conviction. Les qualités d’un homme qui a le sens élevé des relations humaines.
A travers cette prompte initiative, nous comprenons largement le sens que vous donnez à notre Institution : l’Université de Bouaké-la-Neuve. Nous souhaitons, Monsieur le Président, que cette célébration de la fête des mères se perpétue tout au long de la vie de cette institution. Aujourd’hui, nous réalisons la concrétisation de cette nouvelle appellation.
Soyez-en infiniment remercié.
Monsieur le Président, ce jour est un jour spécial que vous offrez à nous les mamans Winners et FC la-Neuve, malgré votre calendrier très chargé. Nous profitons de cette occasion, pour vous faire part de quelques-unes de nos préoccupations qui s’inscrivent en 2 volets :
Premièrement : - l’institution, en plus de la fête des mères, de l’arbre de Noël, le 23 décembre de chaque année.
La célébration de façon régulière de la journée internationale de la Secrétaire, le 14 avril de chaque année
L’organisation de la journée d’excellence au niveau du personnel administratif et technique
Deuxièmement : le paiement régulier de certaines primes à savoir :
Les HC (enseignantes) et HS (PAT)
Correction et délibération (enseignantes) et surveillance (PAT)
Jury de soutenance de thèse et mémoires (enseignantes)
Recherche (enseignantes)
Les vacations (enseignantes)
Monsieur le Président, pour terminer mon propos, une mère disait ceci à son enfant :
« Mon fils, n’oublie pas mon enseignement, et que ton cœur garde mes préceptes, car ils augmenteront la durée de tes jours, tes années de vie et ton bien-être. Que piété et fidélité ne te quittent. Fixe-les à ton cou, inscrits-les sur la tablette de ton cœur. Tu trouveras ainsi faveur et réussite aux regards de Dieu ». C’est sur ces mots que je souhaite à toutes les mères de la Neuve, BONNE FETE MAMAN !’’
Notons qu’à la fin du discours de Mme Kpohi née Esther, un cocktail a été offert.
A cette occasion, le président de l’Université de Bouaké-la-Neuve, le Professeur Lazare POAME a adressé ses remerciements aux enseignantes-chercheurs, les chefs d’écoles, secrétaires, collaboratrices, techniciennes de surface. Il a noté que ‘’cette célébration était l’occasion de reconnaitre le mérite, la valeur intrinsèque d’un être par qui le monde est. Un monde pour lequel nous pouvons espérer en sauvegarder les valeurs en respectant la mère.
Lorsqu’une société entre en déliquescence, la meilleure façon d’en sortir s’est d’honorer les mères. Lorsqu’une Université comme la notre, pour ce que nous avons connu, veut se remettre en mouvement, nous avons un choix digne d’honorer les mères, parce que nous savons qu’avec la détermination de ces mères ici présentes, l’Université de Bouaké que nous baptisons désormais, Bouaké-la-Neuve franchira des étapes importantes dans sa marche vers la reconnaissance internationale de ses talents, de ses compétences, de ses performances. Si nous célébrons les femmes, c’est parce que nous voulons bâtir quelque chose de grand, et qui veut bâtir quelque chose de grand, doit s’accrocher à l’être auquel le grand Être ne peut rien refuser.’’. Par la suite, le président de l’Université de Bouaké-la-Neuve a présenté un pagne de cette institution frappé de son nouveau logo. Dans une ambiance de fête, chaque mère a reçu un présent. Le vice-président le Professeur Kodo Michel, le directeur de l’Unité Régionale de l’Enseignement Supérieur (URES) de Korhogo, le Professeur Zigui Koléa Paulin et le secrétaire général le Professeur Kouassi Germain, de cette Institution étaient présents.
Pour exprimer leur reconnaissance, le porte-parole des mères, Mme Kpohi née Esther a rendu un vibrant hommage aux autorités universitaires qui ont décidé de célébrer la mère.
