Co-organisé à Marcoussis en France par la revue ‘’Passages’’ et le Conseil général de l’Essonne, en présence de représentants politiques, académiques et de la société civile de plus de 15 pays, notamment d’Afrique, d’Asie et des Amériques, le 8ème Forum mondial du développement durable tenu du 24 au 26 juin 2010, a lancé un appel pour le rôle accru des territoires et de la coopération décentralisée en faveur d’un développement durable et équitable. Le maire de la commune de Daloa, Me Kossougro Séry Emile Christophe, y était en tant que seul élu ivoirien.
«Territoires et coopération décentralisée », tel a été le thème central du 8è Forum mondial du développement durable tenu au centre national du rugby. Il agissait pour les organisateurs entre autres de garantir et développer l’accès à l’énergie et aux mobilités dans un contexte d’épuisement des ressources et de réchauffement climatique, avoir accès et usage aux ressources naturelles renouvelables. Le forum a planché sur plusieurs communications parmi lesquelles ‘’Faire vivre l’agriculture de proximité, faire des territoires et des collectivités locales un levier essentiel du développement durable’’, ‘’revitaliser l’économie et le développement par le social’’. A cette rencontre, beaucoup de sommités sont intervenues pour faire partager leurs expertises. C’est ce qui a amené le maire de Daloa, Me Kossougro Séry à intervenir sur les aspects juridiques. Selon lui, par les aspects institutionnels du développement et la coopération décentralisée, il faut compter sur l’aide publique au développement, le partenariat public-privé, le financement innovant, le fonds mondial pour l’environnement, le mécanisme de développement propre, financement culturel. Aussi, a-t-il expliqué que lorsque l’autorité locale est défaillante, c’est le pouvoir central qu’on appelle au secours. « Cependant, compte tenu des charges qui pèsent sur les épaules des communes, il faut rétrocéder aux communes la part qui leur revient afin qu’elles puissent faire face à toutes les charges du développement durable », a expliqué le maire Kossougro. Il a donc plaidé afin que pleins pouvoirs soient donnés aux collectivités locales pour un développement durable. C’est pourquoi, les mairies et les localités décentralisées doivent se mobiliser dans la recherche des ressources propres (taxes et recettes) pour les verser régulièrement au Trésor public au nom du principe de l’unicité des caisses, et même espérer, qu’on leur rétrocède ce qui leur revient pour qu’elles soient encouragées dans la politique du développement durable
M.Ouattara
«Territoires et coopération décentralisée », tel a été le thème central du 8è Forum mondial du développement durable tenu au centre national du rugby. Il agissait pour les organisateurs entre autres de garantir et développer l’accès à l’énergie et aux mobilités dans un contexte d’épuisement des ressources et de réchauffement climatique, avoir accès et usage aux ressources naturelles renouvelables. Le forum a planché sur plusieurs communications parmi lesquelles ‘’Faire vivre l’agriculture de proximité, faire des territoires et des collectivités locales un levier essentiel du développement durable’’, ‘’revitaliser l’économie et le développement par le social’’. A cette rencontre, beaucoup de sommités sont intervenues pour faire partager leurs expertises. C’est ce qui a amené le maire de Daloa, Me Kossougro Séry à intervenir sur les aspects juridiques. Selon lui, par les aspects institutionnels du développement et la coopération décentralisée, il faut compter sur l’aide publique au développement, le partenariat public-privé, le financement innovant, le fonds mondial pour l’environnement, le mécanisme de développement propre, financement culturel. Aussi, a-t-il expliqué que lorsque l’autorité locale est défaillante, c’est le pouvoir central qu’on appelle au secours. « Cependant, compte tenu des charges qui pèsent sur les épaules des communes, il faut rétrocéder aux communes la part qui leur revient afin qu’elles puissent faire face à toutes les charges du développement durable », a expliqué le maire Kossougro. Il a donc plaidé afin que pleins pouvoirs soient donnés aux collectivités locales pour un développement durable. C’est pourquoi, les mairies et les localités décentralisées doivent se mobiliser dans la recherche des ressources propres (taxes et recettes) pour les verser régulièrement au Trésor public au nom du principe de l’unicité des caisses, et même espérer, qu’on leur rétrocède ce qui leur revient pour qu’elles soient encouragées dans la politique du développement durable
M.Ouattara