Le secteur informel occupe plus de 65% de la population urbaine, pour une contribution dérisoire au Produit Intérieur Brut de 1/5. Ailleurs, dans les autres pays de l’UEMOA, la situation paraît beaucoup plus catastrophique. Ce qui ne permet pas d’assurer le développement harmonieux des Etats. Pour appréhender tous les contours et proposer de meilleures solutions en vue de l’amélioration de l’assiette fiscale, les experts en Comptabilité publique, avec l’appui de la Commission de l’Uemoa, organisent du 22 au 25 juin 2010, à Abidjan, précisément au complexe hôtelier, BelleCôte, le 1er séminaire international des centres de Gestion agréés (CGA) de l’UEMOA.
Ouvrant les travaux du 1er séminaire international des Centres de Gestion agréés (CGA) de l’UEMOA dont le Thème est : «Quelle contribution au développement économique des Etats par le CGA de l’espace UEMOA», M. Kouassi Kouamé Bernard, directeur de cabinet au ministère de l’Economie et des Finances, représentant le ministre Charles Diby Koffi, a souligné l’impérieuse nécessité de renforcer les capacités des acteurs, en mettant en relief l’importance des Centres de Gestion agréés. Le représentant de Charles Diby Koffi, a la ferme conviction qu’on ne peut pas construire un pays avec une prédominance du secteur informel. Malheureusement, c’est le cas en Côte d’Ivoire où le secteur informel représente à lui-seul 65%, pour une contribution de 1/5 au PIB. Pis, c’est le secteur où on déclare moins les chiffres de la comptabilité«Ces indicateurs mettent en évidence l’importance de la mission des CGA, dont le rôle est d’encadrer les très petites entreprises de l’espace communautaire, de sorte à mieux les organiser pour les intégrer progressivement au secteur formel», a rappelé Kouassi Kouamé Bernard. Le sens du soutien du ministre de l’Economie et des Finances à militer pour la formation des acteurs de CGA, est de préparer l’émergence de l’économie nationale, en évitant les déperditions dans la tenue des statistiques et l’évolution de l’assiette fiscale, a souligné Kouassi Kouamé Bernard. Soulignant que le secteur privé, que tous attendent tant pour impulser le développement, ne sera jamais ces cabines téléphoniques, les points de vente de bananes, d’ignames, d’eau glacé et autres. En d’autres termes, la Côte d’Ivoire ainsi que les autres Etats membres de l’UEMOA doivent organiser leurs secteurs d’activités économiques et espérer que les déperditions fiscales prendront fin. Avant le représentant du ministre de l’Economie et des Finances, M. Cheikh, le représentant-résident de la Commission de l’UEMOA, a indiqué la place de choix qu’occupent les CGA dans le dispositif de l’UEMOA. Mieux, dira-t-il, le1er séminaire international des Centres de Gestion agréés (CGA) permettra de régler certains problèmes auxquels sont confrontés les acteurs. Il s’agit, à terme, de mener le secteur privé à tenir une comptabilité fiable
Honoré Kouassi
Ouvrant les travaux du 1er séminaire international des Centres de Gestion agréés (CGA) de l’UEMOA dont le Thème est : «Quelle contribution au développement économique des Etats par le CGA de l’espace UEMOA», M. Kouassi Kouamé Bernard, directeur de cabinet au ministère de l’Economie et des Finances, représentant le ministre Charles Diby Koffi, a souligné l’impérieuse nécessité de renforcer les capacités des acteurs, en mettant en relief l’importance des Centres de Gestion agréés. Le représentant de Charles Diby Koffi, a la ferme conviction qu’on ne peut pas construire un pays avec une prédominance du secteur informel. Malheureusement, c’est le cas en Côte d’Ivoire où le secteur informel représente à lui-seul 65%, pour une contribution de 1/5 au PIB. Pis, c’est le secteur où on déclare moins les chiffres de la comptabilité«Ces indicateurs mettent en évidence l’importance de la mission des CGA, dont le rôle est d’encadrer les très petites entreprises de l’espace communautaire, de sorte à mieux les organiser pour les intégrer progressivement au secteur formel», a rappelé Kouassi Kouamé Bernard. Le sens du soutien du ministre de l’Economie et des Finances à militer pour la formation des acteurs de CGA, est de préparer l’émergence de l’économie nationale, en évitant les déperditions dans la tenue des statistiques et l’évolution de l’assiette fiscale, a souligné Kouassi Kouamé Bernard. Soulignant que le secteur privé, que tous attendent tant pour impulser le développement, ne sera jamais ces cabines téléphoniques, les points de vente de bananes, d’ignames, d’eau glacé et autres. En d’autres termes, la Côte d’Ivoire ainsi que les autres Etats membres de l’UEMOA doivent organiser leurs secteurs d’activités économiques et espérer que les déperditions fiscales prendront fin. Avant le représentant du ministre de l’Economie et des Finances, M. Cheikh, le représentant-résident de la Commission de l’UEMOA, a indiqué la place de choix qu’occupent les CGA dans le dispositif de l’UEMOA. Mieux, dira-t-il, le1er séminaire international des Centres de Gestion agréés (CGA) permettra de régler certains problèmes auxquels sont confrontés les acteurs. Il s’agit, à terme, de mener le secteur privé à tenir une comptabilité fiable
Honoré Kouassi