Quand on a été mordu par un serpent, à la vue même d'un ver de terre, on sursaute.
Des paroles fortes ont été dites et entendues, le vendredi 09 juillet 2010, à Yamoussoukro, ville symbolique pour le Pdci-Rda, ville qui a vu naître le premier président de la République de la Côte d'Ivoire moderne dont tous les successeurs se réclament, même ceux, se disant refondateurs, qui ont jeté des bambins dans la rue pour le traiter de voleur. Paroles d'autant plus fortes que des encagoulés tentent, comme Fologo en avril 2002, de semer le doute dans l'esprit des Ivoiriens. Nous en retiendrons une de celui que bon nombre d'Ivoiriens, surtout les adversaires du Pdci-Rda, veulent faire passer pour l'instigateur de certaines sorties à l'encontre du président Henri Konan Bédié, à savoir Charles Konan Banny.
" N'ayons pas peur du débat ", a dit ce dernier. Que dire de plus sinon que le Premier ministre Banny enfonce une porte déjà ouverte ? On ne fera pas l'insulte aux militants du Pdci-Rda quant à dire que Bédié n'est pas démocrate et a peur du débat au sein du parti. Invitant chacun et chacune à s'inspirer de la pensée du père fondateur de la Côte d'Ivoire moderne que tous les changements sont possibles, suffise qu'ils se passent dans l'ordre et dans la discipline.
Les tribunes existent au Pdci-Rda pour débattre largement, et surtout dignement. Les discours sibyllins, clairs-obscurs ne grandissent pas ceux qui se cachent pour envoyer leurs sofas à travers les journaux déverser leurs impatiences. Le mercredi 14 juillet 2010, le président du candidat Pdci-Rda, Henri Konan Bédié, convoque un Bureau politique pour instaurer le débat car, Bédié l'a dit lui-même dans son ouvrage, " Les chemins de ma vie " : il ne faut pas craindre l'opinion. Vous avez des griefs, venez les exprimer en toute liberté au sein du parti. Bédié, le fédérateur, le démocrate, ne vous coupera pas la tête. " N'ayons pas peur du débat ", dit Charles Konan Banny. En avoir peur, c'est n'être pas un homme. Car, quand un homme n'est pas d'accord, il dit " non ". Au vrai, et le secrétaire du Pdci-Rda, fort, à propos, selon les enseignements reçus du " cerveau de premier ordre ", Félix Houphouët-Boigny, le dit : " Quand on dialogue, il y a un moment où le débat s'arrête, on décide et on agit ". Et nous sommes heureux de constater qu'après tous les débats sur la convention, l'investiture du candidat du Pdci-Rda, Henri Konan Bédié, tous aient décidé de passer à l'action, dans l'union, pour la victoire du président Henri Konan Bédié et du Pdci-Rda aux prochaines élections qui, nous l'espérons, se passeront en cette année 2010.
Gnamantêh
Des paroles fortes ont été dites et entendues, le vendredi 09 juillet 2010, à Yamoussoukro, ville symbolique pour le Pdci-Rda, ville qui a vu naître le premier président de la République de la Côte d'Ivoire moderne dont tous les successeurs se réclament, même ceux, se disant refondateurs, qui ont jeté des bambins dans la rue pour le traiter de voleur. Paroles d'autant plus fortes que des encagoulés tentent, comme Fologo en avril 2002, de semer le doute dans l'esprit des Ivoiriens. Nous en retiendrons une de celui que bon nombre d'Ivoiriens, surtout les adversaires du Pdci-Rda, veulent faire passer pour l'instigateur de certaines sorties à l'encontre du président Henri Konan Bédié, à savoir Charles Konan Banny.
" N'ayons pas peur du débat ", a dit ce dernier. Que dire de plus sinon que le Premier ministre Banny enfonce une porte déjà ouverte ? On ne fera pas l'insulte aux militants du Pdci-Rda quant à dire que Bédié n'est pas démocrate et a peur du débat au sein du parti. Invitant chacun et chacune à s'inspirer de la pensée du père fondateur de la Côte d'Ivoire moderne que tous les changements sont possibles, suffise qu'ils se passent dans l'ordre et dans la discipline.
Les tribunes existent au Pdci-Rda pour débattre largement, et surtout dignement. Les discours sibyllins, clairs-obscurs ne grandissent pas ceux qui se cachent pour envoyer leurs sofas à travers les journaux déverser leurs impatiences. Le mercredi 14 juillet 2010, le président du candidat Pdci-Rda, Henri Konan Bédié, convoque un Bureau politique pour instaurer le débat car, Bédié l'a dit lui-même dans son ouvrage, " Les chemins de ma vie " : il ne faut pas craindre l'opinion. Vous avez des griefs, venez les exprimer en toute liberté au sein du parti. Bédié, le fédérateur, le démocrate, ne vous coupera pas la tête. " N'ayons pas peur du débat ", dit Charles Konan Banny. En avoir peur, c'est n'être pas un homme. Car, quand un homme n'est pas d'accord, il dit " non ". Au vrai, et le secrétaire du Pdci-Rda, fort, à propos, selon les enseignements reçus du " cerveau de premier ordre ", Félix Houphouët-Boigny, le dit : " Quand on dialogue, il y a un moment où le débat s'arrête, on décide et on agit ". Et nous sommes heureux de constater qu'après tous les débats sur la convention, l'investiture du candidat du Pdci-Rda, Henri Konan Bédié, tous aient décidé de passer à l'action, dans l'union, pour la victoire du président Henri Konan Bédié et du Pdci-Rda aux prochaines élections qui, nous l'espérons, se passeront en cette année 2010.
Gnamantêh