ABIDJAN - Voici les principales informations de journaux ivoiriens parus mercredi:
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FRATERNITE MATIN
Depuis Paris d'où elle doit regagner Abidjan ce mercredi, l'épouse du président du parti démocratique de Côte d'Ivoire (PDCI), Henriette Bédié, appelle à l'union de tous les militants du parti de son époux et donne son avis sur la supposée future candidature de l'ex-Premier ministre Charles Konan Banny à l'élection présidentielle. Elle dit faire confiance à l'intelligence des deux hommes et espère qu'ils se mettront au-dessus des rumeurs. Banny a accordé un soutien franc à la candidature du président Bédié, c'est un homme d'honneur et de parole, a-t-elle ajouté, affirmant qu'elle ne crois pas qu'il va se dédire. Elle a appelé les "vrais enfants d'Houphouët-Boigny" à la cohésion et à l'union sacrée autour de la candidature de Bédié. "La division ferait le lit de l'adversaire, unis nous gagnerons mais divisés le combat devient difficile et l'histoire ne nous le pardonnera pas", a-t-elle conclu.
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LE PATRIOTE
Le président de l'Assemblée nationale, Mamadou Koulibaly, a profité du lancement officiel de sa fondation dénommée Audace Institut Afrique (AIA), mardi à Grand-Bassam (sud-est, 35 km d'Abidjan) pour rappeler la nécessité de protéger et promouvoir les droits de l'homme dans les pays africains. Intervenant sur le thème "Afrique et liberté", il a indiqué que la liberté et les droits de l'homme constituent les fondements de toute nation. Selon lui, le respect des droits de l'homme est le ciment de la cohésion sociale et de l'unité nationale. En respectant les droits des uns et des autres, a-t-il expliqué, on crée les conditions de justice et d'égalité des citoyens devant la loi et on développe chez eux les sentiments d'appartenance à une même nation. Mamadou Koulibaly a justifié la création de son institut par le fatalisme, synonyme d'immobilisme et de déchéance qui gagne l'Afrique. AIA se propose de donner de la volonté et de l'espoir aux Africains afin d'impulser une dynamique nouvelle au continent noir.
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SOIR INFO
Le procureur militaire, Ange Kessy, vient de dépoussiérer l'affaire Djédjé Mady, secrétaire général du Parti démocratique de Côte d'Ivoire (PDCI), qui avait refusé de répondre à une citation à comparaître du tribunal militaire d'Abidjan. "Dans tous les cas, je vais l'entendre. Il doit venir expliquer ce qu'il a vu lors de la manifestation du RHDP (opposition) à Gagnoa (centre-ouest, 250 km d'Abidjan). Nous voulons qu'il nous dise s'il a vu ou non des policiers tirer sur des manifestants à Gagnoa. La convocation sera relancée dans deux semaines", martèle-t-il. Pour Ange Kessy, il faut respecter les institutions ivoiriennes et éviter que le cas Djédjé Mady fasse jurisprudence dans le milieu social et politique. Pour protester contre la dissolution de la CEI et du gouvernement, l'opposition avait appelé à des manifestations populaires qui ont fait cinq morts à Gagnoa. Fin
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FRATERNITE MATIN
Depuis Paris d'où elle doit regagner Abidjan ce mercredi, l'épouse du président du parti démocratique de Côte d'Ivoire (PDCI), Henriette Bédié, appelle à l'union de tous les militants du parti de son époux et donne son avis sur la supposée future candidature de l'ex-Premier ministre Charles Konan Banny à l'élection présidentielle. Elle dit faire confiance à l'intelligence des deux hommes et espère qu'ils se mettront au-dessus des rumeurs. Banny a accordé un soutien franc à la candidature du président Bédié, c'est un homme d'honneur et de parole, a-t-elle ajouté, affirmant qu'elle ne crois pas qu'il va se dédire. Elle a appelé les "vrais enfants d'Houphouët-Boigny" à la cohésion et à l'union sacrée autour de la candidature de Bédié. "La division ferait le lit de l'adversaire, unis nous gagnerons mais divisés le combat devient difficile et l'histoire ne nous le pardonnera pas", a-t-elle conclu.
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LE PATRIOTE
Le président de l'Assemblée nationale, Mamadou Koulibaly, a profité du lancement officiel de sa fondation dénommée Audace Institut Afrique (AIA), mardi à Grand-Bassam (sud-est, 35 km d'Abidjan) pour rappeler la nécessité de protéger et promouvoir les droits de l'homme dans les pays africains. Intervenant sur le thème "Afrique et liberté", il a indiqué que la liberté et les droits de l'homme constituent les fondements de toute nation. Selon lui, le respect des droits de l'homme est le ciment de la cohésion sociale et de l'unité nationale. En respectant les droits des uns et des autres, a-t-il expliqué, on crée les conditions de justice et d'égalité des citoyens devant la loi et on développe chez eux les sentiments d'appartenance à une même nation. Mamadou Koulibaly a justifié la création de son institut par le fatalisme, synonyme d'immobilisme et de déchéance qui gagne l'Afrique. AIA se propose de donner de la volonté et de l'espoir aux Africains afin d'impulser une dynamique nouvelle au continent noir.
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SOIR INFO
Le procureur militaire, Ange Kessy, vient de dépoussiérer l'affaire Djédjé Mady, secrétaire général du Parti démocratique de Côte d'Ivoire (PDCI), qui avait refusé de répondre à une citation à comparaître du tribunal militaire d'Abidjan. "Dans tous les cas, je vais l'entendre. Il doit venir expliquer ce qu'il a vu lors de la manifestation du RHDP (opposition) à Gagnoa (centre-ouest, 250 km d'Abidjan). Nous voulons qu'il nous dise s'il a vu ou non des policiers tirer sur des manifestants à Gagnoa. La convocation sera relancée dans deux semaines", martèle-t-il. Pour Ange Kessy, il faut respecter les institutions ivoiriennes et éviter que le cas Djédjé Mady fasse jurisprudence dans le milieu social et politique. Pour protester contre la dissolution de la CEI et du gouvernement, l'opposition avait appelé à des manifestations populaires qui ont fait cinq morts à Gagnoa. Fin
