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Société Publié le samedi 24 juillet 2010 | Nord-Sud

Un homme ouvert…

Vu par beaucoup de personnes comme un homme à l’accès difficile, ses amis, au contraire, lui reprochent d’être trop ouvert. « Mes amis me reprochent de faire aveuglement confiance aux gens », indique-t-il.
D’Eric Tiacoh, président de la section Football de l’Africa, à Tia Rufin, en passant par Assamoi Benjamin entrepreneur à Agboville, tous ces amis lui reprochent son caractère possessif. Selon Eric Tiacoh, ‘’M. Plan Orsec’’ qui est aussi un des membres d’honneur de l’Africa Sport et ancien président de l’Association des étudiants supporters du club Vert et Rouge, n’aime pas être seul. Il veut toujours que ses amis soient à ses côtés. C’est pourquoi il est toujours accompagné d’amis. Que ce soit au bureau ou à la maison. Assamoi Benjamin ne dit pas le contraire. « Il ne veut plus que je retourne à Agboville lorsque je viens à Abidjan les week-ends. Souvent, je suis obligé de me cacher pour repartir », confesse-t-il. Il relate également que Sam Etiassé ne dort qu’après minuit. Cela, parce qu’il travaille beaucoup. « Quand il commence un travail, il tient toujours à l’achever avant de faire autre chose », note-t-il. L’entrepreneur admet que la cigarette est un autre défaut de son ami. A ce sujet, Sam Etiassé nous a révélé que c’est après son accident évoqué plus haut, qu’il s’est mis à fumer. Il indique, toutefois, qu’il n’est pas dépendant de la cigarette, dans la mesure où il peut s’en passer quand il veut. Par ailleurs, il n’a jamais goûté à l’alcool.
Concernant la collaboration avec ses collègues, c’est l’ambiance parfaite et la convivialité. Pour preuve, lorsque nous étions dans son bureau, il avait besoin d’un numéro de téléphone que sa secrétaire, Mme N’Da, n’avait pas à sa disposition. Il lui a donc demandé d’aller le chercher en lui disant d’un ton moqueur : «courez vite, vite et vite» ; et elle répondait : «j’arrive patron, je cours vite». «Quand vous me voyez avec mes collaboratrices, vous pourrez penser qu’il existe quelque chose d’autre que le travail entre nous. Mais c’est faux. Jamais dans ma carrière, je n’ai eu de rapport intime avec une collaboratrice. C’est infect, et ma mère me l’a strictement interdit».
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