A la tête d’une forte délégation de chefs d’entreprises et d’hommes d’affaires ivoiriens, le ministre de l’Economie et des Finances a pris part à la cinquième édition des journées Côte d’Ivoire, tenue les 1e et 02 juillet 2010 à Paris et Strasbourg en France. Le monde économique français a exprimé à l’Argentier ivoirien son empressement à renforcer sa présence dans son pays, Charles Diby Koffi en a profiter pour vendre les atouts à même de favoriser cet idéal, en insistant sur les mesures de lutte contre les tracasseries fiscales.
« C’est à tort que certains opérateurs crient que la pression fiscale est trop forte. Car cette pression n’existe aucunement. Seulement qu’il peut exister dans l’Administration fiscale des agents zélés qui font pression sur les opérateurs économiques. Si nous étions saisis de tels cas, nous aurions pris nos responsabilités ». Le ministre ivoirien de l’Economie et des Finances aurait voulu lancer une sévère mise en garde aux ‘’agents zélés’’ de son Administration fiscale, qu’il ne se serait pas exprimé autrement face aux hommes d’affaires ivoiriens et français le 02 juillet dernier. C’était lors de la 5e édition des journées Côte d’Ivoire tenue les 1e et 02 juillet à Paris et Strasbourg en France, où Charles Diby a conduit une forte délégation de créateurs d’emplois et de richesses ivoiriens. Mission d’information par excellence sur l’économie ivoirienne en sérieuse voie de réhabilitation, cette manifestation a été l’occasion pour l’Argentier national de vendre (encore une fois) son pays, en donnant aux partenaires français l’état réel des potentialités et des perspectives de croissance qui s’offrent aux candidats à l’investissement. Les efforts d’assainissement de l’économie et des finances au cours de ces trois dernières années, les perspectives et potentialités, le poids sous régional de la Côte d’Ivoire et la place du secteur privé en tant que moteur et vecteur de la croissance. Tel est le résumé du film institutionnel présenté qui a fait aux hommes d’affaires français et ivoiriens, le point de la relance de l’économie ivoirienne. « Nous projetons d’atteindre dans un délai de 4 ans, un taux de croissance de 7%. 8% dans 5 ans et un taux de croissance à deux chiffres dans les dix années à venir. Nous avons du potentiel, mais n’avons pas assez de ressources pour le valoriser. Venez nous aider à créer de la richesse », a rajouté l’Argentier ivoirien, avant de lancer cet appel à ses partenaires : « les entreprises françaises ont aidé à bâtir la Côte d’Ivoire. Je veux qu’elles en tirent profit au moment où les perspectives sont plutôt encourageantes. Si vous ne venez pas maintenant, je crains qu’il ne soit trop tard ».
Franck Boyo
« C’est à tort que certains opérateurs crient que la pression fiscale est trop forte. Car cette pression n’existe aucunement. Seulement qu’il peut exister dans l’Administration fiscale des agents zélés qui font pression sur les opérateurs économiques. Si nous étions saisis de tels cas, nous aurions pris nos responsabilités ». Le ministre ivoirien de l’Economie et des Finances aurait voulu lancer une sévère mise en garde aux ‘’agents zélés’’ de son Administration fiscale, qu’il ne se serait pas exprimé autrement face aux hommes d’affaires ivoiriens et français le 02 juillet dernier. C’était lors de la 5e édition des journées Côte d’Ivoire tenue les 1e et 02 juillet à Paris et Strasbourg en France, où Charles Diby a conduit une forte délégation de créateurs d’emplois et de richesses ivoiriens. Mission d’information par excellence sur l’économie ivoirienne en sérieuse voie de réhabilitation, cette manifestation a été l’occasion pour l’Argentier national de vendre (encore une fois) son pays, en donnant aux partenaires français l’état réel des potentialités et des perspectives de croissance qui s’offrent aux candidats à l’investissement. Les efforts d’assainissement de l’économie et des finances au cours de ces trois dernières années, les perspectives et potentialités, le poids sous régional de la Côte d’Ivoire et la place du secteur privé en tant que moteur et vecteur de la croissance. Tel est le résumé du film institutionnel présenté qui a fait aux hommes d’affaires français et ivoiriens, le point de la relance de l’économie ivoirienne. « Nous projetons d’atteindre dans un délai de 4 ans, un taux de croissance de 7%. 8% dans 5 ans et un taux de croissance à deux chiffres dans les dix années à venir. Nous avons du potentiel, mais n’avons pas assez de ressources pour le valoriser. Venez nous aider à créer de la richesse », a rajouté l’Argentier ivoirien, avant de lancer cet appel à ses partenaires : « les entreprises françaises ont aidé à bâtir la Côte d’Ivoire. Je veux qu’elles en tirent profit au moment où les perspectives sont plutôt encourageantes. Si vous ne venez pas maintenant, je crains qu’il ne soit trop tard ».
Franck Boyo