C’est la salle de spectacle de l’Ecole nationale de théâtre et de danse de l’Insaac qui a servi de cadre à cette cérémonie de lancement de la 2e édition du Concours national des danses du terroir. Trois temps forts l’ont marquée, à savoir des prestations artistiques avec, notamment des étudiants de l’Insaac et la troupe Brema de Dabou (3e l’an dernier) avec son gigantesque tambour Adjibri, une projection vidéo sur la 1ère édition et des allocutions.
Au nombre desquelles, celle de Mlle Madoussou Dosso, présidente du Club des amis de la culture, initiatrice et commissaire générale du concours. Qui, situant l’auditoire sur sa portée, explique qu’il vise à créer une plateforme pour «sauvegarder, valoriser et promouvoir notre patrimoine culturel ancestral». Car, soutient-elle, face à «l’invasion» des rythmes exogènes, urbains, il importe de «ne point répudier notre héritage culturel». Etant entendu, à l’en croire, et selon la maxime, que «la culture est ce qui nous reste quand nous avons tout perdu».
Cette ambition, le ministère de la Culture et de la Francophonie la partage et la soutient. Du moins, si l’on s’en réfère au propos de M. Paul-Marie Kossonou, directeur de cabinet du ministre Anzoumana Moutaye. Qui assure les organisateurs, pour la seconde année consécutive, de tout l’appui technique, logistique et institutionnel du ministère pour les deux mois lors de la tournée nationale de juillet à septembre, avant les quatre jours des phases finales au complexe Jesse Jackson de Yopougon. Il en est de même pour certaines collectivités décentralisées, à l’instar du Conseil général de Touba.
Dont le président, M. Fodé Sakho, rappelant que le masque échassier du village de Sylakoro dans son département est le vainqueur du grand Prix Laurent Gbagbo, à la faveur de la 1ère édition, en 2009, entend s’impliquer davantage pour la réussite de la présente. Tout en invitant les collectivités décentralisées à y souscrire pour plus de visibilité de leurs richesses authentiques, touristiques et culturelles. Quant à Me Kossougro Séry Emile, avocat de l’Etat de Côte d’Ivoire et maire de Daloa, par ailleurs parrain du Club des amis de la culture et du 3e prix, il y voit un creuset de cohésion sociale et d’unité nationale. Le 2e Prix est parrainé par le ministre des Mines et de l’Energie, Augustin Komoé, anciennement à la Culture.
Rémi Coulibaly
Au nombre desquelles, celle de Mlle Madoussou Dosso, présidente du Club des amis de la culture, initiatrice et commissaire générale du concours. Qui, situant l’auditoire sur sa portée, explique qu’il vise à créer une plateforme pour «sauvegarder, valoriser et promouvoir notre patrimoine culturel ancestral». Car, soutient-elle, face à «l’invasion» des rythmes exogènes, urbains, il importe de «ne point répudier notre héritage culturel». Etant entendu, à l’en croire, et selon la maxime, que «la culture est ce qui nous reste quand nous avons tout perdu».
Cette ambition, le ministère de la Culture et de la Francophonie la partage et la soutient. Du moins, si l’on s’en réfère au propos de M. Paul-Marie Kossonou, directeur de cabinet du ministre Anzoumana Moutaye. Qui assure les organisateurs, pour la seconde année consécutive, de tout l’appui technique, logistique et institutionnel du ministère pour les deux mois lors de la tournée nationale de juillet à septembre, avant les quatre jours des phases finales au complexe Jesse Jackson de Yopougon. Il en est de même pour certaines collectivités décentralisées, à l’instar du Conseil général de Touba.
Dont le président, M. Fodé Sakho, rappelant que le masque échassier du village de Sylakoro dans son département est le vainqueur du grand Prix Laurent Gbagbo, à la faveur de la 1ère édition, en 2009, entend s’impliquer davantage pour la réussite de la présente. Tout en invitant les collectivités décentralisées à y souscrire pour plus de visibilité de leurs richesses authentiques, touristiques et culturelles. Quant à Me Kossougro Séry Emile, avocat de l’Etat de Côte d’Ivoire et maire de Daloa, par ailleurs parrain du Club des amis de la culture et du 3e prix, il y voit un creuset de cohésion sociale et d’unité nationale. Le 2e Prix est parrainé par le ministre des Mines et de l’Energie, Augustin Komoé, anciennement à la Culture.
Rémi Coulibaly