Dié Mamadou explique les enjeux de l’atelier de formation des députés sur le changement climatique, qui a débuté, hier, à l’Assemblée nationale.
M. le député, près de 80 députés se forment aux notions du changement climatique. Au sortir de cet atelier, qui va durer 3 jours, peut-on s’attendre à ce que des lois soient votées pour lutter contre le réchauffement climatique en Côte d’Ivoire ?
Oui. Nous allons prendre des dispositions législatives pour que les lois sur le réchauffement climatique qui sont en souffrance, soient mises à jour afin que les choses aillent plus vite.
A quels types de lois peut-on s’attendre?
Je ne sais pas, l’évolution des travaux va nous permettre de dégager un projet de conduite dans ce domaine.
On dit que la forêt du Banco est le poumon en oxygène d’Abidjan. C’est une forêt qui est déterminante dans la lutte contre le réchauffement climatique. Y a-t-il des dispositions pour la protéger ?
Lors de cet atelier, il y aura un gros débat autour de la question de la forêt du Banco.
Les députés pensent-ils aussi aux pluies mortelles qui ont endeuillé les Ivoiriens, en juin dernier ?
Les pluies mortelles sont ce qui a motivé cet atelier. Nous allons demander aux scientifiques de se pencher sur la question. On ne peut pas admettre que des gens partent habiter dans des zones à risques. Au sortir de cet atelier, il y aura des décisions à ce sujet.
On peut donc s’attendre à ce que l’hémicycle donne un coup de main au Plan Orsec qui patauge en ce moment.
Nous attendions le préfet d’Abidjan à l’ouverture de l’atelier, ce matin, il n’est pas encore arrivé. Mais nous allons apporter notre soutien au plan Orsec. C’est l’un des buts de cet atelier.
Interview réalisée par Raphaël Tanoh
M. le député, près de 80 députés se forment aux notions du changement climatique. Au sortir de cet atelier, qui va durer 3 jours, peut-on s’attendre à ce que des lois soient votées pour lutter contre le réchauffement climatique en Côte d’Ivoire ?
Oui. Nous allons prendre des dispositions législatives pour que les lois sur le réchauffement climatique qui sont en souffrance, soient mises à jour afin que les choses aillent plus vite.
A quels types de lois peut-on s’attendre?
Je ne sais pas, l’évolution des travaux va nous permettre de dégager un projet de conduite dans ce domaine.
On dit que la forêt du Banco est le poumon en oxygène d’Abidjan. C’est une forêt qui est déterminante dans la lutte contre le réchauffement climatique. Y a-t-il des dispositions pour la protéger ?
Lors de cet atelier, il y aura un gros débat autour de la question de la forêt du Banco.
Les députés pensent-ils aussi aux pluies mortelles qui ont endeuillé les Ivoiriens, en juin dernier ?
Les pluies mortelles sont ce qui a motivé cet atelier. Nous allons demander aux scientifiques de se pencher sur la question. On ne peut pas admettre que des gens partent habiter dans des zones à risques. Au sortir de cet atelier, il y aura des décisions à ce sujet.
On peut donc s’attendre à ce que l’hémicycle donne un coup de main au Plan Orsec qui patauge en ce moment.
Nous attendions le préfet d’Abidjan à l’ouverture de l’atelier, ce matin, il n’est pas encore arrivé. Mais nous allons apporter notre soutien au plan Orsec. C’est l’un des buts de cet atelier.
Interview réalisée par Raphaël Tanoh