Honteux, indigne, révoltant, etc. Les mots ne manquent pas pour qualifier ce qui s’est passé aux abords d’un hôtel à Yopougon Niangon-sud, à droite. Un mari y a surpris sa femme avec son amant. Cet amant qui n’est autre que le maître de maison de leur fils. Retour sur une affaire qui indigne et qui démontre que c’est souvent un leurre, de faire confiance totalement. En effet, expliquent nos sources, devant les résultats scolaires pas vraiment fameux, K.H, agent de transit de son état vivant à Yopougon, prend des dispositions. Des dispositions visant à améliorer le niveau de son fils K.L, en classe de Cm1. Surtout que pour la rentrée scolaire prochaine, le jeune garçon âgé de 10 ans, doit présenter le concours d’entrée en 6ème. Mais contrairement à d’autres parents qui optent pour les cours de vacances qu’il estime être des moments d’amusement, l’agent de transit, pour sa part, choisit plutôt de recourir aux services d’un répétiteur. Ce jeune répétiteur répondant aux initiales de Y.A, il le connaît assez bien quand même. Ce dernier ayant fait montre de ses qualités de bon pédagogue au domicile de l’un de ses amis dont il assurait la mise à niveau de la fille. Ainsi, quelques semaines après le début des vacances, K.H met un terme aux activités ludiques de son fils. Il le confie donc au répétiteur. Tous les matins ou certaines après-midi alors, sauf le dimanche, le jeune répétiteur se retrouve chez l’agent de transit. Deux heures de temps durant, il communique son savoir au petit garçon. Cela fait pratiquement un mois donc, que la fine silhouette du répétiteur, chaque fois enveloppée dans des tenues vestimentaires de jeune « branché », est aperçue au domicile du transitaire. Et effectivement, comme cela avait été dit de lui, Y.A fait ses preuves. Vu que, dit-on, les lacunes du petit K.L, dans certains domaines, sont comblées. A la joie des parents de l’écolier. Notamment, de la mère T.F, agent commercial dans une société de la place. Cette dernière, qui comme pour dire merci et encourager le répétiteur, pour le travail bien fait, lui offre le plus souvent des présents. Cela va de sommes d’argent, à des tee-shirts, en passant par des morceaux de pagne pour la confection de chemises. En tout cas, de l’avis de nos sources, il règne une parfaite complicité entre la mère de l’écolier et le répétiteur. Seulement voilà, ces derniers temps, le transitaire est informé par un tiers dont on ne peut rien révéler ici, de ce que la complicité d’entre sa femme et le maître de maison est loin d’être innocente. Toutes ces largesses à l’endroit du jeune homme, de la part de sa conjointe, ont une seule raison en vérité. Ils sont amants. K.H n’en croit pas ses oreilles. Surtout qu’il ne perçoit aucun geste « traitre » pouvant éclairer sur l’indélicatesse de sa dulcinée. Néanmoins, il continue d’observer. En définitive, il se résout à en parler avec elle. Mais c’est à peine, si elle ne le rabroue pas. « Respecte-moi au moins. Je ne suis pas une b…. Que vais-je faire avec un jeune homme qui a l’âge de mon second petit frère ? ». C’est la substance de la réponse de dame T.F. Comme pour dire que ce qui a été dit à son mari, n’est que pure affabulation.
