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Économie Publié le vendredi 17 septembre 2010 | Le Mandat

Pour non-paiement d’arriérés de 240.117.040 FCFA : L’agence conseil BENEFIC assignée en justice ?

© Le Mandat Par Christian
Presse nationale - Le quotidien "L`Expression" souffle sa première bougie en présence des ministres Sy Savané, Konaté et du Roi de Bassam
"L’Expression" a célébré son 1er anniversaire à Grand-Bassam, dans le cadre somptueux du Koral Beach, les 3 et 4 juin 2010. Photo: Denis Kah Zion, DG du Groupe "Le nouveau réveil"
Le président du bureau exécutif du Conseil d’administration du Groupement des Editeurs de Presse de Côte d’Ivoire (Gepci), Dénis Kah Zion, a animé une conférence de presse, hier, à son siège. Il était accompagné, pour la circonstance, de son secrétaire général, François N’Guilissi. A cette rencontre, le proablème d’arriérés d’impayés pour les campagnes publicitaires (2009-2010) des agences conseils en communication vis-à-vis des entreprises de presse était à l’ordre du jour. Surtout ? L’agence BENEFIC, qui à elle seule, doit la bagatelle de 240.117.040 FCFA à 17 entreprises de presse et dont les locaux ont été désertés par les responsables. Ces derniers sont de surcroît ‘’injoignables’’. Selon le conférencier, un communiqué avait été publié par le Gepci dans la presse le 18 août dernier, afin d’inviter d’une part, les agences conseils en communication à s’acquitter de leurs obligations commerciales vis-à-vis des entreprises de presse au plus tard le 31 août 2010. Et d’autre part, le Gepci se rendait disponible pour des rencontres d’échanges. Cependant, il a tenu à préciser que l’invite ne concernait pas toutes les agences, mais ne s’adressait qu’aux brébis galeuses. Et pourtant, malgré l’appel lancé, il n’y a eu aucune réaction de la part des débiteurs. Or, d’après des investigations, les annonceurs payent l’intégralité du montant de la transaction lors de la signature de contrat aux agences, trois mois avant la diffusion des visuels dans les journaux. Malheureusement, le feed-back n’est pas transmis aux entreprises de presse. Pour ce faire, le Gepci a décidé de saisir le Conseil Supérieur de la Publicité (Csp), le Conseil National de la Presse (Cnp) et le Ministère de la communication et de porter cette affaire devant les juridictions compétentes. « Trop, c’est trop ! Nous sommes dans une situation où les trésoriers n’arrivent plus à supporter les charges. Nous avons près d’un demi milliard de francs bloqués et nous voulons que cela soit corrigé », a conclu Dénis Kah Zion, avant de confier que « C’est à la fin de ce mois que les conventions collectives doivent être appliquées ». Comme pour dire que l’épongement de cette dette serait une bouffée d’oxygène pour les entreprises de presse. Aussi, faut-il savoir qu’au Csp et au Cnp, Dénis Kah Zion a poussé un cri de cœur afin que ces deux organes s’engagent davantage dans cette affaire pour qu’une solution y soit trouvée. Il a également signifié que les négociations vont bon train avec l’autre agence qu’il n’a pas voulu nommé?
Nathalie kassi
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