La réunion mensuelle du Centre de commandement intégré (Cci) a été l’occasion pour les quatre généraux des Forces engagées dans le processus de sortie de crise, de faire le point de l’opération d’encasernement.
La traditionnelle rencontre mensuelle des 4 généraux du Centre de commandement intégré (Cci) et leurs collaborateurs s’est tenue, hier, à Yamoussoukro, au siège de la force mixte. Et, une fois n’est pas coutume, c’est le général Abdul Hafiz, commandant des Forces onusiennes, celui-là même qui a dirigé les débats, qui entretiendra la presse. Le Comanfor Onuci explique que les débats ont tourné autour de « 7 points précis » : le point de situation sur l’encasernement à Korhogo détaillé par le général Bakayoko, chef d’état-major des Forces armées des Forces nouvelles (FaFn). Qui, selon le général Hafiz, a exposé qu’à ce jour, il y a 493 éléments encasernés sur les 1.200 prévus. « Donc, c’est un succès à 40% des effectifs prévus », déclare, positif, le général onusien. Il ajoute que le Cema des FaFn a également assuré que le processus va continuer « à partir de Bouna pour compléter l’effectif à 1.200. Donc à mon avis, le processus d’encasernement continue et va continuer… ». Le général Bakayoko a ensuite présenté un chronogramme global de l’encasernement. Les généraux ont par ailleurs discuté sur le budget prévisionnel de l’encasernement et les modalités de sa mise en place. Ensuite, selon le commandant des Forces onusiennes, les ‘’hauts gradés’’ ont débattu sur la montée en puissance du Centre de commandement intégré. Le colonel-major, Nicolas Kouassi Kouakou avait auparavant fait une présentation sur cette montée en puissance. Et a relevé toutes les contraintes liées à la sécurisation des élections dont le Cci a la charge. « Nous avons discuté sur la mixité des forces de sécurité », a poursuivi le général Hafiz. Qui, lui-même, en temps que commandant des forces de l’Onuci, a fait le point de situation sur le désarmement. « En fait, j’ai donné les chiffres sur les effectifs, (…) et les armes qui ont été recueillies et quelle sera la disponibilité de ces armes. C’est tout. » Naturellement, avec les divers où « quelques points ont été évoqués ».
Il faut noter que le général Jean-Pierre Palasset, nouveau commandant de la Force Licorne, était à son premier Cci. Etaient également présents autour de la table, les généraux Mangou Philippe et Soumaïla Bakayoko, les co-patrons du Centre de commandement intégré, le colonel Traoré représentant la Facilitation de l’Accord politique de Ouagadougou et les représentants de la police et de la gendarmerie nationales. Les débats ont duré environ 4 heures.
Ousmane Diallo à Yamoussoukro
La traditionnelle rencontre mensuelle des 4 généraux du Centre de commandement intégré (Cci) et leurs collaborateurs s’est tenue, hier, à Yamoussoukro, au siège de la force mixte. Et, une fois n’est pas coutume, c’est le général Abdul Hafiz, commandant des Forces onusiennes, celui-là même qui a dirigé les débats, qui entretiendra la presse. Le Comanfor Onuci explique que les débats ont tourné autour de « 7 points précis » : le point de situation sur l’encasernement à Korhogo détaillé par le général Bakayoko, chef d’état-major des Forces armées des Forces nouvelles (FaFn). Qui, selon le général Hafiz, a exposé qu’à ce jour, il y a 493 éléments encasernés sur les 1.200 prévus. « Donc, c’est un succès à 40% des effectifs prévus », déclare, positif, le général onusien. Il ajoute que le Cema des FaFn a également assuré que le processus va continuer « à partir de Bouna pour compléter l’effectif à 1.200. Donc à mon avis, le processus d’encasernement continue et va continuer… ». Le général Bakayoko a ensuite présenté un chronogramme global de l’encasernement. Les généraux ont par ailleurs discuté sur le budget prévisionnel de l’encasernement et les modalités de sa mise en place. Ensuite, selon le commandant des Forces onusiennes, les ‘’hauts gradés’’ ont débattu sur la montée en puissance du Centre de commandement intégré. Le colonel-major, Nicolas Kouassi Kouakou avait auparavant fait une présentation sur cette montée en puissance. Et a relevé toutes les contraintes liées à la sécurisation des élections dont le Cci a la charge. « Nous avons discuté sur la mixité des forces de sécurité », a poursuivi le général Hafiz. Qui, lui-même, en temps que commandant des forces de l’Onuci, a fait le point de situation sur le désarmement. « En fait, j’ai donné les chiffres sur les effectifs, (…) et les armes qui ont été recueillies et quelle sera la disponibilité de ces armes. C’est tout. » Naturellement, avec les divers où « quelques points ont été évoqués ».
Il faut noter que le général Jean-Pierre Palasset, nouveau commandant de la Force Licorne, était à son premier Cci. Etaient également présents autour de la table, les généraux Mangou Philippe et Soumaïla Bakayoko, les co-patrons du Centre de commandement intégré, le colonel Traoré représentant la Facilitation de l’Accord politique de Ouagadougou et les représentants de la police et de la gendarmerie nationales. Les débats ont duré environ 4 heures.
Ousmane Diallo à Yamoussoukro