Lesafriques - La ruée vers l’agriculture dans le continent africain est devenue une réalité. Si les autochtones maîtrisent les conditions pédologiques et climatiques de leurs terroirs respectifs, il est aujourd’hui utile de renseigner les exploitants un calendrier cultural d’ensemble. La FAO vient de lancer, jeudi 11 novembre, un guide de référence pour 43 grands pays d’Afrique FAO précisant les déterminants d’une agriculture optimum en Afrique.
Les experts de la FAO (Food and Agriculture Organization of the United Nations) viennent au secours des agriculteurs africains. Ils viennent de mettre en ligne cultures un guide portant sur différentes types de spéculations, allant des haricots à la betterave, en passant par le blé, la pastèque, … soit au total plus de 130 cultures. Destiné à l’ensemble des donateurs, organismes, vulgarisateurs gouvernementaux et organisations non gouvernementales qui travaillent avec les agriculteurs sur le continent africain, il ambitionne d’optimiser les résultats du secteur. Aussi, il donne des conseils, non seulement sur les cultures, mais aussi sur les variétés de semences testées les mieux adaptées aux chaque zone. Shivaji Pandey, directeur de la Division FAO de la production végétale et de la protection des plantes, a confirmé que : « Les semences sont déterminantes pour affronter le double enjeu de l’insécurité alimentaire et du changement climatique. Le bon choix de cultures et de semences est crucial à la fois pour améliorer les moyens d’existence des ruraux pauvres et des affamés et pour faire face au changement climatique ».
Un outil commode
Selon les initiateurs de ce projet, le calendrier cultural de la FAO est particulièrement utile en cas d’urgence (sécheresses ou inondations) ou pour les efforts de réhabilitation faisant suite à une catastrophe naturelle ou causée par l’homme. Quant à son accessibilité, ils soutiennent que cet outil, qui couvre 283 zones agro-écologiques, est en ligne et apporte des renseignements sur chaque pays couvert (juste en cliquant dessus).
Les observateurs jugent ce référentiel d’autant plus pertinent que l’accroissement mondial des rendements, enregistré au cours des 10 dernières années, est imputable pour moitié à l’amélioration de la qualité des semences, et pour moitié à de meilleures pratiques de gestion de l’eau et de l’irrigation.
D. MBaye
Les experts de la FAO (Food and Agriculture Organization of the United Nations) viennent au secours des agriculteurs africains. Ils viennent de mettre en ligne cultures un guide portant sur différentes types de spéculations, allant des haricots à la betterave, en passant par le blé, la pastèque, … soit au total plus de 130 cultures. Destiné à l’ensemble des donateurs, organismes, vulgarisateurs gouvernementaux et organisations non gouvernementales qui travaillent avec les agriculteurs sur le continent africain, il ambitionne d’optimiser les résultats du secteur. Aussi, il donne des conseils, non seulement sur les cultures, mais aussi sur les variétés de semences testées les mieux adaptées aux chaque zone. Shivaji Pandey, directeur de la Division FAO de la production végétale et de la protection des plantes, a confirmé que : « Les semences sont déterminantes pour affronter le double enjeu de l’insécurité alimentaire et du changement climatique. Le bon choix de cultures et de semences est crucial à la fois pour améliorer les moyens d’existence des ruraux pauvres et des affamés et pour faire face au changement climatique ».
Un outil commode
Selon les initiateurs de ce projet, le calendrier cultural de la FAO est particulièrement utile en cas d’urgence (sécheresses ou inondations) ou pour les efforts de réhabilitation faisant suite à une catastrophe naturelle ou causée par l’homme. Quant à son accessibilité, ils soutiennent que cet outil, qui couvre 283 zones agro-écologiques, est en ligne et apporte des renseignements sur chaque pays couvert (juste en cliquant dessus).
Les observateurs jugent ce référentiel d’autant plus pertinent que l’accroissement mondial des rendements, enregistré au cours des 10 dernières années, est imputable pour moitié à l’amélioration de la qualité des semences, et pour moitié à de meilleures pratiques de gestion de l’eau et de l’irrigation.
D. MBaye