Le riz, la principale denrée alimentaire des Ivoiriens a connu une hausse de prix. Une élévation du coût qui fait grincer les dents dans les ménages.
Une fois encore, l'Etat ivoirien a démontré qu'il était très loin de sa politique sociale pourtant supposée être le pilier de ses actions. La récente augmentation du prix du riz en est la parfaite illustration. Les populations vont devoir débourser 2000 Fcfa de plus pour s'octroyer un sac de riz. Une somme que beaucoup de foyers ivoiriens triment quotidiennement pour avoir. Et ce qui est curieux dans l'affaire, c'est le mutisme des associations de consommateurs qui laisse supposer que ces structures se sont laissées corrompre par les grosses centrales d'achat et de vente de la place. Et pourtant, promesse avait été faite à la suite d'une augmentation antérieure de prix, de protéger les produits de grande consommation tels que le riz, le lait, le sucre et l'huile d'une quelconque hausse. Une chose est sûre, la grogne de la population est perceptible. Et si aucune mesure d'assouplissement n'est prise, on risque d'assister à une révolte des Ivoiriens. Car on le répète : le riz fait partie des habitudes alimentaires, comme le pain dans les pays développés. La sonnette d'alarme a retenti. A l'Etat de prendre ses responsabilités pour l'intérêt des populations
N'da Jean-Yves
Une fois encore, l'Etat ivoirien a démontré qu'il était très loin de sa politique sociale pourtant supposée être le pilier de ses actions. La récente augmentation du prix du riz en est la parfaite illustration. Les populations vont devoir débourser 2000 Fcfa de plus pour s'octroyer un sac de riz. Une somme que beaucoup de foyers ivoiriens triment quotidiennement pour avoir. Et ce qui est curieux dans l'affaire, c'est le mutisme des associations de consommateurs qui laisse supposer que ces structures se sont laissées corrompre par les grosses centrales d'achat et de vente de la place. Et pourtant, promesse avait été faite à la suite d'une augmentation antérieure de prix, de protéger les produits de grande consommation tels que le riz, le lait, le sucre et l'huile d'une quelconque hausse. Une chose est sûre, la grogne de la population est perceptible. Et si aucune mesure d'assouplissement n'est prise, on risque d'assister à une révolte des Ivoiriens. Car on le répète : le riz fait partie des habitudes alimentaires, comme le pain dans les pays développés. La sonnette d'alarme a retenti. A l'Etat de prendre ses responsabilités pour l'intérêt des populations
N'da Jean-Yves