Face à la crise financière, le débat autour du rôle des Etats africains dans l’économie s’est fait de façon discordante. Dans cet état de fait, la Banque africaine de développement (BAD) a choisi d’orienter les différents Etats africains sur leur fonction fondamentale.
Le rôle de l’Etat dans l’économie a toujours été un sujet prêtant à controverse. Pendant la crise économique mondiale l’on a vu et constaté les limites du capitalisme qui depuis plusieurs décennies a été la voie idéale pour atteindre le développement durable. Aujourd’hui, même si les Etats africains ont livré une résistance héroïque face à cette récession mondiale, il est de plus en plus manifeste que l’ère du néolibéralisme pur et dur est révolue. A ce titre, la conception conventionnelle du rôle de l’Etat dans l’économie de marché fait l’objet d’une importante remise en question. D’où la nécessité pour le groupe de la Banque africaine de développement (BAD) de définir ces responsabilités en éclairant les Etats africains sur leur rôle prépondérant. Ainsi pour la BAD, les Etats et décideurs africains doivent être informés sur le type de fonction qu’il convient de laisser au secteur privé et les autres responsabilités pouvant requérir à l’Etat. Pour l’institution financière, l’Etat doit, s’engager, en fournissant, en prêtant main forte, en assurant et en servant d’arbitre ou en attirant différents acteurs dans le secteur. Car il existe des activités dans lesquelles l’intervention de l’Etat est préjudiciable, indésirable ou même inefficace. Dans la mesure où elle entrave les efforts des entités privées. Selon la BAD, il est alors inopportun de s’appesantir sur des concepts idéologiques ou faire des déclarations à l’emporte pièce en faveur de l’économie libérale ou de l’économie dirigée. La solution pour la BAD, réside plutôt dans l’instauration d’un environnement porteur, propice à maximiser les complémentarités entre secteur public et privé à travers des partenariats entre entreprises publiques et privés pour la réalisation de certains grands projets de développement. Et aussi trouver des options en matière de gestion du secteur public qui maximise également la contribution de celui-ci tout en optimisant les synergies avec le secteur privé. Ceci sous la houlette de la Banque en tant que principal acteur de développement en Afrique.
B.K.
Le rôle de l’Etat dans l’économie a toujours été un sujet prêtant à controverse. Pendant la crise économique mondiale l’on a vu et constaté les limites du capitalisme qui depuis plusieurs décennies a été la voie idéale pour atteindre le développement durable. Aujourd’hui, même si les Etats africains ont livré une résistance héroïque face à cette récession mondiale, il est de plus en plus manifeste que l’ère du néolibéralisme pur et dur est révolue. A ce titre, la conception conventionnelle du rôle de l’Etat dans l’économie de marché fait l’objet d’une importante remise en question. D’où la nécessité pour le groupe de la Banque africaine de développement (BAD) de définir ces responsabilités en éclairant les Etats africains sur leur rôle prépondérant. Ainsi pour la BAD, les Etats et décideurs africains doivent être informés sur le type de fonction qu’il convient de laisser au secteur privé et les autres responsabilités pouvant requérir à l’Etat. Pour l’institution financière, l’Etat doit, s’engager, en fournissant, en prêtant main forte, en assurant et en servant d’arbitre ou en attirant différents acteurs dans le secteur. Car il existe des activités dans lesquelles l’intervention de l’Etat est préjudiciable, indésirable ou même inefficace. Dans la mesure où elle entrave les efforts des entités privées. Selon la BAD, il est alors inopportun de s’appesantir sur des concepts idéologiques ou faire des déclarations à l’emporte pièce en faveur de l’économie libérale ou de l’économie dirigée. La solution pour la BAD, réside plutôt dans l’instauration d’un environnement porteur, propice à maximiser les complémentarités entre secteur public et privé à travers des partenariats entre entreprises publiques et privés pour la réalisation de certains grands projets de développement. Et aussi trouver des options en matière de gestion du secteur public qui maximise également la contribution de celui-ci tout en optimisant les synergies avec le secteur privé. Ceci sous la houlette de la Banque en tant que principal acteur de développement en Afrique.
B.K.