Non, il ne s’agit pas de cotiser de l’argent pour participer à une quelconque cérémonie. Quoique.
Ecrire une chronique demande beaucoup de réflexion. Le titre est le vrai casse tête. Comment trouver un titre qui accroche le lecteur car sa lecture en dépendra. Le thème ou le sujet demande une semaine de réflexion avant de commencer à l’écrire. Dès qu’une chronique est partie il faut déjà penser à l’autre. Ainsi commence les recherches sur le thème qui sera abordé. Le chroniqueur doit avoir une documentation riche. Le lecteur, à la sortie de sa lecture, doit avoir appris quelque chose qui sera d’un apport pour sa semaine, son mois ou des années. Quelque chose qu’il pourrait mettre en pratique. Dans tous les cas une chronique c’est pour réfléchir ou pousser à la réflexion. Celui qui écrit n’a pas raison sur tout. C’est son point de vue. C’est qu’il souhaiterait. C’est pourquoi il est bon de lire avec un bic en main et discuter avec l’auteur. On apprend mieux et on s’en sert davantage. J’envoie tous les vendredis ma chronique au journal.
Dès que le message est parti je suis absolument heureux d’avoir contribué à une édification.
Hélas, la satisfaction est de courte durée car il faut penser immédiatement au prochain texte.
Mais je prends du plaisir à écrire. J’ai fait 18 mois d’un cours de l’école française de rédaction qui s’intitulait : « Le plaisir d’écrire. » La participation c’est s’engager dans une action, une association pour venir en aide aux autres. Cela est bien pour l’activité sociale de tout homme. Il n’et pas bon de resté cloitré chez soi durant les congés, les vacances ou les fins de semaine. L’homme doit chercher à s’occuper dans une action sociale en faveur de certaines catégories de la société dont les plus vulnérables que sont les jeunes et même les femmes. Celles-là bénéficient vraiment.
Dans le monde que d’aide on apporte à la femme à travers leurs associations ! Car pour bénéficier de fonds pour une quelconque activité sociale il faut être organisé. Finalement les femmes sont tellement aidées qu’il serait bon que les hommes se considèrent comme une catégorie vulnérable. Des femmes vont crier au scandale. Il ne faut jamais les critiquer. Trop habituées à être chouchouté comme c’est moi leur défenseur qui parle ainsi, elles seront indulgentes avec moi. S’engager au niveau de sa communauté ou de ses frères va bien aux politiciens. Ils ne s’ennuient pas du tout. Toujours partis vers leurs électeurs. Toujours présents dans de multiples activités. On ne peut pas dire qu’ils ne participent pas. Ne parlons pas d’argent qui sort de leur poche presque tous les jours. Heureux politiciens !Tout comme ceux qui s’engagent dans des associations pour le développement de leur village ou de leur région. Ils font œuvre utile. Ils participent. Mais les autres. Les plus nombreux. Que font-ils pour leur entourage immédiat ou proche. On peut s’engager dans quelque chose qui existe déjà ou créer. Remarquez les paroisses. Que de mal fou pour trouver des adhérents aux différentes associations et mouvements ! Et pourtant, c’était tout simple de s’engager, de participer. La majorité des citoyens sont ainsi. Croiser les bras. Regarder les autres et surtout les critiquer. Que coute à un retraité dans un quartier en s’occupant ou en créant une association, un groupe pour collectionneurs de timbres ? Il fera œuvre utile. Il existe milles possibilités de s’engager, de participer, d’aider les autres par ses idées. Et non par de l’argent. Et c’est bon pour le moral et la santé. Qui sait où cela peut vous amener ? Pourquoi ne pas créer un club d’amis de la télé dans le quartier ? Que de choses à faire dans ce monde. Car il est inutile de parler de clubs de livres. Moi, je participe déjà pleinement aux activités de mon fan-club et cela me fait énormément plaisir. Il regroupe tous ceux qui aiment la lecture, mes livres et souhaitent écrire. Nos activités sont multiples. Je sens que je fais œuvre utile. Même le président de la République a dès la première année récompensé les lauréats de notre premier concours de nouvelles. A son avènement au pouvoir il demandait qu’on crée plus de bibliothèques que de discothèques. Le fan club Isaïe Biton Koulibaly lui a donné la réponse. C’est dire que chacun doit pouvoir s’occuper socialement. D’une certaine manière cela allège la tache des hommes politiques. Ne surtout pas croire que cela va demander beaucoup d’argent. Rien du tout. Quelle femme dans le quartier va organiser les jeunes servantes de son ilot pour des rencontres hebdomadaires sur des thèmes précis. Assurément elle aurait fait une action historique qui fera tache d’huile. Levez vous et participer. Ce n’est pas les idées qui manquent. C’est la volonté. Or la volonté est le fort des hommes qui veulent avancer. Pourquoi ne pas demander conseil à vos amis qui viennent discuter chez vous de tout et de rien. Vous pouvez participer ensemble. Passez son temps à critiquer les autres ruinent l’âme. Qu’elle belle fin ! Il reste à enregistrer ma chronique. La reprendre ce soir ou demain en corrigeant et envoyer sur le mail de l’intelligent d’Abidjan. C’est fini pour participation. Déjà pour la chronique à écrire jeudi prochain je vais tout de suite penser aux thèmes possibles à écrire. Heureux lecteurs ! Ainsi va l’Afrique. A samedi prochain
Par Isaïe Biton
Ecrire une chronique demande beaucoup de réflexion. Le titre est le vrai casse tête. Comment trouver un titre qui accroche le lecteur car sa lecture en dépendra. Le thème ou le sujet demande une semaine de réflexion avant de commencer à l’écrire. Dès qu’une chronique est partie il faut déjà penser à l’autre. Ainsi commence les recherches sur le thème qui sera abordé. Le chroniqueur doit avoir une documentation riche. Le lecteur, à la sortie de sa lecture, doit avoir appris quelque chose qui sera d’un apport pour sa semaine, son mois ou des années. Quelque chose qu’il pourrait mettre en pratique. Dans tous les cas une chronique c’est pour réfléchir ou pousser à la réflexion. Celui qui écrit n’a pas raison sur tout. C’est son point de vue. C’est qu’il souhaiterait. C’est pourquoi il est bon de lire avec un bic en main et discuter avec l’auteur. On apprend mieux et on s’en sert davantage. J’envoie tous les vendredis ma chronique au journal.
