Plus de 800 Volontaires de l’armée nouvelle (VAN) ont pris part à la rencontre avec la Commission Nationale de Lutte contre la Prolifération et la Circulation Illicite des Armes Légères et de Petit Calibre (Comnat-CI) le vendredi 1er octobre à Man, dans l’ouest de la Côte d’Ivoire. Ces nouvelles recrues qui seront commises à la sécurisation des élections ont été instruites par le Substitut du Commissaire du Gouvernement, le Capitaine du parquet militaire Yao Koffi Roger sur la conduite à tenir dans les bureaux de vote.
La rencontre, qui s’inscrit dans le cadre de la campagne nationale de sensibilisation pour des Elections sans violence armée organisée par la ComNat-CI, a également enregistré la présence des Forces de défense et de sécurité (FDS) du Centre de commandement intégré (CCI) –gendarmes et policiers- de Man.
En tant que gardien de la réglementation de l’armée, le Capitaine Yao Koffi Roger, a entretenu ses frères d’armes sur les sanctions infligées aux personnes qui enfreindront les lois et règlements qui régissent la profession dans le cadre des élections prochaines. Il leur a rappelé que l’usage de l’arme pour les personnes en treillis obéit à des conditions bien précises. Notamment en ce qui concerne l’ouverture de feu, la légitime défense et le respect des consignes de ses supérieurs. A l’aide d’exemples pratiques, il a énuméré les délits pour lesquels les hommes en treillis pourraient se retrouver devant le tribunal militaire. Il sera appuyé par le Capitaine Diarrassouba Adama Tuo, adjoint au Com’zone de Man, qui a exhorté ses hommes à faire montre de sagesse.
Les nouvelles recrues ont demandé plus de sensibilisation en direction des populations civiles, les femmes plus précisément parce qu’elles sont, selon elles, ‘’plus belliqueuses’’ dans les rassemblements de groupes.
Michèle Pépé, qui portait la double casquette du Réseau d’Actions sur les Armes Légères en Afrique de l’Ouest, section Côte d’Ivoire (RASALAO-CI) et du Fonds des Nations Unies pour les femmes (UNIFEM) pour la prise en compte de la dimension genre dans la lutte contre la violence armée, a demandé aux nouvelles recrues d’être les garants de la sécurité de la femme.
Le Contrôleur général Désiré Adjoussou a également insisté sur le volet usage abusif des armes. Pour lui, l’intervention des éléments déployés sur les lieux de vote doit être proportionnée, légale et non arbitraire pour le bon déroulement des élections dans l’intérêt général de la Côte d’Ivoire.
Après les forces de l’ordre, la Comnat a entretenu la population sur la même problématique des élections sans violence armée.
Avant l’étape de Man, la délégation de la Comnat-CI était le 30 septembre à Bouaké où elle a été reçue tour à tour par le chef de terre Nanan N’Guessan, le Général Soumaïla Bakayoko, Chef d’Etat major des Forces armées des Forces nouvelles (FAFN), le Centre de commandement intégré (CCI).
Les organisations de la société civile de Bouaké, qui ont eu droit à leur séance de formation au cinéma le Capitol, à la suite des Forces de l’ordre, ont souhaité que la Comnat-CI accentue la sensiblisation en direction de la classe politique.
Le président de la Comnat-CI a tenu a les rassurer sur ce point.
Des rencontres avec les leaders des partis politiques ont marqué le début de cette campagne nationale de sensibilisation qui a pour thème, « Mon arme, c’est mon vote ». Elle a pour objectif de contribuer à la création d’un environnement sécuritaire et à l’instauration d’un climat de paix devant permettre le bon déroulement du scrutin présidentiel dont le 1er tour est prévu le 31 octobre prochain.
E. KODJO
La rencontre, qui s’inscrit dans le cadre de la campagne nationale de sensibilisation pour des Elections sans violence armée organisée par la ComNat-CI, a également enregistré la présence des Forces de défense et de sécurité (FDS) du Centre de commandement intégré (CCI) –gendarmes et policiers- de Man.
En tant que gardien de la réglementation de l’armée, le Capitaine Yao Koffi Roger, a entretenu ses frères d’armes sur les sanctions infligées aux personnes qui enfreindront les lois et règlements qui régissent la profession dans le cadre des élections prochaines. Il leur a rappelé que l’usage de l’arme pour les personnes en treillis obéit à des conditions bien précises. Notamment en ce qui concerne l’ouverture de feu, la légitime défense et le respect des consignes de ses supérieurs. A l’aide d’exemples pratiques, il a énuméré les délits pour lesquels les hommes en treillis pourraient se retrouver devant le tribunal militaire. Il sera appuyé par le Capitaine Diarrassouba Adama Tuo, adjoint au Com’zone de Man, qui a exhorté ses hommes à faire montre de sagesse.
Les nouvelles recrues ont demandé plus de sensibilisation en direction des populations civiles, les femmes plus précisément parce qu’elles sont, selon elles, ‘’plus belliqueuses’’ dans les rassemblements de groupes.
Michèle Pépé, qui portait la double casquette du Réseau d’Actions sur les Armes Légères en Afrique de l’Ouest, section Côte d’Ivoire (RASALAO-CI) et du Fonds des Nations Unies pour les femmes (UNIFEM) pour la prise en compte de la dimension genre dans la lutte contre la violence armée, a demandé aux nouvelles recrues d’être les garants de la sécurité de la femme.
Le Contrôleur général Désiré Adjoussou a également insisté sur le volet usage abusif des armes. Pour lui, l’intervention des éléments déployés sur les lieux de vote doit être proportionnée, légale et non arbitraire pour le bon déroulement des élections dans l’intérêt général de la Côte d’Ivoire.
Après les forces de l’ordre, la Comnat a entretenu la population sur la même problématique des élections sans violence armée.
Avant l’étape de Man, la délégation de la Comnat-CI était le 30 septembre à Bouaké où elle a été reçue tour à tour par le chef de terre Nanan N’Guessan, le Général Soumaïla Bakayoko, Chef d’Etat major des Forces armées des Forces nouvelles (FAFN), le Centre de commandement intégré (CCI).
Les organisations de la société civile de Bouaké, qui ont eu droit à leur séance de formation au cinéma le Capitol, à la suite des Forces de l’ordre, ont souhaité que la Comnat-CI accentue la sensiblisation en direction de la classe politique.
Le président de la Comnat-CI a tenu a les rassurer sur ce point.
Des rencontres avec les leaders des partis politiques ont marqué le début de cette campagne nationale de sensibilisation qui a pour thème, « Mon arme, c’est mon vote ». Elle a pour objectif de contribuer à la création d’un environnement sécuritaire et à l’instauration d’un climat de paix devant permettre le bon déroulement du scrutin présidentiel dont le 1er tour est prévu le 31 octobre prochain.
E. KODJO