Le pot aux roses découvert
On n’en est donc là, lorsque le vendredi dernier 27 août, aux environs de 20h, dame T.F obtient de son mari, la permission de se rendre au chevet de l’une de ses collègues qu’elle dit malade. Mais lorsqu’elle sort de la maison, K.H la suit discrètement. Quand elle emprunte un taxi, il en fait de même. A bord de ce taxi qu’il prend en course, il est aux trousses de sa femme. Au niveau de la station « Lubafrique », en allant à la « Cité verte », à Niangon, dame T.F met pied à terre. Et qui est-ce que l’agent de transit voit venir vers sa femme ? Le jeune répétiteur. Il en est éberlué, mais garde tout son calme. Il est convaincu de l’infidélité de sa conjointe, lorsque cette dernière échange un baiser langoureux avec le jeune homme. Puis, les deux empruntent un autre taxi qui les conduit jusqu’à Niangon-sud à droite. K.H les suit toujours, avant de les voir s’engouffrer dans un hôtel. C’est à ce niveau, que le transitaire libère son taxi et attend juste en face de l’établissement hôtelier. A présent, il est plus que situé sur ce qu’il appelle l’injure à lui faite par sa concubine. Une heure environ après, voilà les deux amoureux qui ressortent de l’hôtel. Hôtel où le jeune amant, a encore là sûrement fait montre de ses qualités de maître du sexe, autres que celles de répétiteur. Sans plus perdre de temps, K.H, surgissant de la pénombre, vient se dresser devant eux. Et de lancer à l’endroit de sa femme : « Qu’est ce que tu m’avais dis ? ». Les amants, surpris et démasqués, choisissent alors une alternative : la fuite, comme de vulgaires voleurs. K.H se lance à leurs trousses, en battant lui aussi, le pavé. Si là encore, le jeune répétiteur démontre toutes ses qualités athlétiques qui lui permettent de s’évanouir tout de suite dans la nature, ce n’est pas le cas de la dame. Le transitaire réussit à la rattraper et à s’accrocher à sa robe. Mais une fois de plus, elle s’échappe. Laissant dans la main de son mari, pratiquement un morceau de la robe qui s’est déchirée. Devant l’intervention de bonnes volontés, l’agent de transit consent à ne plus la poursuivre. Il rentre chez lui. Et depuis le scandale, dame T.F ne rentre toujours pas à la maison. Ce sont plutôt ses parents qui y défilent, pour obtenir toute la compréhension de son mari. Mari qui, lui, se garde de tout révéler à son fils. Ce fils qui voudrait bien savoir où sa mère est partie depuis quelques jours. Une affaire vraiment honteuse.
KIKIE Ahou Nazaire
Le pot aux roses découvert
On n’en est donc là, lorsque le vendredi dernier 27 août, aux environs de 20h, dame T.F obtient de son mari, la permission de se rendre au chevet de l’une de ses collègues qu’elle dit malade. Mais lorsqu’elle sort de la maison, K.H la suit discrètement. Quand elle emprunte un taxi, il en fait de même. A bord de ce taxi qu’il prend en course, il est aux trousses de sa femme. Au niveau de la station « Lubafrique », en allant à la « Cité verte », à Niangon, dame T.F met pied à terre. Et qui est-ce que l’agent de transit voit venir vers sa femme ? Le jeune répétiteur. Il en est éberlué, mais garde tout son calme. Il est convaincu de l’infidélité de sa conjointe, lorsque cette dernière échange un baiser langoureux avec le jeune homme. Puis, les deux empruntent un autre taxi qui les conduit jusqu’à Niangon-sud à droite. K.H les suit toujours, avant de les voir s’engouffrer dans un hôtel. C’est à ce niveau, que le transitaire libère son taxi et attend juste en face de l’établissement hôtelier. A présent, il est plus que situé sur ce qu’il appelle l’injure à lui faite par sa concubine. Une heure environ après, voilà les deux amoureux qui ressortent de l’hôtel. Hôtel où le jeune amant, a encore là sûrement fait montre de ses qualités de maître du sexe, autres que celles de répétiteur. Sans plus perdre de temps, K.H, surgissant de la pénombre, vient se dresser devant eux. Et de lancer à l’endroit de sa femme : « Qu’est ce que tu m’avais dis ? ». Les amants, surpris et démasqués, choisissent alors une alternative : la fuite, comme de vulgaires voleurs. K.H se lance à leurs trousses, en battant lui aussi, le pavé. Si là encore, le jeune répétiteur démontre toutes ses qualités athlétiques qui lui permettent de s’évanouir tout de suite dans la nature, ce n’est pas le cas de la dame. Le transitaire réussit à la rattraper et à s’accrocher à sa robe. Mais une fois de plus, elle s’échappe. Laissant dans la main de son mari, pratiquement un morceau de la robe qui s’est déchirée. Devant l’intervention de bonnes volontés, l’agent de transit consent à ne plus la poursuivre. Il rentre chez lui. Et depuis le scandale, dame T.F ne rentre toujours pas à la maison. Ce sont plutôt ses parents qui y défilent, pour obtenir toute la compréhension de son mari. Mari qui, lui, se garde de tout révéler à son fils. Ce fils qui voudrait bien savoir où sa mère est partie depuis quelques jours. Une affaire vraiment honteuse.
KIKIE Ahou Nazaire