Dès que le message est parti je suis absolument heureux d’avoir contribué à une édification.
Hélas, la satisfaction est de courte durée car il faut penser immédiatement au prochain texte.
Mais je prends du plaisir à écrire. J’ai fait 18 mois d’un cours de l’école française de rédaction qui s’intitulait : « Le plaisir d’écrire. » La participation c’est s’engager dans une action, une association pour venir en aide aux autres. Cela est bien pour l’activité sociale de tout homme. Il n’et pas bon de resté cloitré chez soi durant les congés, les vacances ou les fins de semaine. L’homme doit chercher à s’occuper dans une action sociale en faveur de certaines catégories de la société dont les plus vulnérables que sont les jeunes et même les femmes. Celles-là bénéficient vraiment.
Dans le monde que d’aide on apporte à la femme à travers leurs associations ! Car pour bénéficier de fonds pour une quelconque activité sociale il faut être organisé. Finalement les femmes sont tellement aidées qu’il serait bon que les hommes se considèrent comme une catégorie vulnérable. Des femmes vont crier au scandale. Il ne faut jamais les critiquer. Trop habituées à être chouchouté comme c’est moi leur défenseur qui parle ainsi, elles seront indulgentes avec moi. S’engager au niveau de sa communauté ou de ses frères va bien aux politiciens. Ils ne s’ennuient pas du tout. Toujours partis vers leurs électeurs. Toujours présents dans de multiples activités. On ne peut pas dire qu’ils ne participent pas. Ne parlons pas d’argent qui sort de leur poche presque tous les jours. Heureux politiciens !Tout comme ceux qui s’engagent dans des associations pour le développement de leur village ou de leur région. Ils font œuvre utile. Ils participent. Mais les autres. Les plus nombreux. Que font-ils pour leur entourage immédiat ou proche. On peut s’engager dans quelque chose qui existe déjà ou créer. Remarquez les paroisses. Que de mal fou pour trouver des adhérents aux différentes associations et mouvements ! Et pourtant, c’était tout simple de s’engager, de participer. La majorité des citoyens sont ainsi. Croiser les bras. Regarder les autres et surtout les critiquer. Que coute à un retraité dans un quartier en s’occupant ou en créant une association, un groupe pour collectionneurs de timbres ? Il fera œuvre utile. Il existe milles possibilités de s’engager, de participer, d’aider les autres par ses idées. Et non par de l’argent. Et c’est bon pour le moral et la santé. Qui sait où cela peut vous amener ? Pourquoi ne pas créer un club d’amis de la télé dans le quartier ? Que de choses à faire dans ce monde. Car il est inutile de parler de clubs de livres. Moi, je participe déjà pleinement aux activités de mon fan-club et cela me fait énormément plaisir. Il regroupe tous ceux qui aiment la lecture, mes livres et souhaitent écrire. Nos activités sont multiples. Je sens que je fais œuvre utile. Même le président de la République a dès la première année récompensé les lauréats de notre premier concours de nouvelles. A son avènement au pouvoir il demandait qu’on crée plus de bibliothèques que de discothèques. Le fan club Isaïe Biton Koulibaly lui a donné la réponse. C’est dire que chacun doit pouvoir s’occuper socialement. D’une certaine manière cela allège la tache des hommes politiques. Ne surtout pas croire que cela va demander beaucoup d’argent. Rien du tout. Quelle femme dans le quartier va organiser les jeunes servantes de son ilot pour des rencontres hebdomadaires sur des thèmes précis. Assurément elle aurait fait une action historique qui fera tache d’huile. Levez vous et participer. Ce n’est pas les idées qui manquent. C’est la volonté. Or la volonté est le fort des hommes qui veulent avancer. Pourquoi ne pas demander conseil à vos amis qui viennent discuter chez vous de tout et de rien. Vous pouvez participer ensemble. Passez son temps à critiquer les autres ruinent l’âme. Qu’elle belle fin ! Il reste à enregistrer ma chronique. La reprendre ce soir ou demain en corrigeant et envoyer sur le mail de l’intelligent d’Abidjan. C’est fini pour participation. Déjà pour la chronique à écrire jeudi prochain je vais tout de suite penser aux thèmes possibles à écrire. Heureux lecteurs ! Ainsi va l’Afrique. A samedi prochain
Par Isaïe Biton