Les frontières maritimes, aériennes et terrestres, depuis lundi dernier, sont de nouveau ouvertes à la circulation. Ainsi en a décidé l’état-major des Armées.
Cette réouverture inattendue cache mal les desseins inavoués de l’ancien président Laurent Gbagbo et de ses securocrates. Ce n’est pas à la demande des chancelleries encore moins pour des raisons économiques. L’Armée, face à la contestation, commence à montrer de sérieux signes d’essoufflement. Mise en alerte depuis plusieurs semaines, les hommes sont émoussés par la fatigue physique et par l’anxiété d’une aventure qui inéluctablement va déchanter. Pis, selon de bonnes sources, les forces de première catégorie (Gendarmerie et Police) souffrent d’un manque criard de moyens conventionnels de maintien de l’ordre. Les munitions, également, sont devenues une denrée rare. L’Armée n’est, elle aussi, pas bien logée. Dans une situation de déflagration, la grande muette montrera ses limites. Le moral des hommes n’est pas au beau fixe.
Kadet Bertin, conseiller spécial de Laurent Gbagbo chargé des équipements militaires, a donc choisi d’aller s’approvisionner comme d’habitude en Angola. A son retour, en plus de l’armement qu’il va convoyer, des chiens de guerre viendront grossir le nombre des mercenaires en service au Palais. C’est la raison essentielle de la réouverture des frontières. Aux premières heures de ce lundi, il a donc embarqué en direction du pays de Dos Santos. Et comme cela est de coutume depuis son ascension au pouvoir d’Etat après un coup de force en 2000, l’ex-président ivoirien veut verser le sang de son peuple avec ses miliciens. Un peuple qu’il dit pourtant aimer. Allez-y comprendre le sens de l’amour sous Gbagbo Laurent. Vivement que l’ONU réagisse au plus vite pour anéantir le sanguinaire Gbagbo. Le seul moyen d’éviter un génocide en Côte d’Ivoire.
Coulibaly Brahima
Cette réouverture inattendue cache mal les desseins inavoués de l’ancien président Laurent Gbagbo et de ses securocrates. Ce n’est pas à la demande des chancelleries encore moins pour des raisons économiques. L’Armée, face à la contestation, commence à montrer de sérieux signes d’essoufflement. Mise en alerte depuis plusieurs semaines, les hommes sont émoussés par la fatigue physique et par l’anxiété d’une aventure qui inéluctablement va déchanter. Pis, selon de bonnes sources, les forces de première catégorie (Gendarmerie et Police) souffrent d’un manque criard de moyens conventionnels de maintien de l’ordre. Les munitions, également, sont devenues une denrée rare. L’Armée n’est, elle aussi, pas bien logée. Dans une situation de déflagration, la grande muette montrera ses limites. Le moral des hommes n’est pas au beau fixe.
Kadet Bertin, conseiller spécial de Laurent Gbagbo chargé des équipements militaires, a donc choisi d’aller s’approvisionner comme d’habitude en Angola. A son retour, en plus de l’armement qu’il va convoyer, des chiens de guerre viendront grossir le nombre des mercenaires en service au Palais. C’est la raison essentielle de la réouverture des frontières. Aux premières heures de ce lundi, il a donc embarqué en direction du pays de Dos Santos. Et comme cela est de coutume depuis son ascension au pouvoir d’Etat après un coup de force en 2000, l’ex-président ivoirien veut verser le sang de son peuple avec ses miliciens. Un peuple qu’il dit pourtant aimer. Allez-y comprendre le sens de l’amour sous Gbagbo Laurent. Vivement que l’ONU réagisse au plus vite pour anéantir le sanguinaire Gbagbo. Le seul moyen d’éviter un génocide en Côte d’Ivoire.
Coulibaly Brahima
