L’Institut national de la jeunesse et du sport(Injs) n’a plus son rayonnement des années 70-80. Une triste situation à laquelle la nouvelle directrice, Hélène Affoua Bodoua, compte s’attaquer. De fait, la formation de trois jours (10, 11, 12 août) administrée par la Conférence des ministres, des Etats et gouvernements ayant le français en partage(Confejes) dont 18 agents de l’institut, trois inspecteurs du ministère des Sports, un représentant de l’Unesco, ont bénéficié récemment, à la salle des profs de cette Grande école, s’inscrit dans cette optique. Il s’est agi d’un séminaire de formation à la méthodologie d’élaboration d’un plan d’établissement de l’Injs. Une assise qui s’est déroulée avec l’appui technique d’un expert sénégalais, Sene Adama. Ce séminaire a consisté à renforcer les capacités d’un comité de rédaction de ce plan. Un comité restreint de dix personnes. « On a appris beaucoup de choses, des méthodes nouvelles pour l’élaboration du plan de nouvelles habilités. C’est une nouvelle vision, c’est une autre manière de gérer l’Injs que nous envisageons. De sorte à moderniser les structures et la gestion de l’institut à l’image des autres pays qui ont déjà commencé leur plan. Il n’est pas normal que l’Injs considéré comme un modèle soit à la traine. Ce séminaire est salutaire, on va mettre les bouchées doubles pour que d’ici octobre le premier trac du plan d’établissement puisse sortir », rassure la directrice Hélène Badoua.
Tibet Kipré
Leg : Mme Affoua Bodoua : « Nous envisageons gérer autrement l’Injs »
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Leg : Mme Affoua Bodoua : « Nous envisageons gérer autrement l’Injs »
