Il n`y aura pas de chasse aux sorcières", a-t-il assuré sur Europe 1. "Alassane Ouattara est prêt à lui conserver ses avantages d`ancien chef d`Etat s`il accepte de partir du pouvoir pacifiquement", a-t-il ajouté, précisant que lui-même garderait le portefeuille de la Défense. "Si Laurent Gbagbo accepte tranquillement de partir du pouvoir, les ministres de son parti seraient les bienvenus dans ce gouvernement que nous entendons diriger", a ajouté l`ex-chef des rebelles.
"Nous voulons faire comme (Nelson) Mandela (l`ancien président sud-africain-NDLR), nous ne voulons pas diviser les Ivoiriens, nous voulons réconcilier les Ivoiriens: il n`y aura pas de chasse aux sorcières", a-t-il insisté. "Il n`est pas question d`aller vers une partition de la Côte d`Ivoire", a-t-il souligné en référence à la guerre civile de 2002 qui avait vu le pays se diviser en deux camps. Pour l`instant, "nous avons évité tout développement sanglant", a fait valoir Guillaume Soro, appelant Laurent Gbagbo à ne pas laisser la situation s`envenimer. Si le président sortant ne part pas de son plein gré, "nous prendrons nos responsabilités", a-t-il dit, sans plus de précisions. "S`il nous oblige, on n`aura pas d`autre choix", a-t-il fait valoir.
Guillaume Soro a dit que le camp Ouattara faisait "tout ce qui est possible" pour protéger les ressortissants français en Côte d`Ivoire. "Pour l`heure, les Français ne sont nullement en danger", a-t-il estimé.
Reuters
"Nous voulons faire comme (Nelson) Mandela (l`ancien président sud-africain-NDLR), nous ne voulons pas diviser les Ivoiriens, nous voulons réconcilier les Ivoiriens: il n`y aura pas de chasse aux sorcières", a-t-il insisté. "Il n`est pas question d`aller vers une partition de la Côte d`Ivoire", a-t-il souligné en référence à la guerre civile de 2002 qui avait vu le pays se diviser en deux camps. Pour l`instant, "nous avons évité tout développement sanglant", a fait valoir Guillaume Soro, appelant Laurent Gbagbo à ne pas laisser la situation s`envenimer. Si le président sortant ne part pas de son plein gré, "nous prendrons nos responsabilités", a-t-il dit, sans plus de précisions. "S`il nous oblige, on n`aura pas d`autre choix", a-t-il fait valoir.
Guillaume Soro a dit que le camp Ouattara faisait "tout ce qui est possible" pour protéger les ressortissants français en Côte d`Ivoire. "Pour l`heure, les Français ne sont nullement en danger", a-t-il estimé.
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