Le général de brigade Gueu Michel, chef du cabinet militaire du Premier ministre Guillaume Soro, était l’invité de ONUCI-FM, le vendredi 20 août 2010. Principal sujet abordé, le processus d’encasernement des ex-combattants des Forces nouvelles.
«Les obstacles sont en train d’être levés et si nous attendons que tous les obstacles soient levés avant de commencer cette opération, je ne suis pas sûr que deux mois avant l’élection du Président de la République, nous puissions avoir achevé cette opération d’encasernement (…) On a beaucoup épilogué sur le budget qui a été retenu pour cette opération, mais pour l’instant, au moins 5 milliards de FCFA vont être mis ou ont commencé à être mis à la disposition du général Bakayoko, chef d’état major des FAFN et avec ce qu’il a obtenu, il peut commencer l’opération », a expliqué le général Gueu Michel. Poursuivant, il s’est réjoui de ce que la question du financement de l’opération ait été réglée, d’autant plus que le Premier ministre avait rassuré les généraux Mangou et Bakayoko, au cours de leur rencontre à la primature. Guillaume Soro leur avait dit que d’ici à la fin du mois d’août, l’unicité des caisses serait une réalité, afin de permettre à l’Etat de Côte d’Ivoire de tenir ses engagements. « Ce n’est plus le bout du tunnel qu’on voit, mais plutôt la sortie du tunnel », s’est-il félicité. Le processus qui s’est poursuivi, hier, avec l’étape de Séguéla, après celle de Korhogo, le 15 juin dernier, concerne 5.000 Volontaires pour la nouvelle armée (VAN) ou Eléments pour l’armée nouvelle (EAN). Après donc Séguéla, les villes de Man et de Bouaké, à partir du lundi 23 août prochain pousuivront le processus d’encasernement. Sur la question des 500. 000 FCFA à allouer à chaque ex-combattant, le général Gueu Michel a dit que les négociations se poursuivent, pour satisfaire les besoins des uns et des autres. « Il y a des ex-combattants qui souhaitent être réinsérés que d’avoir 500. 000 FCFA, alors que d’autres préfèrent avoir l’enveloppe de 500. 000 FCFA pour se réinsérer eux-mêmes », a-t-il conclu
Olivier Dion
«Les obstacles sont en train d’être levés et si nous attendons que tous les obstacles soient levés avant de commencer cette opération, je ne suis pas sûr que deux mois avant l’élection du Président de la République, nous puissions avoir achevé cette opération d’encasernement (…) On a beaucoup épilogué sur le budget qui a été retenu pour cette opération, mais pour l’instant, au moins 5 milliards de FCFA vont être mis ou ont commencé à être mis à la disposition du général Bakayoko, chef d’état major des FAFN et avec ce qu’il a obtenu, il peut commencer l’opération », a expliqué le général Gueu Michel. Poursuivant, il s’est réjoui de ce que la question du financement de l’opération ait été réglée, d’autant plus que le Premier ministre avait rassuré les généraux Mangou et Bakayoko, au cours de leur rencontre à la primature. Guillaume Soro leur avait dit que d’ici à la fin du mois d’août, l’unicité des caisses serait une réalité, afin de permettre à l’Etat de Côte d’Ivoire de tenir ses engagements. « Ce n’est plus le bout du tunnel qu’on voit, mais plutôt la sortie du tunnel », s’est-il félicité. Le processus qui s’est poursuivi, hier, avec l’étape de Séguéla, après celle de Korhogo, le 15 juin dernier, concerne 5.000 Volontaires pour la nouvelle armée (VAN) ou Eléments pour l’armée nouvelle (EAN). Après donc Séguéla, les villes de Man et de Bouaké, à partir du lundi 23 août prochain pousuivront le processus d’encasernement. Sur la question des 500. 000 FCFA à allouer à chaque ex-combattant, le général Gueu Michel a dit que les négociations se poursuivent, pour satisfaire les besoins des uns et des autres. « Il y a des ex-combattants qui souhaitent être réinsérés que d’avoir 500. 000 FCFA, alors que d’autres préfèrent avoir l’enveloppe de 500. 000 FCFA pour se réinsérer eux-mêmes », a-t-il conclu
Olivier Dion