Ils travaillent dur, mais gagnent péniblement leur vie. Eux ? Ce sont les chauffeurs roulants, véritables parents pauvres du secteur du transport malgré les recettes qu’ils brassent chaque jour pour les propriétaires de véhicules. Pour parer à la misère de ces hommes, une mutuelle des chauffeurs roulants de Côte d’Ivoire(MCRCI) a vu le jour, il y a quelques mois, précisément depuis décembre 2009. « Notre objectif, explique M. Sangaré Aboubakar, son président, est d’aider les chauffeurs à sortir de la précarité. Cela passe par l’amélioration de leurs conditions de vie et de travail. »
Selon lui, la MCRCI, qui revendique plus de 230 adhérents actifs, c’est-à-dire qui cotisent réellement, a déjà posé plusieurs actions en faveur des chauffeurs roulants. « Nous avons souscrit à une assurance, grâce à un partenariat avec un assureur, qui leur permet de se soigner à moindres frais dans des cliniques, moyennant bien entendu une cotisation de 500 FCFA par jour de descente, autrement le jour où ils travaillent. Nous avons aussi apporté une aide financière à certains chauffeurs pour qu’ils puissent établir leur nouveau permis de conduire, format carte de crédit. Nous donnons également un coup de main à ceux qui se marient ou encore ont un nouveau-né » ajoute M. Sangaré, qui ne cache son ambition de fédérer le maximum de chauffeurs roulants au sein de la MCRCI.
Ce n’est pas tout, cette mutuelle a également initié, il y a peu, une campagne de vaccination contre le tétanos et la fièvre typhoïde. A terme, le président de la MCRCI rêve de sortir les chauffeurs roulants des lendemains incertains. « Dans le secteur du transport, ils sont ceux qui travaillent beaucoup, mais souffrent le plus. Il faut mettre fin à cela. C’est pourquoi, la MCRCI se bat pour leur offrir des lendemains meilleurs », conclut-il.
Y. Sangaré
Selon lui, la MCRCI, qui revendique plus de 230 adhérents actifs, c’est-à-dire qui cotisent réellement, a déjà posé plusieurs actions en faveur des chauffeurs roulants. « Nous avons souscrit à une assurance, grâce à un partenariat avec un assureur, qui leur permet de se soigner à moindres frais dans des cliniques, moyennant bien entendu une cotisation de 500 FCFA par jour de descente, autrement le jour où ils travaillent. Nous avons aussi apporté une aide financière à certains chauffeurs pour qu’ils puissent établir leur nouveau permis de conduire, format carte de crédit. Nous donnons également un coup de main à ceux qui se marient ou encore ont un nouveau-né » ajoute M. Sangaré, qui ne cache son ambition de fédérer le maximum de chauffeurs roulants au sein de la MCRCI.
Ce n’est pas tout, cette mutuelle a également initié, il y a peu, une campagne de vaccination contre le tétanos et la fièvre typhoïde. A terme, le président de la MCRCI rêve de sortir les chauffeurs roulants des lendemains incertains. « Dans le secteur du transport, ils sont ceux qui travaillent beaucoup, mais souffrent le plus. Il faut mettre fin à cela. C’est pourquoi, la MCRCI se bat pour leur offrir des lendemains meilleurs », conclut-il.
Y. Sangaré
