ABIDJAN - Le conseiller technique du ministre des Affaires étrangères et de l'Intégration africaine, Félix Tanon, a indiqué jeudi à Abidjan que le gouvernement ivoirien se trouve déterminé à mener à bon port la coopération transfrontalière.
Pour M. Tanon qui parlait au nom du ministre lors de l'Atelier national sur la coopération transfrontalière, la libre circulation des hommes constitue le pilier central du processus d'intégration régionale amorcé depuis plus de 30 ans.
"L'initiative de la coopération transfrontalière vise à mettre en commun des mécanismes de coopération axés sur la réalisation et l'exploitation de projets communs", a-t-il expliqué, soulignant l'intérêt qu'accorde la Côte d'Ivoire à la mise en oeuvre de cette coopération.
De l'avis de celui-ci, ce type de coopération apparait à la fois comme un outil de développement économique et social et un appareil visant à établir de manière durable la libre circulation au niveau des frontières.
"Notre salut aujourd'hui réside dans notre capacité à mobiliser nos populations dans le processus d'intégration", a conclu M. Tanon, réaffirmant la volonté du gouvernement ivoirien de faire de l'intégration régionale une priorité.
Pour sa part, le directeur de la libre circulation à la Communauté économique des Etats d'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) Nfaly Sanon s'est félicité des échanges d'expériences qui selon lui permettront à la Côte d'Ivoire d'élaborer son plan stratégique national en matière de coopération transfrontalière.
La CEDEAO, ses partenaires et les gouvernements nationaux s'activent à mettre à profit la solidarité naturelle existante dans les zones frontalières.
Ils travaillent ainsi "de manière vigoureuse" depuis 2004 à promouvoir le concept de coopération transfrontalière en Afrique de l'Ouest. Fin
Pour M. Tanon qui parlait au nom du ministre lors de l'Atelier national sur la coopération transfrontalière, la libre circulation des hommes constitue le pilier central du processus d'intégration régionale amorcé depuis plus de 30 ans.
"L'initiative de la coopération transfrontalière vise à mettre en commun des mécanismes de coopération axés sur la réalisation et l'exploitation de projets communs", a-t-il expliqué, soulignant l'intérêt qu'accorde la Côte d'Ivoire à la mise en oeuvre de cette coopération.
De l'avis de celui-ci, ce type de coopération apparait à la fois comme un outil de développement économique et social et un appareil visant à établir de manière durable la libre circulation au niveau des frontières.
"Notre salut aujourd'hui réside dans notre capacité à mobiliser nos populations dans le processus d'intégration", a conclu M. Tanon, réaffirmant la volonté du gouvernement ivoirien de faire de l'intégration régionale une priorité.
Pour sa part, le directeur de la libre circulation à la Communauté économique des Etats d'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) Nfaly Sanon s'est félicité des échanges d'expériences qui selon lui permettront à la Côte d'Ivoire d'élaborer son plan stratégique national en matière de coopération transfrontalière.
La CEDEAO, ses partenaires et les gouvernements nationaux s'activent à mettre à profit la solidarité naturelle existante dans les zones frontalières.
Ils travaillent ainsi "de manière vigoureuse" depuis 2004 à promouvoir le concept de coopération transfrontalière en Afrique de l'Ouest. Fin