Yéo Klotioloma (DDC d’ADO à Abobo): "Le droit a été dit"
« Nous voudrons, dans un premier temps, féliciter les Magistrats qui ont prononcé l’irrecevabilité des dossiers de demandes de radiation du FPI. Nous sommes très émus par cette décision rendue par la Justice. Pour une fois, nous pouvons nous réjouir et nous satisfaire de ce que le droit a été dit. Parce que nous étions convaincus que dès l’instant où le mode opératoire prescrit par la CEI n’a pas été respecté par le FPI, le juge ne pouvait qu’exprimer un non-lieu. Mais, comme le FPI est ce qu’il est, nous nous inquiétions de ce qu’il pourrait compter sur leur réseau d’avocats et de magistrats véreux, à leur solde, pour venir faire de la chienlit. Heureusement que nous n’en sommes pas là. Nous sommes heureux et nous félicitons les juges »
Sidibé Abdoulaye (DDC d’ADO à Adjamé) : «Nous allons traduire les dénonciateurs devant les tribunaux»
Le FPI a peur d’aller aux élections. Il fallait donc trouver un prétexte, en passant par l’injustice. Mais, nous n’accepterons jamais d’être des apatrides dans notre pays. Nous sommes bel et bien des Ivoiriens. Cela vient d’être démontré aujourd’hui par la justice. Qu’on sache une bonne fois pour toute que le nord appartient bel et bien à la Côte d’Ivoire. Et pour ce qui est du cas des dénonciateurs, qu’ils sachent que ce n’est pas qu’une partie du jeu qui a été franchie. Qu’ils sachent que nous n’allons pas laisser cette affaire comme ça. Parce que démettre quelqu’un de sa nationalité, c’est le tuer. Dieu merci, la justice s’est contentée de dire le droit. Et nous, ce sera maintenant notre tour de traduire les dénonciateurs et calomniateurs devant les tribunaux. Cette fois-ci, trop c’est trop. Nous allons mettre fin à cette situation pour une bonne fois.
Minougou Karim : «Nous sommes satisfaits »
«Nous sommes soulagés. La justice a dit le droit. Nous sommes satisfaits. Cependant, nous signalons d’ores et déjà à notre dénonciateur qu’il faudrait qu’il prépare sa défense. Car c’est maintenant notre tour de le traduire devant la justice. Et ce sera fait. Nous ferons tout ce qui est en notre pouvoir pour qu’il aille en prison.
Camara Korotoumou : « Nos détracteurs étaient dans le faux»
Nous sommes enfin libérés. La justice a démontré que ce sont plutôt nos détracteurs qui étaient dans le faux. Nous sommes des Ivoiriens et ils veulent faire de nous des étrangers.
Kané Macoura : «Personne ne peut nous enlever notre dignité »
Nous sommes plus que contentes. Car c’est notre dignité qui vient d’être réhabilité. Et nous sommes fières d’être des Ivoiriennes. La Côte d’Ivoire est notre seul pays. Personne ne peut nous enlever notre dignité.
Kardoula Yacouba : «La justice a rendu le FPI irrecevable en Côte d’Ivoire »
Nous sommes très satisfaits et félicitons la justice ivoirienne. Nous sommes dans un mois de pénitence, nous rendons donc grâce à Dieu. En prononçant l’irrecevabilité des dossiers des calomniateurs, les juges viennent de rendre irrecevable le FPI en Côte d’Ivoire. C’est ce parti qui a causé tout les torts aux Ivoiriens. Des déchets toxiques au scandale de la filière café-cacao, en passant par la paupérisation et les tueries des populations, tout cela est malheureusement à l’actif du FPI. Et au lieu de trouver du travail pour la jeunesse, Gbagbo et son parti prennent tout leur temps à diviser les Ivoiriens.
Koné Assétou : «Nous sommes dans un pays de désordre »
Il est vrai que justice a été rendue, mais il faut dire que j’ai toujours honte pour mon pays. Parce que la preuve est donnée que nous nous trouvons dans un vrai pays de désordre. Ce n’est pas normal qu’un Ivoirien se lève pour aller dire que son frère ou sa soeur n’est pas Ivoirien(ne). Non, c’est malheureux. Jamais nous n’accepterons qu’après nous avoir violées, le FPI décide de violer notre nationalité. Ça, jamais !
Touré Kennedy (Adjt. au maire d’Abobo) : « Les mentalités sont en train de se délier »
C’est un sentiment de joie qui m’anime actuellement. Nous pensons que nous sommes en train de sortir de la crise. C’est une crise qui a assez duré. Les mentalités sont en train de se délier. Cela est important pour le bien-être de notre pays. Nous suivrons toutes les étapes pour que le 31 octobre personne ne puisse nous empêcher d’aller élire celui auquel la Côte d’Ivoire veut confier son destin, c’est-à-dire, le Dr. Alassane Ouattara.
Doumbia Yaya : « J’étais très amer »
Je suis aux anges à l’annonce du verdict. Car, le matin, j’étais très amer. Des demandes de radiation farfelues ne pouvaient pas, en réalité, passer au vu du droit et les textes en vigueur. Nous allons continuer le travail de mobilisation des militants sur le terrain jusqu’aux élections.
Kamagaté Cheich Tidjane : « La Justice vient d’anticiper sur un grand tort »
Je suis animé par une très grande joie aujourd’hui. Je pense que la Justice vient d’anticiper sur un grand tort que des individus mal intentionnés voudraient faire subir à d’honnêtes citoyens. Nous disons, non. C’est pourquoi, nous nous sommes mobilisés pour soutenir nos frères et soeurs. Nous laissons ces dénonciateurs en cagoule avec leur conscience.
