C’est la politique de la terre brûlée ! Laurent Gbagbo, non content de maintenir les Ivoiriens, dix longues années durant, dans une extrême pauvreté, veut leur laisser une Côte d’Ivoire dans le gouffre, dans un chaos total. Et ses dernières manœuvres de confiscation du pouvoir sont l’illustration parfaite de ce que Laurent Gbagbo a toujours voulu pour la Côte d’Ivoire. Après son règne improductif, laisser un pays exsangue, où la vie n’est plus possible dans tous les domaines.
Depuis l’accession de Laurent Gbagbo au pouvoir en octobre 2000, en enjambant les corps des Ivoiriens, la Côte d’Ivoire ne s’est plus jamais portée mieux. Le quotidien des Ivoiriens est marqué par des morts en cascades. Toute les manifestations de l’opposition, toutes les expressions démocratiques telles que les marches, les meetings des populations réclamant le mieux être face à l’augmentation des prix du carburant et des denrées alimentaires, sont réprimées dans le sang.
Et en première ligne de ces assassinats sommaires, se trouvent les miliciens et des éléments des FDS, recrutés sur des bases tribales par Laurent Gbagbo et son régime. Aujourd’hui, le compteur des organisations des droits de l’Homme est désarticulé. Tellement les victimes des assassinats politiques du régime de Laurent Gbagbo sont innombrables.
Au-delà du sang de nombreux Ivoiriens que Laurent Gbagbo continue de faire couler, il faut ajouter la situation socio-économique moribonde dans laquelle est engluée le pays. Chaque jour qui passe, ce sont des dizaines voire des centaines d’entreprises qui ferment. Jean- Louis Billon, Président de la Chambre du commerce et d’Industrie de Côte d’Ivoire, récemment sur les ondes d’une radio, dressait un bilan « catastrophique » de la situation des entreprises en Côte d’Ivoire. «
Depuis l’an 2000, la moitié des entreprises implantées en Côte d’Ivoire ont fermé.» Mais, tout cela, Laurent Gbagbo n’en a cure. Lui et les suppôts de son régime, pendant ce temps, s’engraissent sur le dos du contribuable avec des milliards engrangés dans la vente des produits miniers et minéralogiques, non déclarés au budget de l’Etat. Les refondateurs sont tellement devenus riches qu’ils ne voient pas le tissu socioéconomique se désagréger autour d’eux. Ils ne connaissent même plus la couleur d’une facture d’eau et d’électricité. Alors que le délestage, les coupures d’eau sont le lot quotidien des habitants de la Côte d’Ivoire. Que dire des routes, les édifices administratifs ? Pis, ils se comptent aujourd’hui à la pelle les Ivoiriens qui ont perdu leur emploi ; les jeunes qui n’auront jamais leur premier emploi jusqu’à ce qu’ils soient frappés par la limite d’âge d’entrer à la Fonction publique ou dans une structure privée. Les mesures de couvre- feu, la mise en alerte régulière de l’armée, les pillages systématiques et les extorsions de fonds des opérateurs économiques par "les jeunes patriotes" et des membres influents du régime, sont autant d’actes répréhensibles qui augurent d’un lendemain chaotique de la Côte d’Ivoire. A dire vrai, c’est un pays essoufflé, étranglé où tout est sans dessus dessous que Gbagbo laisse.
Comme le dit l’artiste, La Côte d’Ivoire est tombée. Mais, c’est sa manière de se relever qui fera sa force. Et la thérapie de choc que Ouattara, avec l’onction de tous ses compatriotes, saura lui administrer lui permettra de se relever.
Jean- Antoine Doudou
Depuis l’accession de Laurent Gbagbo au pouvoir en octobre 2000, en enjambant les corps des Ivoiriens, la Côte d’Ivoire ne s’est plus jamais portée mieux. Le quotidien des Ivoiriens est marqué par des morts en cascades. Toute les manifestations de l’opposition, toutes les expressions démocratiques telles que les marches, les meetings des populations réclamant le mieux être face à l’augmentation des prix du carburant et des denrées alimentaires, sont réprimées dans le sang.
Et en première ligne de ces assassinats sommaires, se trouvent les miliciens et des éléments des FDS, recrutés sur des bases tribales par Laurent Gbagbo et son régime. Aujourd’hui, le compteur des organisations des droits de l’Homme est désarticulé. Tellement les victimes des assassinats politiques du régime de Laurent Gbagbo sont innombrables.
Au-delà du sang de nombreux Ivoiriens que Laurent Gbagbo continue de faire couler, il faut ajouter la situation socio-économique moribonde dans laquelle est engluée le pays. Chaque jour qui passe, ce sont des dizaines voire des centaines d’entreprises qui ferment. Jean- Louis Billon, Président de la Chambre du commerce et d’Industrie de Côte d’Ivoire, récemment sur les ondes d’une radio, dressait un bilan « catastrophique » de la situation des entreprises en Côte d’Ivoire. «
Depuis l’an 2000, la moitié des entreprises implantées en Côte d’Ivoire ont fermé.» Mais, tout cela, Laurent Gbagbo n’en a cure. Lui et les suppôts de son régime, pendant ce temps, s’engraissent sur le dos du contribuable avec des milliards engrangés dans la vente des produits miniers et minéralogiques, non déclarés au budget de l’Etat. Les refondateurs sont tellement devenus riches qu’ils ne voient pas le tissu socioéconomique se désagréger autour d’eux. Ils ne connaissent même plus la couleur d’une facture d’eau et d’électricité. Alors que le délestage, les coupures d’eau sont le lot quotidien des habitants de la Côte d’Ivoire. Que dire des routes, les édifices administratifs ? Pis, ils se comptent aujourd’hui à la pelle les Ivoiriens qui ont perdu leur emploi ; les jeunes qui n’auront jamais leur premier emploi jusqu’à ce qu’ils soient frappés par la limite d’âge d’entrer à la Fonction publique ou dans une structure privée. Les mesures de couvre- feu, la mise en alerte régulière de l’armée, les pillages systématiques et les extorsions de fonds des opérateurs économiques par "les jeunes patriotes" et des membres influents du régime, sont autant d’actes répréhensibles qui augurent d’un lendemain chaotique de la Côte d’Ivoire. A dire vrai, c’est un pays essoufflé, étranglé où tout est sans dessus dessous que Gbagbo laisse.
Comme le dit l’artiste, La Côte d’Ivoire est tombée. Mais, c’est sa manière de se relever qui fera sa force. Et la thérapie de choc que Ouattara, avec l’onction de tous ses compatriotes, saura lui administrer lui permettra de se relever.
Jean- Antoine Doudou
