Mamadou Koulibaly par- ci Mamadou Koulibaly par là, dans le rôle du dénigrement d’un régime dont il est cadre et complice. Qu’est- ce qui fait courir le très contesté Président du Parlement ivoirien ? Tapé Koulou parle de ce chantre de la démolition du pouvoir Gbagbo.
La presse nationale a fait ces jours- ci ‘‘ l’atalaku’’ de monsieur Mamadou Koulibaly, le Président de l’Assemblée Nationale, issu du Front Populaire Ivoirien. L’homme, dit – on, dérange par ses prises de position souvent en porte à faux avec la ligne de son parti. S’il est vrai que les propos de Mamadou l’engagent, il n’en demeure pas moins que nous nous invitons dans ce débat, même si, nous ne sommes pas du même parti politique que lui, parce qu’il a pris une allure nationale. Qui est vraiment Mamadou Koulibaly ? Pour mémoire, le 25 octobre 2000, nous étions au domicile du chef de l’Etat avec Dame Nady Bamba, Désiré Tagro, au moment même où Mamadou Koulibaly était absent. Après cela, sur recommandation du chef de l’Etat, SEM Laurent Gbagbo, nous avons pris langue avec Mamadou Koulibaly pour aller chercher le Premier ministre d’alors, Seydou Elimane Diarra, avec qui, nous sommes revenus au domicile du chef de l’Etat en présence du ministre Paul Antoine Bohoun Bouabré qui nous a rejoint par la suite. Nous nous invitons dans le débat, parce que nous trouvons outrageant qu’à travers ces derniers propos, l’honorable Mamadou Koulibaly appelle au soulèvement contre les Institutions de la République, dont je suis un fervent défenseur. Je rappelle par ailleurs que depuis ce jour, où Mamadou Koulibaly faisait une cour assidue au nouvel élu, il a brillé par la suite par son absence jusqu’à l’éclatement de la guerre en septembre 2002. Pour montrer une fois de plus son amour pour son pays, il était encore au domicile du chef de l’Etat, alors en visite officielle en Italie(Rome). Ce jour-là, étaient présents, M.M Kadet Bertin, Lida Kouassi Moise et bien sûr, Paul Antoine Bohoun Bouabré. En ce moment, certains chefs d’Institutions que le Président Laurent Gbagbo a positionnées étaient en villégiature. Suivez mon regard. Autant dire qu’en l’absence du chef de l’Etat, certains citoyens ivoiriens ont fait preuve de courage pour protéger les Institutions de la République. Tel est le cas, de Désiré Tagro qui a beaucoup appris auprès de Feu Boga Doudou où, il assuré les responsabilités de Directeur de Cabinet. Pou témoigner sa reconnaissance à Désiré Tagro, le Président de la République le nomme ministre de la Justice. Une nomination qui n’avait rien de fantaisiste. En effet, le ministre Tagro détenait des dossiers en béton sur le président du Rassemblement des Républicains, Alassane Dramane Ouattara, contre qui, il a lancé un mandat d’arrêt international. Paniquées, certaines puissances internationales et leurs ramifications ont initié l’accord de Marcoussis. La suite on la connait. Après les échecs des accords antérieurs, avec son ami Bictogo Adama, Désiré Tagro initie et encourage l’APO, bien sûr avec la complicité de Sidiki Konaté. Cet accord, quoiqu’on puisse dire, a enregistré des avancées notables. Alors, d’où vient-il que le Président Mamadou, rue dans les brancards pour brocarder le sécurocrate ivoirien ? M. le Président de l’Assemblée nationale, si quelqu’un doit démissionner, c’est plutôt vous et non le ministre Désiré Tagro. C’est cela la vérité. De fait, Désiré Tagro suscite l’aigreur et la jalousie des militants de première heure comme Mamadou Koulibaly. La carrière politique de l’actuel ministre de l’Intérieur lui a valu soutiens et affections en dehors du pays. Toute chose qui le pousse aujourd’hui à combattre l’homme qui a permis à la Côte d’Ivoire à renouer un tant soit peu avec la paix. Cela explique toute sa haine contre M. Désiré Tagro qui lui vole chaque jour la vedette auprès du Président Laurent Gbagbo et de la République. En un mot, il n’ ya que ceux qui ne font rien qui se plaignent auprès de ceux qui cherchent à sauver la Côte d’ivoire comme Désiré Tagro avec le dialogue direct qu’il a initié avec l’ex- rébellion.
