Des candidats étaient munis de vuvuzelas à la proclamation des résultats du baccaulérat2010, hier, à Abidjan- Cocody.
Les centres d’examen de Cocody connaissent une ambiance particulière à l’annonce des résultats du baccalauréat 2010, ce mardi. Les vuvuzelas, made in Abidjan, s’ajoutent aux manifestations de joie ordinaires. Au lycée Sainte-Marie, la proclamation des admis vient de démarrer. Il est 14h 08 mn. Les visages perdent leur sérénité. Certains sont délivrés dès qu’ils entendent leur nom. D’autres sont ramollis dans le cas contraire. Le fait nouveau, c’est ce groupe de jeunes garçons dans un coin de la cour. Ces candidats ne s’attendent qu’à la victoire. Ils commencent déjà le tapage avec le vuvuzela, cette sorte de trompette révélée par le mondial sud-africain. Mais celui-là a l’air leger que l’original. Dès qu’un membre du groupe est cité par le responsable du centre, il est félicité par les sons de l’instrument. Une scène qui se répète par d’autres bacheliers. Comme ici, à la rue de la maison d’un parti politique qui mène vers le 8ème arrondissement. Ce qui n’est pas du goût de tous. Une jeune fille débout à quelques pas de la sonorisation aux centres lycée classique 1 et 2 de Cocody déprécie. Elle ne comprend pas ce boucan alors que d’autres sont malheureux à côté. Comme quoi, la polémique autour des vuvuzelas va encore durer.
Nesmon De Laure
Les centres d’examen de Cocody connaissent une ambiance particulière à l’annonce des résultats du baccalauréat 2010, ce mardi. Les vuvuzelas, made in Abidjan, s’ajoutent aux manifestations de joie ordinaires. Au lycée Sainte-Marie, la proclamation des admis vient de démarrer. Il est 14h 08 mn. Les visages perdent leur sérénité. Certains sont délivrés dès qu’ils entendent leur nom. D’autres sont ramollis dans le cas contraire. Le fait nouveau, c’est ce groupe de jeunes garçons dans un coin de la cour. Ces candidats ne s’attendent qu’à la victoire. Ils commencent déjà le tapage avec le vuvuzela, cette sorte de trompette révélée par le mondial sud-africain. Mais celui-là a l’air leger que l’original. Dès qu’un membre du groupe est cité par le responsable du centre, il est félicité par les sons de l’instrument. Une scène qui se répète par d’autres bacheliers. Comme ici, à la rue de la maison d’un parti politique qui mène vers le 8ème arrondissement. Ce qui n’est pas du goût de tous. Une jeune fille débout à quelques pas de la sonorisation aux centres lycée classique 1 et 2 de Cocody déprécie. Elle ne comprend pas ce boucan alors que d’autres sont malheureux à côté. Comme quoi, la polémique autour des vuvuzelas va encore durer.
Nesmon De Laure
