La conférence des Nations Unies sur le cacao, destinée à la négociation du septième accord international sur le cacao, a été ouverte officiellement le 21 juin 2010 à Genève, sous les auspices de la conférence des nations Unies pour le Commerce et le Développement (CNUCED). Les participants ont jusqu’au 25 juin pour décider du sort de cette matière, à travers l’adoption d’un nouvel accord internationale.
La session de réflexion sur la mise en place du nouvel accord sur l’économie cacaoyère est présidée par l’Ivoirien, S.E.M Guy Alain Gauze, en sa qualité de président de la Conférence des nations unies sur le cacao 2010. Jusqu’au 25 juin 2010, il devra obtenir la conclusion du nouvel accord qui devra garantir l’avenir du cacao. Cette grande tâche incombe à l’ambassadeur Guy Alain Gauze sur qui les négociateurs plénipotentiaires des pays producteurs, portent un grand espoir. Le lundi 21 juin, à l’ouverture des assises, plusieurs communications ont été dites. Celles-ci ont principalement porté sur les enjeux et les défis du futur Accord international sur le cacao dont le but est de relever le défi de préservation de l’économie et de l’industrie du cacao en tant que facteur contribuant à la lutte contre la pauvreté dans les pays producteurs. Dans cette dynamique, les différents intervenants ont mis en évidence la transparence du marché grâce à des mécanismes d’information statistique sur la production, la consommation, la gestion des stocks, les broyages, les produits dérivés du cacao aussi bien dans les pays producteurs que consommateurs, les autres enjeux et défis majeurs auxquels les négociations et l’Accord international seront confrontés concernant le concept de la durabilité de l’économie cacaoyère mondiale articulé autour des exigences économiques, sociales et environnementales. En outre, l’avenir de l’économie cacaoyère est aux mains de l’Ambassadeur Guy Alain Gauze, président de la conférence de négociation des Nations Unies, qui devra convaincre, pour obtenir le nouvel Accord international sur le cacao, le septième du genre depuis l’Accord international de 1973 et qui est appelé à succéder à l’Accord international de 2001. «La présente conférence des Nations Unies sur le cacao se déroule dans un contexte historique particulier, au regard de l’environnement économique, financier et social mondial, certes, en nette amélioration, en dépit de la crise des déficits publics dans la zone euro et de la dette européenne mais cet environnement reste encore marqué par les effets de la crise financière et économique la plus grave que la planète ait connu depuis les années 1930 et qui aura justifié dans le cadre des initiatives du G20 en avril 2009 à Londres, le plus vaste plan de soutien macro-économique jamais conçu et mis en œuvre par les pays développés et les pays émergents représentant plus de 85% du PIB mondial », a expliqué l’ambassadeur Guy Alain Gauze, qui a besoin du soutien de tous. Une importante délégation ivoirienne conduite par le Ministre ivoirien de l’Agriculture Mamadou Sangafowa Coulibaly et son collègue du Commerce YAPO Calice, assistés de plusieurs experts et des dirigeants des organes de gestion de la filière en Côte d’Ivoire, BCC, ARC, Comité de gestion du café/cacao, comité de la réforme, prend part aux travaux
Honoré Kouassi
La session de réflexion sur la mise en place du nouvel accord sur l’économie cacaoyère est présidée par l’Ivoirien, S.E.M Guy Alain Gauze, en sa qualité de président de la Conférence des nations unies sur le cacao 2010. Jusqu’au 25 juin 2010, il devra obtenir la conclusion du nouvel accord qui devra garantir l’avenir du cacao. Cette grande tâche incombe à l’ambassadeur Guy Alain Gauze sur qui les négociateurs plénipotentiaires des pays producteurs, portent un grand espoir. Le lundi 21 juin, à l’ouverture des assises, plusieurs communications ont été dites. Celles-ci ont principalement porté sur les enjeux et les défis du futur Accord international sur le cacao dont le but est de relever le défi de préservation de l’économie et de l’industrie du cacao en tant que facteur contribuant à la lutte contre la pauvreté dans les pays producteurs. Dans cette dynamique, les différents intervenants ont mis en évidence la transparence du marché grâce à des mécanismes d’information statistique sur la production, la consommation, la gestion des stocks, les broyages, les produits dérivés du cacao aussi bien dans les pays producteurs que consommateurs, les autres enjeux et défis majeurs auxquels les négociations et l’Accord international seront confrontés concernant le concept de la durabilité de l’économie cacaoyère mondiale articulé autour des exigences économiques, sociales et environnementales. En outre, l’avenir de l’économie cacaoyère est aux mains de l’Ambassadeur Guy Alain Gauze, président de la conférence de négociation des Nations Unies, qui devra convaincre, pour obtenir le nouvel Accord international sur le cacao, le septième du genre depuis l’Accord international de 1973 et qui est appelé à succéder à l’Accord international de 2001. «La présente conférence des Nations Unies sur le cacao se déroule dans un contexte historique particulier, au regard de l’environnement économique, financier et social mondial, certes, en nette amélioration, en dépit de la crise des déficits publics dans la zone euro et de la dette européenne mais cet environnement reste encore marqué par les effets de la crise financière et économique la plus grave que la planète ait connu depuis les années 1930 et qui aura justifié dans le cadre des initiatives du G20 en avril 2009 à Londres, le plus vaste plan de soutien macro-économique jamais conçu et mis en œuvre par les pays développés et les pays émergents représentant plus de 85% du PIB mondial », a expliqué l’ambassadeur Guy Alain Gauze, qui a besoin du soutien de tous. Une importante délégation ivoirienne conduite par le Ministre ivoirien de l’Agriculture Mamadou Sangafowa Coulibaly et son collègue du Commerce YAPO Calice, assistés de plusieurs experts et des dirigeants des organes de gestion de la filière en Côte d’Ivoire, BCC, ARC, Comité de gestion du café/cacao, comité de la réforme, prend part aux travaux
Honoré Kouassi
