L’Ong Obama fan club africain pour la lutte contre la pauvreté a initié depuis hier, un séminaire sur le thème « Education à la culture de la paix », à la Bourse du Travail à Treichville.
“Durant des décennies, l’Afrique a été marginalisée par les grandes puissances internationales et a traversé des moments difficiles… Cependant, les indépendances acquises difficilement dans les années 60, annonçaient une période de bonheur et d’émancipation… Malheureusement, les climats d’anarchie et de gabégie qui ont caractérisé la vie politique et économique de certains Etats Africains, ont engendré des conséquences indélébiles. Notamment, la pauvreté, les violences, la guerre » a déclaré d’emblée dans son allocution, le président de ladite Ong, le Sénateur Tao. Pour lui, le cas de la Côte d’Ivoire d’Houphouët-Boigny devient long et ennuyeux. « Et pourtant, durant tout son séjour sur terre, Houphouët-Boigny a enseigné la culture de paix, d’amour, de pardon et de fraternité vraie » a-t-il regretté. « Barack Obama nous a donné cet espoir qu’un jour, l’Afrique changera. C’est pour cela que nous avons demandé à la Fondation Félix Houphouët-Boigny pour la recherche de la paix, paix sans laquelle le développement n’est pas permis, de venir nous former » ajoutera le Sénateur Tao. Avant de terminer, le président du Fan club Obama s’est indigné du mépris de certains élus ivoiriens pour la cause de la paix. « Mesdames et Messieurs, il a fallu que j’emprunte la route de la paix pour savoir que beaucoup d’autorités ivoiriennes ne sont pas prêtes pour que la paix revienne de sitôt en Côte d’Ivoire. Je ne peux pas comprendre que le Conseil économique et social, l’Assemblée nationale et des mairies, nous refusent leus salles pour la cause pour la formation des jeunes à la culture de la paix ». Pour sa part, Dr Djénéba Doumbia a traité le thème central « éducation à la culture de la paix. Elle considère que le temps est venu de faire entendre raison à ceux qui tournent dos à la démocratie. « D’une façon générale, l’on observe la recrudescence de la violence dans la vie quotidienne. En effet, l’intolérance, la xénophobie, l’intégrisme religieux, le terrorisme… prennent de l’ampleur. Tous ces maux dont souffrent nos sociétés mettent à mal les démocraties naissantes. Pour opérer une transition de la culture de la violence à la culture de la paix et rendre possible l’avènement d’une société démocratique et de paix, la Fondation Félix Houphouët-Boigny pour la recherche de la paix, s’engage résolument dans toutes les actions de sensibilisation et de formation » dira Dr Djénéba. Qui poursuit que ‘’ce séminaire vise à renforcer les capacités des participants en les dotant de moyens, de techniques et de méthodes susceptibles de modifier leur comportement en vue de l’émergence d’une culture de la paix et de la démocratie’’. Il faut le noter que ce séminaire qui a débuté hier pour prendre fin aujourd’hui, a enrégistré la participation des classes politiques, religieuses et de la société civile.
K. Zéguédoua Tano
“Durant des décennies, l’Afrique a été marginalisée par les grandes puissances internationales et a traversé des moments difficiles… Cependant, les indépendances acquises difficilement dans les années 60, annonçaient une période de bonheur et d’émancipation… Malheureusement, les climats d’anarchie et de gabégie qui ont caractérisé la vie politique et économique de certains Etats Africains, ont engendré des conséquences indélébiles. Notamment, la pauvreté, les violences, la guerre » a déclaré d’emblée dans son allocution, le président de ladite Ong, le Sénateur Tao. Pour lui, le cas de la Côte d’Ivoire d’Houphouët-Boigny devient long et ennuyeux. « Et pourtant, durant tout son séjour sur terre, Houphouët-Boigny a enseigné la culture de paix, d’amour, de pardon et de fraternité vraie » a-t-il regretté. « Barack Obama nous a donné cet espoir qu’un jour, l’Afrique changera. C’est pour cela que nous avons demandé à la Fondation Félix Houphouët-Boigny pour la recherche de la paix, paix sans laquelle le développement n’est pas permis, de venir nous former » ajoutera le Sénateur Tao. Avant de terminer, le président du Fan club Obama s’est indigné du mépris de certains élus ivoiriens pour la cause de la paix. « Mesdames et Messieurs, il a fallu que j’emprunte la route de la paix pour savoir que beaucoup d’autorités ivoiriennes ne sont pas prêtes pour que la paix revienne de sitôt en Côte d’Ivoire. Je ne peux pas comprendre que le Conseil économique et social, l’Assemblée nationale et des mairies, nous refusent leus salles pour la cause pour la formation des jeunes à la culture de la paix ». Pour sa part, Dr Djénéba Doumbia a traité le thème central « éducation à la culture de la paix. Elle considère que le temps est venu de faire entendre raison à ceux qui tournent dos à la démocratie. « D’une façon générale, l’on observe la recrudescence de la violence dans la vie quotidienne. En effet, l’intolérance, la xénophobie, l’intégrisme religieux, le terrorisme… prennent de l’ampleur. Tous ces maux dont souffrent nos sociétés mettent à mal les démocraties naissantes. Pour opérer une transition de la culture de la violence à la culture de la paix et rendre possible l’avènement d’une société démocratique et de paix, la Fondation Félix Houphouët-Boigny pour la recherche de la paix, s’engage résolument dans toutes les actions de sensibilisation et de formation » dira Dr Djénéba. Qui poursuit que ‘’ce séminaire vise à renforcer les capacités des participants en les dotant de moyens, de techniques et de méthodes susceptibles de modifier leur comportement en vue de l’émergence d’une culture de la paix et de la démocratie’’. Il faut le noter que ce séminaire qui a débuté hier pour prendre fin aujourd’hui, a enrégistré la participation des classes politiques, religieuses et de la société civile.
K. Zéguédoua Tano