Ibrahim Fall
La presse nationale a fait ces jours- ci ‘‘ l’atalaku’’ de monsieur Mamadou Koulibaly, le Président de l’Assemblée Nationale, issu du Front Populaire Ivoirien. L’homme, dit – on, dérange par ses prises de position souvent en porte à faux avec la ligne de son parti. S’il est vrai que les propos de Mamadou l’engagent, il n’en demeure pas moins que nous nous invitons dans ce débat, même si, nous ne sommes pas du même parti politique que lui, parce qu’il a pris une allure nationale. Qui est vraiment Mamadou Koulibaly ? Pour mémoire, le 25 octobre 2000, nous étions au domicile du chef de l’Etat avec Dame Nady Bamba, Désiré Tagro, au moment même où Mamadou Koulibaly était absent. Après cela, sur recommandation du chef de l’Etat, SEM Laurent Gbagbo, nous avons pris langue avec Mamadou Koulibaly pour aller chercher le Premier ministre d’alors, Seydou Elimane Diarra, avec qui, nous sommes revenus au domicile du chef de l’Etat en présence du ministre Paul Antoine Bohoun Bouabré qui nous a rejoint par la suite. Nous nous invitons dans le débat, parce que nous trouvons outrageant qu’à travers ces derniers propos, l’honorable Mamadou Koulibaly appelle au soulèvement contre les Institutions de la République, dont je suis un fervent défenseur. Je rappelle par ailleurs que depuis ce jour, où Mamadou Koulibaly faisait une cour assidue au nouvel élu, il a brillé par la suite par son absence jusqu’à l’éclatement de la guerre en septembre 2002. Pour montrer une fois de plus son amour pour son pays, il était encore au domicile du chef de l’Etat, alors en visite officielle en Italie(Rome). Ce jour-là, étaient présents, M.M Kadet Bertin, Lida Kouassi Moise et bien sûr, Paul Antoine Bohoun Bouabré. En ce moment, certains chefs d’Institutions que le Président Laurent Gbagbo a positionnées étaient en villégiature. Suivez mon regard. Autant dire qu’en l’absence du chef de l’Etat, certains citoyens ivoiriens ont fait preuve de courage pour protéger les Institutions de la République. Tel est le cas, de Désiré Tagro qui a beaucoup appris auprès de Feu Boga Doudou où, il assuré les responsabilités de Directeur de Cabinet. Pou témoigner sa reconnaissance à Désiré Tagro, le Président de la République le nomme ministre de la Justice. Une nomination qui n’avait rien de fantaisiste. En effet, le ministre Tagro détenait des dossiers en béton sur le président du Rassemblement des Républicains, Alassane Dramane Ouattara, contre qui, il a lancé un mandat d’arrêt international. Paniquées, certaines puissances internationales et leurs ramifications ont initié l’accord de Marcoussis. La suite on la connait. Après les échecs des accords antérieurs, avec son ami Bictogo Adama, Désiré Tagro initie et encourage l’APO, bien sûr avec la complicité de Sidiki Konaté. Cet accord, quoiqu’on puisse dire, a enregistré des avancées notables. Alors, d’où vient-il que le Président Mamadou, rue dans les brancards pour brocarder le sécurocrate ivoirien ? M. le Président de l’Assemblée nationale, si quelqu’un doit démissionner, c’est plutôt vous et non le ministre Désiré Tagro. C’est cela la vérité. De fait, Désiré Tagro suscite l’aigreur et la jalousie des militants de première heure comme Mamadou Koulibaly. La carrière politique de l’actuel ministre de l’Intérieur lui a valu soutiens et affections en dehors du pays. Toute chose qui le pousse aujourd’hui à combattre l’homme qui a permis à la Côte d’Ivoire à renouer un tant soit peu avec la paix. Cela explique toute sa haine contre M. Désiré Tagro qui lui vole chaque jour la vedette auprès du Président Laurent Gbagbo et de la République. En un mot, il n’ ya que ceux qui ne font rien qui se plaignent auprès de ceux qui cherchent à sauver la Côte d’ivoire comme Désiré Tagro avec le dialogue direct qu’il a initié avec l’ex- rébellion.
Ibrahim Fall