Me Affoussy Bamba, porte-parole des Fn : «On avance mais difficilement»
Nous sommes contents de savoir qu’on avance même si c’est avec des difficultés. Parce que, comme l’a dit le gal Bakayoko, les Fn n’ont pas à leur disposition les moyens nécessaires pour la conduite de l’opération. Seule la volonté nous permet de poursuivre. Je vous parle à double titre. En tant que porte-parole des Forces nouvelles d’une part et, d’autre part, en ma qualité de membre du comité de pilotage de l’encasernement mis sur pied par le Premier ministre, je peux dire que nous avons eu une importante réunion avec le ministère de l’économie et des finances qui nous a assurés qu’il avait à cœur la prise en compte des questions militaires. Et que des choses seraient faites pour prendre en compte les éléments encasernés. La seule difficulté pour nous, aujourd’hui, pour arrêter définitivement le budget, c’est qu’une mission d’évaluation aille constater sur le terrain ce qui a été concrètement fait. C’est un problème parce que lorsque les Forces nouvelles évoquent la question de la réhabilitation des sites, on nous répond que cela a déjà été fait. Si c’était le cas, on ne peut pas l’inclure dans le budget. Or, il s’avère que, sur le terrain, les sites n’ont pas été réhabilités. C’est pourquoi le comité de pilotage demande cette mission afin que le volet réhabilitation puisse être intégré au budget définitif qui sera décaissé par le ministère de l’économie. Je peux dire que le ministre n’a aucune difficulté à le faire. Il a dit que s’il y a des économies à faire, ce ne sont pas celles-là.
Paul Koffi Koffi, pdt du Comité de pilotage de l’encasernement : «Cela augure des lendemains meilleurs»
C’était une belle cérémonie. Bien organisée et bien menée. Evidemment, on a l’expérience après celle de Korhogo. Je crois que cela augure des lendemains meilleurs. Ça annonce la tenue d’élection sereine à la date indiquée. Cela donne confiance et rassure les uns et les autres. Je crois que les Ivoiriens sont décidés à aller à la paix. Les Forces nouvelles l’ont compris et elles ont décidé de prendre leur responsabilité. On doit les encourager à aller jusqu’au bout.
Propos recueillis par Bamba K. Inza
Nous sommes contents de savoir qu’on avance même si c’est avec des difficultés. Parce que, comme l’a dit le gal Bakayoko, les Fn n’ont pas à leur disposition les moyens nécessaires pour la conduite de l’opération. Seule la volonté nous permet de poursuivre. Je vous parle à double titre. En tant que porte-parole des Forces nouvelles d’une part et, d’autre part, en ma qualité de membre du comité de pilotage de l’encasernement mis sur pied par le Premier ministre, je peux dire que nous avons eu une importante réunion avec le ministère de l’économie et des finances qui nous a assurés qu’il avait à cœur la prise en compte des questions militaires. Et que des choses seraient faites pour prendre en compte les éléments encasernés. La seule difficulté pour nous, aujourd’hui, pour arrêter définitivement le budget, c’est qu’une mission d’évaluation aille constater sur le terrain ce qui a été concrètement fait. C’est un problème parce que lorsque les Forces nouvelles évoquent la question de la réhabilitation des sites, on nous répond que cela a déjà été fait. Si c’était le cas, on ne peut pas l’inclure dans le budget. Or, il s’avère que, sur le terrain, les sites n’ont pas été réhabilités. C’est pourquoi le comité de pilotage demande cette mission afin que le volet réhabilitation puisse être intégré au budget définitif qui sera décaissé par le ministère de l’économie. Je peux dire que le ministre n’a aucune difficulté à le faire. Il a dit que s’il y a des économies à faire, ce ne sont pas celles-là.
Paul Koffi Koffi, pdt du Comité de pilotage de l’encasernement : «Cela augure des lendemains meilleurs»
C’était une belle cérémonie. Bien organisée et bien menée. Evidemment, on a l’expérience après celle de Korhogo. Je crois que cela augure des lendemains meilleurs. Ça annonce la tenue d’élection sereine à la date indiquée. Cela donne confiance et rassure les uns et les autres. Je crois que les Ivoiriens sont décidés à aller à la paix. Les Forces nouvelles l’ont compris et elles ont décidé de prendre leur responsabilité. On doit les encourager à aller jusqu’au bout.
Propos recueillis par Bamba K. Inza