Le chef de cabinet du ministre de la justice Kuibert Ibrahim a annoncé jeudi la fin officielle du contentieux judiciaire qui, selon lui, a abouti à la radiation de 1.025 personnes sur plus de 20.400 requêtes.
"Les décisions concernant le chronogramme et le mode opératoire ont été prises de manière consensuelle. Nous nous en tenons donc à la date du 26 août comme fin du contentieux judiciaire", a indiqué M. Ibrahim.
Lors d'un point de presse mercredi à Abidjan, le porte-parole de la Commission électorale indépendante (CEI) Bamba Yacouba avait confirmé que la date du 26 août demeurait en vigueur pour la fin du contentieux judiciaire.
La CEI qui se dit résolue à respecter la date de l'élection présidentielle, fixée au 31 octobre 2010, s'attelle à achever les étapes restantes dont notamment l'élaboration de la liste électorale définitive et la distribution des cartes aux électeurs.
Les demandes en radiation avaient fait l'objet de polémiques sur la nationalité de certains pétitionnaires, et cela avait abouti à des violences dans plusieurs villes du pays.
Des voix s'étaient alors élevées pour demander à la justice de statuer sur les différentes requêtes conformément au code électoral ivoirien.
"Les décisions concernant le chronogramme et le mode opératoire ont été prises de manière consensuelle. Nous nous en tenons donc à la date du 26 août comme fin du contentieux judiciaire", a indiqué M. Ibrahim.
Lors d'un point de presse mercredi à Abidjan, le porte-parole de la Commission électorale indépendante (CEI) Bamba Yacouba avait confirmé que la date du 26 août demeurait en vigueur pour la fin du contentieux judiciaire.
La CEI qui se dit résolue à respecter la date de l'élection présidentielle, fixée au 31 octobre 2010, s'attelle à achever les étapes restantes dont notamment l'élaboration de la liste électorale définitive et la distribution des cartes aux électeurs.
Les demandes en radiation avaient fait l'objet de polémiques sur la nationalité de certains pétitionnaires, et cela avait abouti à des violences dans plusieurs villes du pays.
Des voix s'étaient alors élevées pour demander à la justice de statuer sur les différentes requêtes conformément au code électoral ivoirien.