« Nous voudrons, dans un premier temps, féliciter les Magistrats qui ont prononcé l’irrecevabilité des dossiers de demandes de radiation du FPI. Nous sommes très émus par cette décision rendue par la Justice. Pour une fois, nous pouvons nous réjouir et nous satisfaire de ce que le droit a été dit. Parce que nous étions convaincus que dès l’instant où le mode opératoire prescrit par la CEI n’a pas été respecté par le FPI, le juge ne pouvait qu’exprimer un non-lieu. Mais, comme le FPI est ce qu’il est, nous nous inquiétions de ce qu’il pourrait compter sur leur réseau d’avocats et de magistrats véreux, à leur solde, pour venir faire de la chienlit. Heureusement que nous n’en sommes pas là. Nous sommes heureux et nous félicitons les juges »
Sidibé Abdoulaye (DDC d’ADO à Adjamé) : «Nous allons traduire les dénonciateurs devant les tribunaux»
Le FPI a peur d’aller aux élections. Il fallait donc trouver un prétexte, en passant par l’injustice. Mais, nous n’accepterons jamais d’être des apatrides dans notre pays. Nous sommes bel et bien des Ivoiriens. Cela vient d’être démontré aujourd’hui par la justice. Qu’on sache une bonne fois pour toute que le nord appartient bel et bien à la Côte d’Ivoire. Et pour ce qui est du cas des dénonciateurs, qu’ils sachent que ce n’est pas qu’une partie du jeu qui a été franchie. Qu’ils sachent que nous n’allons pas laisser cette affaire comme ça. Parce que démettre quelqu’un de sa nationalité, c’est le tuer. Dieu merci, la justice s’est contentée de dire le droit. Et nous, ce sera maintenant notre tour de traduire les dénonciateurs et calomniateurs devant les tribunaux. Cette fois-ci, trop c’est trop. Nous allons mettre fin à cette situation pour une bonne fois.
Minougou Karim : «Nous sommes satisfaits »
«Nous sommes soulagés. La justice a dit le droit. Nous sommes satisfaits. Cependant, nous signalons d’ores et déjà à notre dénonciateur qu’il faudrait qu’il prépare sa défense. Car c’est maintenant notre tour de le traduire devant la justice. Et ce sera fait. Nous ferons tout ce qui est en notre pouvoir pour qu’il aille en prison.
Camara Korotoumou : « Nos détracteurs étaient dans le faux»
Nous sommes enfin libérés. La justice a démontré que ce sont plutôt nos détracteurs qui étaient dans le faux. Nous sommes des Ivoiriens et ils veulent faire de nous des étrangers.
Kané Macoura : «Personne ne peut nous enlever notre dignité »
Nous sommes plus que contentes. Car c’est notre dignité qui vient d’être réhabilité. Et nous sommes fières d’être des Ivoiriennes. La Côte d’Ivoire est notre seul pays. Personne ne peut nous enlever notre dignité.
Kardoula Yacouba : «La justice a rendu le FPI irrecevable en Côte d’Ivoire »
Nous sommes très satisfaits et félicitons la justice ivoirienne. Nous sommes dans un mois de pénitence, nous rendons donc grâce à Dieu. En prononçant l’irrecevabilité des dossiers des calomniateurs, les juges viennent de rendre irrecevable le FPI en Côte d’Ivoire. C’est ce parti qui a causé tout les torts aux Ivoiriens. Des déchets toxiques au scandale de la filière café-cacao, en passant par la paupérisation et les tueries des populations, tout cela est malheureusement à l’actif du FPI. Et au lieu de trouver du travail pour la jeunesse, Gbagbo et son parti prennent tout leur temps à diviser les Ivoiriens.
Koné Assétou : «Nous sommes dans un pays de désordre »
Il est vrai que justice a été rendue, mais il faut dire que j’ai toujours honte pour mon pays. Parce que la preuve est donnée que nous nous trouvons dans un vrai pays de désordre. Ce n’est pas normal qu’un Ivoirien se lève pour aller dire que son frère ou sa soeur n’est pas Ivoirien(ne). Non, c’est malheureux. Jamais nous n’accepterons qu’après nous avoir violées, le FPI décide de violer notre nationalité. Ça, jamais !
Touré Kennedy (Adjt. au maire d’Abobo) : « Les mentalités sont en train de se délier »
C’est un sentiment de joie qui m’anime actuellement. Nous pensons que nous sommes en train de sortir de la crise. C’est une crise qui a assez duré. Les mentalités sont en train de se délier. Cela est important pour le bien-être de notre pays. Nous suivrons toutes les étapes pour que le 31 octobre personne ne puisse nous empêcher d’aller élire celui auquel la Côte d’Ivoire veut confier son destin, c’est-à-dire, le Dr. Alassane Ouattara.
Doumbia Yaya : « J’étais très amer »
Je suis aux anges à l’annonce du verdict. Car, le matin, j’étais très amer. Des demandes de radiation farfelues ne pouvaient pas, en réalité, passer au vu du droit et les textes en vigueur. Nous allons continuer le travail de mobilisation des militants sur le terrain jusqu’aux élections.
Kamagaté Cheich Tidjane : « La Justice vient d’anticiper sur un grand tort »
Je suis animé par une très grande joie aujourd’hui. Je pense que la Justice vient d’anticiper sur un grand tort que des individus mal intentionnés voudraient faire subir à d’honnêtes citoyens. Nous disons, non. C’est pourquoi, nous nous sommes mobilisés pour soutenir nos frères et soeurs. Nous laissons ces dénonciateurs en cagoule avec leur conscience.