Un rapport d’enquête sur l’environnement des affaires en Côte d’Ivoire vient d’être achevé. Celui-ci retrace la perception de l’environnement des affaires dont ont besoin les investisseurs à l’égard de la Côte d’Ivoire et surtout ce qu’ils pensent être bon pour rendre l’environnement plus attractif.
Le rapport couvre la période 2007 à 2009. Selon ce rapport, les autorités ivoiriennes ont plus à gagner, en sortant de la crise et créer les conditions à l’investissement. Toute chose susceptible d’attirer des capitaux nouveaux favorables à la prospérité et à la lutte contre la pauvreté. Cela s’explique par rapport aux facteurs auxquels les opérateurs économiques sont sensibles et qui influencent leur décision initiale d’investir. L’analyse dudit rapport montre que 75,3% des chefs d’entreprises sont pour la stabilité macroéconomique, comme facteur pour la décision initiale d’investir. La taille du marché national et régional est importante pour 78,0% et 53,12% de dirigeants d’entreprises respectivement. S’agissant de la stabilité politique et de la gouvernance, la stabilité politique interne est jugée déterminante pour 77,9% des dirigeants d’entreprises, et l’efficacité du système juridique pour 62,7% d’entre eux. L’efficacité de l’administration et un bas niveau de la corruption influencent la décision initiale d’investir, selon respectivement 68,9% et 64,7% des dirigeants d’entreprises. Concernant l’impact de la politique du gouvernement, 75,2% des chefs d’entreprises indiquent que les incitations fiscales sont déterminantes dans leur décision initiale d’investir. Quant aux incitations douanières et aux autres impactent à l’investissement, elles influencent la décision selon respectivement 68,7% et 61,1% des opérateurs économiques. La protection légale des investissements est déterminante pour 69,6% des chefs d’entreprises. L’accès au financement fait partie des facteurs incitatifs à l’investissement, selon 85,3% des dirigeants d’entreprises. Par ailleurs, le rapport relève l’importance de la productivité du travail pour tout nouvel investisseur. 83% des chefs d’entreprises en font une priorité comme décision stratégique avant tout investissement. En clair, les autorités ivoiriennes ont plus à gagner, en termes de création de conditions attractives aux flux de capitaux étrangers. C’est d’ailleurs ce que préconise le rapport comme solutions, pour relance la ‘’machine’’ de la croissance.
Honoré Kouassi
Le rapport couvre la période 2007 à 2009. Selon ce rapport, les autorités ivoiriennes ont plus à gagner, en sortant de la crise et créer les conditions à l’investissement. Toute chose susceptible d’attirer des capitaux nouveaux favorables à la prospérité et à la lutte contre la pauvreté. Cela s’explique par rapport aux facteurs auxquels les opérateurs économiques sont sensibles et qui influencent leur décision initiale d’investir. L’analyse dudit rapport montre que 75,3% des chefs d’entreprises sont pour la stabilité macroéconomique, comme facteur pour la décision initiale d’investir. La taille du marché national et régional est importante pour 78,0% et 53,12% de dirigeants d’entreprises respectivement. S’agissant de la stabilité politique et de la gouvernance, la stabilité politique interne est jugée déterminante pour 77,9% des dirigeants d’entreprises, et l’efficacité du système juridique pour 62,7% d’entre eux. L’efficacité de l’administration et un bas niveau de la corruption influencent la décision initiale d’investir, selon respectivement 68,9% et 64,7% des dirigeants d’entreprises. Concernant l’impact de la politique du gouvernement, 75,2% des chefs d’entreprises indiquent que les incitations fiscales sont déterminantes dans leur décision initiale d’investir. Quant aux incitations douanières et aux autres impactent à l’investissement, elles influencent la décision selon respectivement 68,7% et 61,1% des opérateurs économiques. La protection légale des investissements est déterminante pour 69,6% des chefs d’entreprises. L’accès au financement fait partie des facteurs incitatifs à l’investissement, selon 85,3% des dirigeants d’entreprises. Par ailleurs, le rapport relève l’importance de la productivité du travail pour tout nouvel investisseur. 83% des chefs d’entreprises en font une priorité comme décision stratégique avant tout investissement. En clair, les autorités ivoiriennes ont plus à gagner, en termes de création de conditions attractives aux flux de capitaux étrangers. C’est d’ailleurs ce que préconise le rapport comme solutions, pour relance la ‘’machine’’ de la croissance.
Honoré Kouassi