Marie -Odile Amaury est la dame de fer qui dirige le groupe Amaury, la société qui édite les journaux français l’Equipe et France Football. De passage à Johannesburg, lors de la signature de la convention avec la Fifa, lundi, nous l’avons rencontrée.
Que représente pour vous la signature de la convention avec la Fifa au sujet du Ballon d’or ?
Ça représente l’importance du meilleur joueur et le Ballon d’Or consacre le meilleur joueur de football du monde. Techniquement, mais aussi humainement. Parce que c’est un prix qui s’adresse à un individu, alors que le football est un jeu collectif. Cet individu est un exemple pour les jeunes générations. Je suis contente que nous le fassions à l’échelle mondiale. Le football est de plus en plus pratiqué sur tous les continents à un très haut niveau. Avec la Fifa, nous donnons à cette élection de meilleur joueur, encore plus d’éclat et je m’en réjouis.
Est-ce à dire qu’on assistera à une cérémonie commune lors de la remise du trophée ?
Nous sommes ensemble pour faire une grande cérémonie (10 janvier 2011 à Zurich). Ce jour-là, tous les anciens Ballons d’Or et tous les nominés seront présents. C’est la grande famille du football, qui se réunira pour élire son meilleur joueur de l’année. Le meilleur joueur Fifa et le Ballon d’Or France Football, c’est désormais ensemble. Le Ballon d’Or était uniquement désigné par des journalistes. Désormais, ce sera un collège de journalistes, un collège de capitaines et un collège d’entraîneurs.
Comment vous êtes-vous retrouvée à la tête de ce grand groupe de presse qui édite L’Equipe et France Football ?
J’aime le sport. Et j’ai toujours accompagné mon mari, qui était le président de ce groupe dans son activité. Et je prends beaucoup de plaisir à être à la tête de ce groupe.
Depuis quand êtes-vous à la tête de ce groupe ?
Depuis 2006, après la mort de mon mari.
Quels sont vos objectifs à la tête de ce groupe ? Et pourquoi ce relookage de France Football avant le coup d’envoi de cette Coupe du monde ?
Nous voulons conquérir les jeunes générations. Il faut évoluer, bouger. Et que les jeunes prennent du plaisir en lisant France Football. Et ils y trouveront tout ce qu’ils cherchent.
Vous avez France Football, L’Equipe, Vélo. Que devient le magazine Rugby ?
Eh bien ! Vous nous connaissez bien. Bravo ! On avait essayé de faire un magazine de rugby, à un moment donné, mais le milieu olympique est celui qui se vend le mieux et nous n’avons pas pu résister.
Choilio Diomandé, envoyé spécial à Johannesburg
Que représente pour vous la signature de la convention avec la Fifa au sujet du Ballon d’or ?
Ça représente l’importance du meilleur joueur et le Ballon d’Or consacre le meilleur joueur de football du monde. Techniquement, mais aussi humainement. Parce que c’est un prix qui s’adresse à un individu, alors que le football est un jeu collectif. Cet individu est un exemple pour les jeunes générations. Je suis contente que nous le fassions à l’échelle mondiale. Le football est de plus en plus pratiqué sur tous les continents à un très haut niveau. Avec la Fifa, nous donnons à cette élection de meilleur joueur, encore plus d’éclat et je m’en réjouis.
Est-ce à dire qu’on assistera à une cérémonie commune lors de la remise du trophée ?
Nous sommes ensemble pour faire une grande cérémonie (10 janvier 2011 à Zurich). Ce jour-là, tous les anciens Ballons d’Or et tous les nominés seront présents. C’est la grande famille du football, qui se réunira pour élire son meilleur joueur de l’année. Le meilleur joueur Fifa et le Ballon d’Or France Football, c’est désormais ensemble. Le Ballon d’Or était uniquement désigné par des journalistes. Désormais, ce sera un collège de journalistes, un collège de capitaines et un collège d’entraîneurs.
Comment vous êtes-vous retrouvée à la tête de ce grand groupe de presse qui édite L’Equipe et France Football ?
J’aime le sport. Et j’ai toujours accompagné mon mari, qui était le président de ce groupe dans son activité. Et je prends beaucoup de plaisir à être à la tête de ce groupe.
Depuis quand êtes-vous à la tête de ce groupe ?
Depuis 2006, après la mort de mon mari.
Quels sont vos objectifs à la tête de ce groupe ? Et pourquoi ce relookage de France Football avant le coup d’envoi de cette Coupe du monde ?
Nous voulons conquérir les jeunes générations. Il faut évoluer, bouger. Et que les jeunes prennent du plaisir en lisant France Football. Et ils y trouveront tout ce qu’ils cherchent.
Vous avez France Football, L’Equipe, Vélo. Que devient le magazine Rugby ?
Eh bien ! Vous nous connaissez bien. Bravo ! On avait essayé de faire un magazine de rugby, à un moment donné, mais le milieu olympique est celui qui se vend le mieux et nous n’avons pas pu résister.
Choilio Diomandé, envoyé spécial à Johannesburg