Abidjan, capitale économique de la Côte d’Ivoire a abrité les 29 et 30 juin 2010, la quatrième réunion du Comité des régulateurs nationaux de télécommunications des Etats membres de l`Uemoa (Crtel). Cette rencontre des décideurs aura permis de jeter les bases de réflexions approfondies sur l’avenir du secteur des télécoms tant au niveau de la sous-région qu’au plan international.
«Le Comité des régulateurs nationaux des télécommunications des Etats membres de l`Uemoa (Crtel) doit être une structure de proposition et de veille technologique qui sache anticiper sur les évolutions rapides que connaît le secteur des télécommunications et des Technologies de l`information et de la communication (Tic) », déclarait Guy-Amédée Ajanohoun, commissaire chargé du département du développement de l`entreprise, des télécommunications et de l`énergie. L’appel de Guy-Amédée Ajanohoun tient au fait que les populations sont attachées à la disponibilité et à la qualité du service que leur offrent les opérateurs du fixe, du mobile et de l`Internet. Pour les experts, les TIC constituent une nécessité. D’où l’urgence de baisser les prix à tous les nouveaux. Ce qu’a bien perçu Sylvanus Kla, Directeur général de l`Agence des télécommunications de Côte d`Ivoire (Atci). Lui qui, aujourd’hui, au-delà de la qualité des services pour laquelle il déploie tout son personnel, est déterminé à affronter un autre challenge. Celui d’obtenir la baisse des coûts de communication à l’international à partir du Roaming.
L’engagement de l’ATCI et de Sylvanus Kla
Le Roaming, par définition, est la possibilité d’utiliser son téléphone portable et son numéro à l’étranger pour joindre ses correspondants out être joint. C’est ce que l’on appelle l’itinérance ou Roaming (mot anglais). C’est un service utilisé le plus souvent lors des voyages. Mais, quoiqu’important, ce service demeure toujours cher, pour les usagers. A telle enseigne qu’il est quasiment inaccessible. La facturation tourne autour de 1000 à 5000 FCFA la minute en réception ou en appel. Une situation qui amène souvent la plupart des voyageurs à acquérir des puces sur place. Mais, la conséquence est que ceux-ci restent injoignables durant leur séjour. Pour vulgariser ce service et permettre son accès à un grand nombre d’usagers, Sylvanus Kla, Directeur général de l`Agence des télécommunications de Côte d`Ivoire (Atci) a engagé des réflexions au plan national. Au plan international, la problématique de la baisse des coûts d’accès au service Roaming préoccupe également la commission d’étude de l’UIT (Union internationale des télécommunications). L’ATCI, à travers son directeur général entend ainsi jouer son rôle. Elle participe aux travaux de groupes de réflexions internationaux et régionaux. Objectif, obtenir des coûts raisonnables et compétitifs
Honoré Kouassi
«Le Comité des régulateurs nationaux des télécommunications des Etats membres de l`Uemoa (Crtel) doit être une structure de proposition et de veille technologique qui sache anticiper sur les évolutions rapides que connaît le secteur des télécommunications et des Technologies de l`information et de la communication (Tic) », déclarait Guy-Amédée Ajanohoun, commissaire chargé du département du développement de l`entreprise, des télécommunications et de l`énergie. L’appel de Guy-Amédée Ajanohoun tient au fait que les populations sont attachées à la disponibilité et à la qualité du service que leur offrent les opérateurs du fixe, du mobile et de l`Internet. Pour les experts, les TIC constituent une nécessité. D’où l’urgence de baisser les prix à tous les nouveaux. Ce qu’a bien perçu Sylvanus Kla, Directeur général de l`Agence des télécommunications de Côte d`Ivoire (Atci). Lui qui, aujourd’hui, au-delà de la qualité des services pour laquelle il déploie tout son personnel, est déterminé à affronter un autre challenge. Celui d’obtenir la baisse des coûts de communication à l’international à partir du Roaming.
L’engagement de l’ATCI et de Sylvanus Kla
Le Roaming, par définition, est la possibilité d’utiliser son téléphone portable et son numéro à l’étranger pour joindre ses correspondants out être joint. C’est ce que l’on appelle l’itinérance ou Roaming (mot anglais). C’est un service utilisé le plus souvent lors des voyages. Mais, quoiqu’important, ce service demeure toujours cher, pour les usagers. A telle enseigne qu’il est quasiment inaccessible. La facturation tourne autour de 1000 à 5000 FCFA la minute en réception ou en appel. Une situation qui amène souvent la plupart des voyageurs à acquérir des puces sur place. Mais, la conséquence est que ceux-ci restent injoignables durant leur séjour. Pour vulgariser ce service et permettre son accès à un grand nombre d’usagers, Sylvanus Kla, Directeur général de l`Agence des télécommunications de Côte d`Ivoire (Atci) a engagé des réflexions au plan national. Au plan international, la problématique de la baisse des coûts d’accès au service Roaming préoccupe également la commission d’étude de l’UIT (Union internationale des télécommunications). L’ATCI, à travers son directeur général entend ainsi jouer son rôle. Elle participe aux travaux de groupes de réflexions internationaux et régionaux. Objectif, obtenir des coûts raisonnables et compétitifs
Honoré Kouassi
