Les activités économiques ont repris timidement après quelques jours de pause dus à l’élection présidentielle.
Après un long week-end de férié consécutivement à la ténue du premier tour de la Présidentielle et de la fête de Toussaint, les activités économiques ont repris, hier, au Plateau. Le centre des affaires d’Abidjan. Dès le petit matin, ceux qui n’avaient pu faire des retraits avant la pause du 30 au 2 novembre dernier, ont pris d’assaut les guichets des banques pour se faire servir. En tout, un détour à l’Agence principale de la Société ivoirienne de banque (Sib) au Plateau, en passant par la rue des banques à «la rue du commerce», la vie semblait reprendre et les magasins aussi. Dans l’administration les fonctionnaires et autres agents de l’Etat étaient à leurs postes même si ce n’était pas la grande affluence. Les klaxons des taxi-compteurs et communaux en rajoutaient à l’ambiance. Par ailleurs, un détour des grands réceptifs hôteliers indique une grande affluence qui s’explique par la présence des observateurs aussi bien de la Cedeao que de l’Uemoa. Mais aussi ceux du Centre Carter et de l’Union européenne(Ue) venus suivre la présidentielle du 31 octobre dernier. Il convient d’ajouter la présence d’un fort contingent de la presse internationale venu couvrir ce rendez-vous historique. En somme, ce bon taux de remplissage fait l’affaire des gérants des hôtels comme le Tiama, le Pullman, Ibis et Ivotel entre autres. La place grouillante de la Sorbonne du Plateau où il régnait un calme plat la veille, avait retrouvé son ambiance des jours ordinaires. Au niveau d’Abobo, la place du grand rond-point appelé «le port d’Abobo» grouillait des apprentis gbaka et autres auxiliaires des transports. Par ailleurs, on notait aux différents carrefours stratégiques une présence dissuasive des Forces de défence et de sécurité (Fds). Pendant que celles de l’Onuci étaient reconnaissables par leurs Casques bleus. Toutefois, les rumeurs les plus folles et le long retard observé dans la publication des résultats officiels a rendu un peu l’atmosphère très lourd et la ville s’est vidée.
Bamba Mafoumgbé
bamaf2000@yahoo.fr
Après un long week-end de férié consécutivement à la ténue du premier tour de la Présidentielle et de la fête de Toussaint, les activités économiques ont repris, hier, au Plateau. Le centre des affaires d’Abidjan. Dès le petit matin, ceux qui n’avaient pu faire des retraits avant la pause du 30 au 2 novembre dernier, ont pris d’assaut les guichets des banques pour se faire servir. En tout, un détour à l’Agence principale de la Société ivoirienne de banque (Sib) au Plateau, en passant par la rue des banques à «la rue du commerce», la vie semblait reprendre et les magasins aussi. Dans l’administration les fonctionnaires et autres agents de l’Etat étaient à leurs postes même si ce n’était pas la grande affluence. Les klaxons des taxi-compteurs et communaux en rajoutaient à l’ambiance. Par ailleurs, un détour des grands réceptifs hôteliers indique une grande affluence qui s’explique par la présence des observateurs aussi bien de la Cedeao que de l’Uemoa. Mais aussi ceux du Centre Carter et de l’Union européenne(Ue) venus suivre la présidentielle du 31 octobre dernier. Il convient d’ajouter la présence d’un fort contingent de la presse internationale venu couvrir ce rendez-vous historique. En somme, ce bon taux de remplissage fait l’affaire des gérants des hôtels comme le Tiama, le Pullman, Ibis et Ivotel entre autres. La place grouillante de la Sorbonne du Plateau où il régnait un calme plat la veille, avait retrouvé son ambiance des jours ordinaires. Au niveau d’Abobo, la place du grand rond-point appelé «le port d’Abobo» grouillait des apprentis gbaka et autres auxiliaires des transports. Par ailleurs, on notait aux différents carrefours stratégiques une présence dissuasive des Forces de défence et de sécurité (Fds). Pendant que celles de l’Onuci étaient reconnaissables par leurs Casques bleus. Toutefois, les rumeurs les plus folles et le long retard observé dans la publication des résultats officiels a rendu un peu l’atmosphère très lourd et la ville s’est vidée.
Bamba Mafoumgbé
bamaf2000@yahoo.fr