A l`occasion de la célébration de la journée mondiale des enseignants le 05 octobre dernier, le syndicat national des employés de l`enseignement privé secondaire de Côte d`Ivoire (Syneepseci) a organisé un point de presse au siège de la Fédération des syndicats autonomes de Côte d`Ivoire (Fesaci) à Adjamé 220 logements. Cette rencontre a permis à Soumahoro Vassiriki, le secrétaire national à la communication du Syneepseci d`adresser un plaidoyer à Charles Diby Koffi, ministre de l`Economie et des Finances en faveur de l`enseignement privé ivoirien. Il a, en effet, demandé au ministre de veiller à ce que les arriérés de frais de scolarité que l`Etat doit aux écoles privées leur soient versés.
Il a insisté sur le cas du Groupe CESTIA-IEP à qui l`Etat doit 500 millions de francs CFA en guise de scolarité des élèves et étudiants affectés. Selon lui, cette école reste un des rares établissements privés à assurer un salaire décent aux enseignants.
Soumahoro Vassiriki n`a pas manqué de souligner la misère que provoque cette situation chez les fondateurs. Ceux-ci sont donc incapables de rémunérer leurs enseignants et le personnel administratif. Par ailleurs, il a tiré son chapeau aux enseignants du privé. Et les a invités à redoubler d`ardeur, de vigilance et de perspicacité dans le combat pour la prise en compte de toutes leurs préoccupations. Pour lui, le dernier recours demeure le ministre de l`Economie et des Finances qui peut apporter une solution aux problèmes des enseignants du privé.
Samuel AMANI
Il a insisté sur le cas du Groupe CESTIA-IEP à qui l`Etat doit 500 millions de francs CFA en guise de scolarité des élèves et étudiants affectés. Selon lui, cette école reste un des rares établissements privés à assurer un salaire décent aux enseignants.
Soumahoro Vassiriki n`a pas manqué de souligner la misère que provoque cette situation chez les fondateurs. Ceux-ci sont donc incapables de rémunérer leurs enseignants et le personnel administratif. Par ailleurs, il a tiré son chapeau aux enseignants du privé. Et les a invités à redoubler d`ardeur, de vigilance et de perspicacité dans le combat pour la prise en compte de toutes leurs préoccupations. Pour lui, le dernier recours demeure le ministre de l`Economie et des Finances qui peut apporter une solution aux problèmes des enseignants du privé.
Samuel AMANI