En vue d’amener le gouvernement à renoncer définitivement à la taxe de développement communal (TDC) la CCVC, une association de consommateur organise un meeting le 7 août à la Bourse du travail de Ouagadougou.
La bourse du travail burkinabé sera le 7 août prochain en ébullition. Pour cause, un meeting pour le refus de l’application de la Taxe de développement communale (TDC) organisé par l’Association des consolateurs du pays. Dénommée la Coordination de la coalition nationale de lutte contre la vie chère (CCVC). En effet, cette coordination qui ne compte pas lâcher prise dans cette affaire a décidé de prendre la rue pour protester contre la mise en application de cette taxe et amener le gouvernement burkinabé à renoncer définitivement à la taxe, considérée par la structure comme une taxe « injuste». En plus la Coordination de la coalition nationale de lutte contre la vie chère qui est une structure qui regroupe des organisations syndicales et de la société civile entend au travers ce meeting, dénoncer ce qu’elle considère selon ses termes comme « des tentatives d’application insidieuse de la TDC par la police dans de nombreuses localités ». Par ailleurs, aussi paradoxale que cela puisse paraître en même temps que les autorités communales sont décidées à percevoir cet impôt qui touche les propriétaires, les véhicules et engins à moteurs, la police l’exige lors des contrôles inopinés aux automobilistes et motocyclistes. C’est pourquoi, ce meeting annoncé depuis le 2 août dernier compte réunir tous les consommateurs afin de faire plier le gouvernement sur cette autre taxe qu’est la TDC. En attendant de mesurer les effets du meeting burkinabé, il faut dire que cette action de la CCVC est un exemple de lutte entend qu’association de consommateurs. Elle est « une invitation » aux associations de consommateurs, telles que celles de la Côte d’Ivoire à plus d’action concrète sur le terrain que des dénonciations sans suite et sans effet dans les medias.
B.K
La bourse du travail burkinabé sera le 7 août prochain en ébullition. Pour cause, un meeting pour le refus de l’application de la Taxe de développement communale (TDC) organisé par l’Association des consolateurs du pays. Dénommée la Coordination de la coalition nationale de lutte contre la vie chère (CCVC). En effet, cette coordination qui ne compte pas lâcher prise dans cette affaire a décidé de prendre la rue pour protester contre la mise en application de cette taxe et amener le gouvernement burkinabé à renoncer définitivement à la taxe, considérée par la structure comme une taxe « injuste». En plus la Coordination de la coalition nationale de lutte contre la vie chère qui est une structure qui regroupe des organisations syndicales et de la société civile entend au travers ce meeting, dénoncer ce qu’elle considère selon ses termes comme « des tentatives d’application insidieuse de la TDC par la police dans de nombreuses localités ». Par ailleurs, aussi paradoxale que cela puisse paraître en même temps que les autorités communales sont décidées à percevoir cet impôt qui touche les propriétaires, les véhicules et engins à moteurs, la police l’exige lors des contrôles inopinés aux automobilistes et motocyclistes. C’est pourquoi, ce meeting annoncé depuis le 2 août dernier compte réunir tous les consommateurs afin de faire plier le gouvernement sur cette autre taxe qu’est la TDC. En attendant de mesurer les effets du meeting burkinabé, il faut dire que cette action de la CCVC est un exemple de lutte entend qu’association de consommateurs. Elle est « une invitation » aux associations de consommateurs, telles que celles de la Côte d’Ivoire à plus d’action concrète sur le terrain que des dénonciations sans suite et sans effet dans les medias.
B.K