Remontés qu’ils sont, contre les structures en charge de la réinsertion, les miliciens menacent de bloquer les prochains scrutins de sortie de crise. Chez notre confrère ‘’afreekelektion.com’’, Wathard Kédjébo a laissé entendre que la paix ne se fera pas sur son dos et ni sur celui de ses éléments. « Nous sommes pour la paix mais on ne fera pas la paix contre nous », affirme Watchard Kédjébo, leader du Comité national pour la libération de Bouaké.
Politique Publié le mardi 7 septembre 2010 | Nord-Sud