Le samedi 24 juillet 2010, la salle des fêtes La résurrection catholico Church au 3315 Greencastle road à Burtonsville, dans l’Etat du Maryland aux Etats-Unis a été le cadre de la cérémonie d’investiture de la présidente élue de l’Union fraternelle des Ivoiriens (UFI) de la région métropolitaine de Washington DC (Maryland, Virginia). Cette investiture a été rehaussée par la présence de Son Excellence Charles Yao Koffi, notre ambassadeur au pays de l’oncle Obama, du vice-président de la Société financière internationale (SFI), Thierry Tanoh, de Mme Bleu Lainé, des fonctionnaires ivoiriens de la Banque mondiale de coutume très éloignés de la pratique communautaire et d’une forte présence de la diaspora ivoirienne et africaine de la côte est des Etats-Unis.
Pour l’avant-goût de cette fête, dont le décor traçait déjà les sillons du succès, les personnes présentes ont eu droit à une prestation haute en couleurs du groupe de Nazu. Ce groupe dont toutes les danseuses sont Américaines a plongé l’assistance au fin fond du terroir ivoirien, avec des pas de danse qui n’avaient rien à envier aux chansonniers qui font le charme de la culture ivoirienne. Un très beau spectacle à la mesure de l’évènement.
Un autre point notable de la cérémonie du jour : la projection des diaporamas sur notre beau pays depuis 1960 jusqu’à ce jour. Une séance qui a réveillé de vieux souvenirs et éveillé en l’assistance, les meilleurs sentiments patriotiques. Une sorte de fête du cinquantenaire avant la date.
Le rideau des allocutions a été levé par le vice-président de la SFI, M. Thierry Tano. Celui-ci a dit en substance : « A la banque, nous voyons beaucoup de communautés africaines, je suis aussi fautif car j’ai été de la diaspora ivoirienne de Washington DC, cette structure d’entraide est très utile quand on arrive dans ce pays totalement différent, nous devons à tous contribuer à la bonne marche, avec la présidente Jeannette Kah-Leguil. Je suis convaincu que l’UFI sera cotée à la bourse des valeurs des meilleurs organisations africaines aux USA ».
Quant au président d’honneur de la cérémonie, SE Charles Yao Koffi avec une constance pédagogique, il a lancé un appel à la diaspora en des termes fort à propos : « Nous avons une diaspora de qualité. Il faut cultiver l’amour entre nous, notre union doit être le porte-flambeau de notre pays. Mme la présidente, l’union fraternelle ne sera pas une mince affaire, mais je crois en vos capacités de gestion, que Dieu bénisse l’UFI et notre pays ».
Dans son allocution la présidente de l’UFI a déclaré : « Excellence messieurs les ambassadeurs, monsieur le vice-président du groupe de la banque, messieurs les anciens présidents de l’UFI, chers frères et sœurs, amis de la Côte d’Ivoire, mesdames et messieurs, honorables invités. Au nom des Ivoiriens, de la communauté ivoirienne de Maryland, de Virginia et de Washington DC, je vous salue et vous remercie d’être venus si nombreux. Je suis ici devant vous aujourd’hui, remplie d’un sentiment d’humilité et de reconnaissance pour la confiance que vous avez placée en moi. Le 10 avril dernier, vous avez décidé de me confier les rênes de l’UFI, et j’en suis très honorée. Je remercie le président du comité de transition et son équipe, pour le travail accompli. Nul n’ignore qu’après 20 années d’existence, l’UFI, notre union, votre union continue de souffrir des mêmes problèmes. Nous avons beaucoup à faire afin de maintenir vivante cette flamme que nous ont laissée tous nos frères et sœurs qui se sont succédés à la tête de cette organisation. L’Union fraternelle des Ivoiriens a besoin de nous. Elle a besoin de vous, pour faire d’elle ce vecteur d’épanouissement de notre chère communauté. Pourquoi ne pas lui donner une chance de devenir une organisation forte, à l’image de certaines autres diasporas que nous connaissons bien et que nous sommes toujours prêts à citer en exemple ? Nous allons nous organiser pour aider nos compatriotes à se soigner, à bénéficier de toutes les opportunités qu’offrent les Etats-Unis. Nous allons doter l’UFI d’un siège qui servira de centre d’information et d’encadrement de nos frères et sœurs, surtout en difficulté. Nous allons nous atteler à faire de notre union, cette nouvelle organisation que nous serons tous aussi fiers de citer en exemple. J’appelle solennellement toute la communauté ivoirienne à l’union et au rassemblement autour de notre UFI. Nous souffrirons ensemble, ou nous rirons ensemble parce qu’heureusement, nous sommes condamnés à vivre ensemble. Alors, si nous n’avons pas d’autre choix que de vivre ensemble, pourquoi ne pas conjuguer nos efforts afin de rendre cette cohabitation des plus harmonieuses en créant une communauté unie, prospère et forte ? L’UFI, c’est vous, ce sont nos enfants, c’est la Côte d’Ivoire ».
Après cette allocution, l’assistance eut droit à un défilé de mode où le pagne ivoirien porté par des Ivoiriennes vivant aux Etats-Unis, a étalé à profusion la beauté africaine. Le tout, ponctué de tubes ivoiriens très « retro » qui a plongé une fois de plus l’assistance dans l’ambiance des années « indépendance ».
