Les populations de la sous-préfecture de Zou dans le département de Bangolo, vivent un véritable calvaire. Et pour cause, depuis le retrait des Fds de cette zone suite aux affrontements et autres attaques des éléments du Rhdp au cours du second tour de la présidentielle, les populations ont perdu leur sérénité.
Selon M. Willysse Louis, Directeur local de campagne du (Dlc) candidat de La majorité présidentielle (Lmp), les habitants de cette contrée du pays sont pris dans un engrenage. Bloqués par les Dozo en armes venus du Burkina Faso, les populations ne savent plus à quel saint se vouer. C’est au risque de leur vie que chacune des personnes vivant dans cette région tente de sortir. Toutes les issues pouvant leur permettre d’échapper aux brimades et autres persécutions sont hermétiquement bouclées par les Dozo. Dans le département de Bangolo, c’est avec la peur au ventre que les populations essaient tant bien que mal d’organiser leur existence. Le Dlc Willysse Louis est formel. «Le Canton Zarabaon vit à présent un état de siège sans précédant. Mes parents vivent un véritable calvaire et sont bloqués par des rebelles. Ils sont en danger de mort», se lamente-t-il.
Le Dlc interpelle à cet effet, les autorités militaires, politiques et administratives, pour que des dispositions soient prises afin de venir en aide aux populations dudit département en proie à des difficultés. Faut-il le rappeler, aux heures les plus chaudes de la rébellion, le canton Zarabaon a subi le plus grand tribut de cette guerre avec plus de 300 personnes tuées et plus de 600 personnes portées disparues. Aujourd’hui encore, le même scenario risque de se reproduire si rien n’est fait pour protéger cette population abusée.
Jean-Baptiste Essis
Jejbessis8@gmail.com
Selon M. Willysse Louis, Directeur local de campagne du (Dlc) candidat de La majorité présidentielle (Lmp), les habitants de cette contrée du pays sont pris dans un engrenage. Bloqués par les Dozo en armes venus du Burkina Faso, les populations ne savent plus à quel saint se vouer. C’est au risque de leur vie que chacune des personnes vivant dans cette région tente de sortir. Toutes les issues pouvant leur permettre d’échapper aux brimades et autres persécutions sont hermétiquement bouclées par les Dozo. Dans le département de Bangolo, c’est avec la peur au ventre que les populations essaient tant bien que mal d’organiser leur existence. Le Dlc Willysse Louis est formel. «Le Canton Zarabaon vit à présent un état de siège sans précédant. Mes parents vivent un véritable calvaire et sont bloqués par des rebelles. Ils sont en danger de mort», se lamente-t-il.
Le Dlc interpelle à cet effet, les autorités militaires, politiques et administratives, pour que des dispositions soient prises afin de venir en aide aux populations dudit département en proie à des difficultés. Faut-il le rappeler, aux heures les plus chaudes de la rébellion, le canton Zarabaon a subi le plus grand tribut de cette guerre avec plus de 300 personnes tuées et plus de 600 personnes portées disparues. Aujourd’hui encore, le même scenario risque de se reproduire si rien n’est fait pour protéger cette population abusée.
Jean-Baptiste Essis
Jejbessis8@gmail.com