‘’C’est avec un honneur rehaussé que je prends la parole au nom de toutes les femmes enseignantes et personnel administratif et technique de l’Université de Bouaké-la-neuve pour souhaiter à tous la fraternelle AKWABA.
Nous sommes réunis ici, cet après-midi, pour célébrer un heureux évènement qui est à sa toute première édition depuis la création de l’Université de Bouaké. Il s’agit bien, Mesdames et Messieurs de la célébration de la fête des mères.
Comme son nom l’indique, cette fête est célébrée dans le monde entier pour honorer et magnifier la femme. Celle-là même qui donne vie, celle-là même qui est la conseillère de l’humanité en général et de l’homme au sein de la famille, au sein du foyer et au sein de l’administration en particulier.
Educatrice, actrice et génératrice de revenu, la femme constitue un maillon essentiel au développement socio-économique d’un pays.
Autrefois, ses tâches étaient exclusivement destinées aux travaux ménagers. Chaque jour, son premier coup de balais et son premier tour au marigot, correspondaient au dernier chant du coq.
Aujourd’hui, aux réunions du sommet des chefs d’Etats africains, se trouve bien une femme, Madame Helen Johnson Sirleaf.
La femme est comme un arbre qui, planté au milieu d’un jardin, arrosé et entretenu, produit de belles fleurs et des fruits en son temps.
La grâce d’une épouse ou d’une mère fait la joie de son mari et sa science est pour lui une force. Celui qui acquiert une femme, a le principe de la fortune, une aide semblable à lui, une colombe d’appui. Un homme qui n’a pas de nid s’arrête là où la nuit le surprend. Tel le soleil levant sur les montagnes, le charme d’une femme sage et intelligente dans une maison bien tenue.
POAME homme de parole
M’adressant à vous Monsieur le Président, nous, les mamans de l’Université de Bouaké-la-neuve, les Winners et les FC POAME, reconnaissons en vous un homme de parole, un homme d’honneur et de probité, un homme de dignité et de conviction. Les qualités d’un homme qui a le sens élevé des relations humaines.
A travers cette prompte initiative, nous comprenons largement le sens que vous donnez à notre Institution : l’Université de Bouaké-la-Neuve. Nous souhaitons, Monsieur le Président, que cette célébration de la fête des mères se perpétue tout au long de la vie de cette institution. Aujourd’hui, nous réalisons la concrétisation de cette nouvelle appellation.
Soyez-en infiniment remercié.
Monsieur le Président, ce jour est un jour spécial que vous offrez à nous les mamans Winners et FC la-Neuve, malgré votre calendrier très chargé. Nous profitons de cette occasion, pour vous faire part de quelques-unes de nos préoccupations qui s’inscrivent en 2 volets :
Premièrement : - l’institution, en plus de la fête des mères, de l’arbre de Noël, le 23 décembre de chaque année.
La célébration de façon régulière de la journée internationale de la Secrétaire, le 14 avril de chaque année
L’organisation de la journée d’excellence au niveau du personnel administratif et technique
Deuxièmement : le paiement régulier de certaines primes à savoir :
Les HC (enseignantes) et HS (PAT)
Correction et délibération (enseignantes) et surveillance (PAT)
Jury de soutenance de thèse et mémoires (enseignantes)
Recherche (enseignantes)
Les vacations (enseignantes)
Monsieur le Président, pour terminer mon propos, une mère disait ceci à son enfant :
« Mon fils, n’oublie pas mon enseignement, et que ton cœur garde mes préceptes, car ils augmenteront la durée de tes jours, tes années de vie et ton bien-être. Que piété et fidélité ne te quittent. Fixe-les à ton cou, inscrits-les sur la tablette de ton cœur. Tu trouveras ainsi faveur et réussite aux regards de Dieu ». C’est sur ces mots que je souhaite à toutes les mères de la Neuve, BONNE FETE MAMAN !’’
Notons qu’à la fin du discours de Mme Kpohi née Esther, un cocktail a été offert.