La palme d’or de cette organisation, de l’avis de tous, revient aux hôtesses. Quel charme !
Au vu de ce show, nous pouvons soutenir, sans jeter les cauris qu’une griffe est née : l’UFI nouvelle vision. Tant pis donc pour les pessimistes. Avec Jeannette Kah-Leguil, l’UFI prend véritablement un nouvel envol !
Séry Pouamon à Burtonsville, Maryland
Pour l’avant-goût de cette fête, dont le décor traçait déjà les sillons du succès, les personnes présentes ont eu droit à une prestation haute en couleurs du groupe de Nazu. Ce groupe dont toutes les danseuses sont Américaines a plongé l’assistance au fin fond du terroir ivoirien, avec des pas de danse qui n’avaient rien à envier aux chansonniers qui font le charme de la culture ivoirienne. Un très beau spectacle à la mesure de l’évènement.
Un autre point notable de la cérémonie du jour : la projection des diaporamas sur notre beau pays depuis 1960 jusqu’à ce jour. Une séance qui a réveillé de vieux souvenirs et éveillé en l’assistance, les meilleurs sentiments patriotiques. Une sorte de fête du cinquantenaire avant la date.
Le rideau des allocutions a été levé par le vice-président de la SFI, M. Thierry Tano. Celui-ci a dit en substance : « A la banque, nous voyons beaucoup de communautés africaines, je suis aussi fautif car j’ai été de la diaspora ivoirienne de Washington DC, cette structure d’entraide est très utile quand on arrive dans ce pays totalement différent, nous devons à tous contribuer à la bonne marche, avec la présidente Jeannette Kah-Leguil. Je suis convaincu que l’UFI sera cotée à la bourse des valeurs des meilleurs organisations africaines aux USA ».
Quant au président d’honneur de la cérémonie, SE Charles Yao Koffi avec une constance pédagogique, il a lancé un appel à la diaspora en des termes fort à propos : « Nous avons une diaspora de qualité. Il faut cultiver l’amour entre nous, notre union doit être le porte-flambeau de notre pays. Mme la présidente, l’union fraternelle ne sera pas une mince affaire, mais je crois en vos capacités de gestion, que Dieu bénisse l’UFI et notre pays ».
Dans son allocution la présidente de l’UFI a déclaré : « Excellence messieurs les ambassadeurs, monsieur le vice-président du groupe de la banque, messieurs les anciens présidents de l’UFI, chers frères et sœurs, amis de la Côte d’Ivoire, mesdames et messieurs, honorables invités. Au nom des Ivoiriens, de la communauté ivoirienne de Maryland, de Virginia et de Washington DC, je vous salue et vous remercie d’être venus si nombreux. Je suis ici devant vous aujourd’hui, remplie d’un sentiment d’humilité et de reconnaissance pour la confiance que vous avez placée en moi. Le 10 avril dernier, vous avez décidé de me confier les rênes de l’UFI, et j’en suis très honorée. Je remercie le président du comité de transition et son équipe, pour le travail accompli. Nul n’ignore qu’après 20 années d’existence, l’UFI, notre union, votre union continue de souffrir des mêmes problèmes. Nous avons beaucoup à faire afin de maintenir vivante cette flamme que nous ont laissée tous nos frères et sœurs qui se sont succédés à la tête de cette organisation. L’Union fraternelle des Ivoiriens a besoin de nous. Elle a besoin de vous, pour faire d’elle ce vecteur d’épanouissement de notre chère communauté. Pourquoi ne pas lui donner une chance de devenir une organisation forte, à l’image de certaines autres diasporas que nous connaissons bien et que nous sommes toujours prêts à citer en exemple ? Nous allons nous organiser pour aider nos compatriotes à se soigner, à bénéficier de toutes les opportunités qu’offrent les Etats-Unis. Nous allons doter l’UFI d’un siège qui servira de centre d’information et d’encadrement de nos frères et sœurs, surtout en difficulté. Nous allons nous atteler à faire de notre union, cette nouvelle organisation que nous serons tous aussi fiers de citer en exemple. J’appelle solennellement toute la communauté ivoirienne à l’union et au rassemblement autour de notre UFI. Nous souffrirons ensemble, ou nous rirons ensemble parce qu’heureusement, nous sommes condamnés à vivre ensemble. Alors, si nous n’avons pas d’autre choix que de vivre ensemble, pourquoi ne pas conjuguer nos efforts afin de rendre cette cohabitation des plus harmonieuses en créant une communauté unie, prospère et forte ? L’UFI, c’est vous, ce sont nos enfants, c’est la Côte d’Ivoire ».
Après cette allocution, l’assistance eut droit à un défilé de mode où le pagne ivoirien porté par des Ivoiriennes vivant aux Etats-Unis, a étalé à profusion la beauté africaine. Le tout, ponctué de tubes ivoiriens très « retro » qui a plongé une fois de plus l’assistance dans l’ambiance des années « indépendance ».
La palme d’or de cette organisation, de l’avis de tous, revient aux hôtesses. Quel charme !
Au vu de ce show, nous pouvons soutenir, sans jeter les cauris qu’une griffe est née : l’UFI nouvelle vision. Tant pis donc pour les pessimistes. Avec Jeannette Kah-Leguil, l’UFI prend véritablement un nouvel envol !
Séry Pouamon à Burtonsville, Maryland
