Donner une place plus importante à la femme dans le processus de développement durable en Côte d’Ivoire. C’est la recommandation que fait le livre présenté, hier, par le ministère du Plan et du Développement.
«La femme a été ciblée dans les programmes de développement comme principal foyer de pauvreté. A ce titre, l’amélioration de la productivité alimentaire passe par l’accroissement de ses capacités. Principalement ses connaissances technologiques». Les conclusions générales du livre, ‘’Les conditions du développement durable de la Côte d’Ivoire’’, hier, au Golf hôtel à Cocody, par le Bureau national de la prospective (Bnp) du ministère du Plan et du Développement, sont édifiantes. Selon l’ouvrage, l’amélioration du statut social de la femme peut limiter les ruptures de la cohésion sociale, accroître sa contribution à la croissance et favoriser une meilleure protection de l’environnement. C’est un ouvrage de 250 pages qui renferme l’ensemble des résolutions du séminaire organisé par le Bnp les 17 et 18 juin 2008 dans le cadre de la première étape du projet Côte d’Ivoire ‘’Prospective 2040’’. Dix conditions pour un développement durable y ont été répertoriées. Il s’agit, entre autres, de la gestion de l’économie, la garantie de l’égalité, la lutte contre l’exclusion sociale, la limitation du gaspillage. Une évaluation sommaire de l’accomplissement des préalables a été effectuée à trois niveaux : bonne réalisation, faible réalisation et non réalisation. Ainsi, 8,8 % des conditions ont-ils connu une bonne réalisation. 16,5%, une faible réalisation et 74,7% n’ont pas été réalisés. Selon le ministre du Plan et du Développement, Paul Antoine Bohoun Bouabré, l’ouvrage mis en place a pour but d’apporter un éclaircissement sur le contenu « d’un terme à la mode » : le développement durable. C’est pourquoi, argumente-t-il, les différents thèmes ont été posés sous la forme interrogative pour amener les citoyens à poser les problèmes et à trouver les solutions eux-mêmes. Ce qui doit permettre à l’Etat de relever trois défis majeurs : l’efficacité, l’équité et la préservation de l’environnement et des ressources naturelles. Ce, pour assurer le bien-être de la génération actuelle et préserver l’intérêt des générations futures. Des exemplaires du livre ont été remis aux représentants des autres ministres, présents à la cérémonie, afin d’insuffler à la Côte d’Ivoire le développement durable, le vrai.
Sanou Amadou (stagiaire)
«La femme a été ciblée dans les programmes de développement comme principal foyer de pauvreté. A ce titre, l’amélioration de la productivité alimentaire passe par l’accroissement de ses capacités. Principalement ses connaissances technologiques». Les conclusions générales du livre, ‘’Les conditions du développement durable de la Côte d’Ivoire’’, hier, au Golf hôtel à Cocody, par le Bureau national de la prospective (Bnp) du ministère du Plan et du Développement, sont édifiantes. Selon l’ouvrage, l’amélioration du statut social de la femme peut limiter les ruptures de la cohésion sociale, accroître sa contribution à la croissance et favoriser une meilleure protection de l’environnement. C’est un ouvrage de 250 pages qui renferme l’ensemble des résolutions du séminaire organisé par le Bnp les 17 et 18 juin 2008 dans le cadre de la première étape du projet Côte d’Ivoire ‘’Prospective 2040’’. Dix conditions pour un développement durable y ont été répertoriées. Il s’agit, entre autres, de la gestion de l’économie, la garantie de l’égalité, la lutte contre l’exclusion sociale, la limitation du gaspillage. Une évaluation sommaire de l’accomplissement des préalables a été effectuée à trois niveaux : bonne réalisation, faible réalisation et non réalisation. Ainsi, 8,8 % des conditions ont-ils connu une bonne réalisation. 16,5%, une faible réalisation et 74,7% n’ont pas été réalisés. Selon le ministre du Plan et du Développement, Paul Antoine Bohoun Bouabré, l’ouvrage mis en place a pour but d’apporter un éclaircissement sur le contenu « d’un terme à la mode » : le développement durable. C’est pourquoi, argumente-t-il, les différents thèmes ont été posés sous la forme interrogative pour amener les citoyens à poser les problèmes et à trouver les solutions eux-mêmes. Ce qui doit permettre à l’Etat de relever trois défis majeurs : l’efficacité, l’équité et la préservation de l’environnement et des ressources naturelles. Ce, pour assurer le bien-être de la génération actuelle et préserver l’intérêt des générations futures. Des exemplaires du livre ont été remis aux représentants des autres ministres, présents à la cérémonie, afin d’insuffler à la Côte d’Ivoire le développement durable, le vrai.
Sanou Amadou (stagiaire)
