Ouvert le 9 août dernier à Abidjan, l’atelier de formation des assesseurs sur l’accréditation des laboratoires d’analyse de biologie médicale pour les pays francophones a été marqué par plusieurs recommandations. La cérémonie de clôture a eu lieu en présence du Dr Koné Mamadou, directeur de cabinet adjoint, représentant le ministre de la Santé et de l’Hygiène publique et du Dr Mamadou D Ball, représentant résident de l’Organisation mondiale de la santé (Oms) en Côte d’Ivoire.
A l’issue des travaux de cet atelier, plusieurs recommandations ont été faites aussi bien à l’endroit des pays que des partenaires. Pour les pays, l’atelier recommande la formation des auditeurs nationaux, l’établissement de la cartographie des niveaux des laboratoires des pays en s’aidant de la liste de contrôle de l’Oms et d’assurer l’accompagnement en formation du personnel des laboratoires identifiés pour l’accréditation. Quant aux partenaires, ceux-ci doivent fournir l’assistance technique nécessaire pour la mise à niveau des laboratoires dans le cadre de l’accréditation et assurer le plaidoyer au niveau des autorités nationales pour le développement de programmes de qualité.
C’est pourquoi, le Dr koné Mamadou, au nom du ministre de la santé et de l’hygiène publique a invité les pays à faire siens les recommandations de l’atelier. « Avant de nous séparer, nous nous devons de prendre le ferme engagement que, de retour dans nos pays respectifs, toutes les dispositions seront prises pour la mise en œuvre effective des recommandations pratiques afin que la qualité et la fiabilité de nos laboratoires guident désormais nos pas. », a recommandé le Dr Koné. Et de poursuivre « pour ce faire, nous voudrions vous inviter à intégrer dans votre feuille de route, l’évaluation, selon une périodicité à convenir, de la qualité des infrastructures de nos laboratoires et de notre système de biosécurité, de leur plateau technique, de l’organisation et des ressources humaines, du système d’approvisionnement et d’inventaire en place, des outils managériaux et de la gestion de l’information et du contrôle de gestion et de l’audit interne », a indiqué le représentant du ministre de la santé et de l’hygiène publique.
Pour mémoire, une trentaine d’experts venus du Bénin, du Burkina Faso, du Mali, du Niger, du Sénégal, du Togo et de la Côte d’Ivoire ont pris part à cet atelier de formation organisé par le bureau régional de l’Oms pour l’Afrique en partenariat avec le Cdc et L’Uemoa.
Franck YEO
Franck-stephane.yeo@fratmat.info
A l’issue des travaux de cet atelier, plusieurs recommandations ont été faites aussi bien à l’endroit des pays que des partenaires. Pour les pays, l’atelier recommande la formation des auditeurs nationaux, l’établissement de la cartographie des niveaux des laboratoires des pays en s’aidant de la liste de contrôle de l’Oms et d’assurer l’accompagnement en formation du personnel des laboratoires identifiés pour l’accréditation. Quant aux partenaires, ceux-ci doivent fournir l’assistance technique nécessaire pour la mise à niveau des laboratoires dans le cadre de l’accréditation et assurer le plaidoyer au niveau des autorités nationales pour le développement de programmes de qualité.
C’est pourquoi, le Dr koné Mamadou, au nom du ministre de la santé et de l’hygiène publique a invité les pays à faire siens les recommandations de l’atelier. « Avant de nous séparer, nous nous devons de prendre le ferme engagement que, de retour dans nos pays respectifs, toutes les dispositions seront prises pour la mise en œuvre effective des recommandations pratiques afin que la qualité et la fiabilité de nos laboratoires guident désormais nos pas. », a recommandé le Dr Koné. Et de poursuivre « pour ce faire, nous voudrions vous inviter à intégrer dans votre feuille de route, l’évaluation, selon une périodicité à convenir, de la qualité des infrastructures de nos laboratoires et de notre système de biosécurité, de leur plateau technique, de l’organisation et des ressources humaines, du système d’approvisionnement et d’inventaire en place, des outils managériaux et de la gestion de l’information et du contrôle de gestion et de l’audit interne », a indiqué le représentant du ministre de la santé et de l’hygiène publique.
Pour mémoire, une trentaine d’experts venus du Bénin, du Burkina Faso, du Mali, du Niger, du Sénégal, du Togo et de la Côte d’Ivoire ont pris part à cet atelier de formation organisé par le bureau régional de l’Oms pour l’Afrique en partenariat avec le Cdc et L’Uemoa.
Franck YEO
Franck-stephane.yeo@fratmat.info